.../... Il s’en est suivi deux graves dérives théologiques au sein du christianisme :
1/ la haine des Juifs qui n’ont pas suivi Jésus, et
2/ la croyance en "de bonnes violences" à pratiquer en vue du triomphe du christianisme, c’est-à-dire de l’amour dans toute la société humaine. Cette folle conception théologique a bien donné, hélas, de nombreuses pratiques criminelles exercées par des "chrétiens".
La première dérive, l’antisémitisme a enfin, après 19 siècles de pratique, été reconnue et fermement condamnée, rejetée, par le concile Vatican II.
Mais la seconde dérive n’a toujours pas, elle, été reconnue, alors qu’elle est toujours très largement présente dans des pensées et expressions faussement chrétiennes.
C’est au point que le pape François tient à la nier une fois de plus dans son encyclique, alors qu’il devrait se consacrer à la faire disparaître.