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Les commentaires de BA



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    BA 23 septembre 2020 22:29

    Mercredi 23 septembre 2020 :


    Coronavirus : la liste des mesures applicables à partir de samedi dans la métropole Aix-Marseille, classée en "alerte maximale".


    Classée en zone "alerte maximale", la métropole Aix-Marseille (dont le périmètre entendu dans le cadre des mesures sanitaires devra être défini) sera soumise à une liste de nouvelles mesures restrictives.

    - Tous les bars et restaurants seront fermés dès samedi.
    - Les gymnases, salles de sport et salles des fêtes seront fermés.
    - Limitation de la jauge à 1 000 personnes pour les événements sous réserve d’un respect strict du protocole sanitaire.
    - Interdiction des grands événements déclarés comme les fêtes locales et étudiantes.
    - Interdiction des rassemblements de plus de 10 personnes dans l’espace public.

    Ces mesures devraient, dans l’idéal, s’appliquer pour une durée maximale de deux semaines, a précisé Olivier Véran. Toutefois, en cas d’aggravation de la situation, l’état d’urgence sanitaire pourra être réactivé dans la métropole Aix-Marseille.

    https://www.laprovence.com/actu/en-direct/6120552/coronavirus-la-liste-des-mesures-applicables-dans-la-metropole-aix-marseille-classee-en-alerte-maximale.h



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    BA 23 septembre 2020 22:28

    Mercredi 23 septembre 2020 :


    Coronavirus : la liste des mesures applicables à partir de samedi dans la métropole Aix-Marseille, classée en "alerte maximale".


    Classée en zone "alerte maximale", la métropole Aix-Marseille (dont le périmètre entendu dans le cadre des mesures sanitaires devra être défini) sera soumise à une liste de nouvelles mesures restrictives.

    - Tous les bars et restaurants seront fermés dès samedi.
    - Les gymnases, salles de sport et salles des fêtes seront fermés.
    - Limitation de la jauge à 1 000 personnes pour les événements sous réserve d’un respect strict du protocole sanitaire.
    - Interdiction des grands événements déclarés comme les fêtes locales et étudiantes.
    - Interdiction des rassemblements de plus de 10 personnes dans l’espace public.

    Ces mesures devraient, dans l’idéal, s’appliquer pour une durée maximale de deux semaines, a précisé Olivier Véran. Toutefois, en cas d’aggravation de la situation, l’état d’urgence sanitaire pourra être réactivé dans la métropole Aix-Marseille.

    https://www.laprovence.com/actu/en-direct/6120552/coronavirus-la-liste-des-mesures-applicables-dans-la-metropole-aix-marseille-classee-en-alerte-maximale.h



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    BA 18 septembre 2020 06:48

    Vendredi 18 septembre 2020 :


    Israël, le Maroc, les Philippines, la Nouvelle-Zélande, l’Australie ont reconfiné des régions, des villes, voire des quartiers.


    Covid-19 : Israël, Inde, Allemagne ... Comment le monde fait face à la deuxième vague.


    Le nombre de cas de Covid-19 augmente un peu partout dans le monde. Face à cette recrudescence, les autorités politiques locales prennent des mesures de restriction, voire de reconfinement.


    Sur la deuxième vague, tous les spécialistes et médecins ne sont pas d’accord, mais ce qui est sûr, c’est que le nombre de cas de Covid-19 augmente un peu partout dans le monde. Face à cette recrudescence, les autorités politiques prennent des mesures de restriction. 


    Un pays a d’ores et déjà annoncé se reconfiner, c’est Israël. Le gouvernement de Benyamin Netanyahou a annoncé qu’à partir de vendredi 18 septembre, retour à la maison pour tout le monde. Magasins, bars, restaurants devront rester fermés. 


    Seules les entreprises privées qui ne reçoivent pas de public sont autorisées à continuer leur activité pour ne pas totalement bloquer l’économie. C’est le seul pays au monde aujourd’hui à avoir remis en place ce confinement national.  Du coup, certains ont préféré des reconfinements locaux. 


    C’est d’ailleurs ce que préconise l’OMS, l’Organisation mondiale de la santé. Le Maroc, les Philippines, la Nouvelle-Zélande, l’Australie ont reconfiné des régions, des villes, voire même des quartiers pour endiguer la propagation du virus sans pénaliser l’économie du pays. 


    Et cela semble fonctionner. En Australie, par exemple, un quart de la population a été reconfiné et cela fait deux jours que les autorités n’ont enregistré aucun décès du au Covid. C’est une première depuis deux mois.


    Chez les autres voisins européens, pas de reconfinement, mais ce sont plutôt des mesures de restriction. Londres, par exemple, a interdit les réunions privées de plus de six personnes. Et à Birmingham, la deuxième ville du pays très touchée, les règles sont encore plus strictes. Les rencontres entre amis ou famille sont totalement interdites.


