@Hijack ...
En français on dit Mahomet, mahométans. Musulmans, c’est une appellation plus récente et souhaitée par les mahométans. J’utiliserai ce terme politiquement correct quand les mahométans auront décrotté le coran de tous ces termes politiquement incorrects utilisés pour désigner les gens comme moi qui ne croient pas en leurs fables ni en leur idole.
Les Palestiniens sont nés dans cette région comme les juifs qui ont été expulsés de pays tels que la Libye y étaient nés, comme les Français d’Algérie étaient nés en Algérie. Leur seule faute, c’est de descendre d’ancêtres qui ont envahi et colonisé la région ou qui se sont convertis à la religion des envahisseurs (ce qui les fait ressembler aux Harkis).
Mais le problème, vu des pays islamiques, ce n’est pas le sort des Palestiniens. Ils s’en foutent des Palestiniens, il suffit de voir dans quelles conditions ils les entassent dans les camps de réfugiés.
Ce qui fait réellement problème dans le fond de la tête des mahométans, c’est la possession de Jérusalem et de ce qu’ils appellent l’esplanade des mosquées, ce fleuron de la conquête islamique, à causes de toutes les prophéties messianiques à la con qui s’y rattachent. Prophéties à la con que se partagent d’ailleurs les juifs rabbiniques et certains chrétiens.
Pour moi, un pays appartient à ceux qui sont capables de le défendre. Les Juifs, les Romains, les Arabes, les Ottomans, puis de nouveau les juifs ont rempli ces conditions à tour de rôle. Quand les islamiques ont envahi, les habitants ont eu le choix entre adopter la religion de l’envahisseur ou de vivre dans un système d’apartheid.
Si j’étais Palestinien, je ferais un grand bras d’honneur dans la direction de La Mecque et je me convertirais au judaïsme, ce qui me donnerait le droit d’émigrer en Israël et la possibilité d’offrir un avenir à mes enfants. Et si tous les Palestiniens se convertissaient en masse, ils pourraient raser ces putains de mosquées qui usurpent l’endroit et reconstruire leur putain de temple. Au moins, on ne verrait plus personne se lamenter sur le mur des lamentations.