    Certes, les bars et restaurants restent ouverts, mais vous ne pouvez y aller qu’avec les membres de votre foyer. Autre exemple, le Danemark, qui a décidé de fermer les bars et les restaurants à 22 heures. Pourquoi ? Pour enrayer la propagation du virus chez les jeunes : une population souvent asymptomatique et qui contribue à la diffusion. 


    Et puis, enfin, l’Espagne, où les restrictions sont peut être les plus nombreuses : masque obligatoire partout dès 6 ans, rentrée étalée sur un mois... Madrid, la Catalogne, le Pays basque, les Baléares ont interdit les rassemblements de plus de 10 personnes. Mais malgré cela, l’Espagne reste l’un des trois pays européens les plus touchés. 

    Est-ce que ça veut dire que les restrictions ne fonctionnent pas ? En tout cas, l’Espagne montre qu’en bout de chaîne, ces mesures doivent être respectées et appliquées. Sinon, ces restrictions ne servent à rien. 

    Autre exemple, l’Allemagne, où la population soutient son gouvernement, applique les mesures de manière stricte depuis des semaines. Les chiffres sont en Allemagne parmi les plus bas d’Europe.


    En Asie, en revanche, les autorités indiennes semblent totalement débordées, avec près de 100.000 nouveaux cas de Covid chaque jour, et 83 198 morts. Et encore, ce sont les chiffres officiels en Inde, sûrement très en deçà de la réalité. Le gouvernement indien est totalement dépassé. Il ne peut pas enrayer la pandémie. Il se rabat désormais sur la jeunesse de sa population, souvent moins victime, et l’immunité collective. Ce sera peut être un peu juste pour limiter les dégâts.


    https://www.rtl.fr/actu/international/covid-19-israel-inde-allemagne-comment-le-monde-fait-face-a-la-deuxieme-vague-7800808935



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    BA 16 septembre 2020 18:49

    Mercredi 16 septembre 2020 :


    Le Covid-19, "pire que toutes les sciences-fictions" : les sombres prédictions d’un expert de l’OMS.


    LE PIRE À VENIR ? - La pandémie a fait quelque 930.000 morts et un des six envoyés spéciaux de l’Organisation mondiale de la Santé pour le Covid-19 a estimé qu’elle n’en est qu’à son début.


    Et si la pandémie n’en était qu’à ses débuts ? C’est la sombre prédiction d’un expert de l’OMS, alors que l’Inde a dépassé mercredi la barre des cinq millions de cas recensés de coronavirus et que près de 930.000 personnes en sont déjà mortes à travers le monde selon un bilan établi par l’AFP à partir de sources officielles. 


    "Ceci est bien pire que toutes les sciences-fictions sur les pandémies", a ainsi déclaré l’un des six envoyés spéciaux de l’Organisation mondiale de la Santé pour le Covid-19, le docteur David Nabarro, devant la commission des Affaires étrangères du Parlement britannique.


    "C’est vraiment sérieux, nous n’en sommes même pas à mi-chemin. Nous en sommes encore au début", a-t-il affirmé, cité mardi par l’agence britannique Press Association.


    https://www.lci.fr/sante/covid-19-pire-que-toutes-les-sciences-fictions-de-pandemies-les-sombres-predictions-d-un-expert-de-l-oms-pour-le-coronavirus-2164680.html



  • 3 votes
    BA 14 septembre 2020 18:48

    Lundi 14 septembre 2020 :


    17h26 : Jean-Olivier Arnaud, directeur de l’Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille (AP-HM) alerte sur la situation des hôpitaux marseillais : "129 lits occupés sur 155 dédiés à la prise en charge des patients Covid et 31 lits utilisés en réanimation sur 35, nous ne sommes pas loin de la saturation". Il annonce 25 lits de médecine supplémentaires cette semaine.

    17h19 : Dans la région Paca, 139 personnes sont en réanimation, ajoute Philippe de Mester, et 64 lits de réanimation sont disponibles dans l’ensemble de la région. La "situation est beaucoup plus tendue à Marseille et dans les Bouches-du-Rhône". Le directeur général de l’ARS Paca indique que l’activité chirurgicale sera réduite pour "dégager des capacités de réanimation supplémentaires". Il note que plus de 10 000 tests sont réalisés chaque jour dans la région.

    17h17 : "Dans les Bouches-du-Rhône, nous figurons en tête du classement national des départements dont la situation évolue le plus défavorablement."

    17h11 : Philippe De Mester, directeur général de l’ARS de Provence-Alpes-Côte-d’Azur, fait le point sur la situation épidémique "particulièrement préoccupante" à Marseille et dans le département des Bouches-du-Rhône. "Depuis le début du mois de septembre", un taux d’incidence de 312 pour 100 000 et un taux de positivité de 10,6% sont observés.

    https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/direct-coronavirus-les-prefets-doivent-annoncer-de-nouvelles-mesures-cet-apres-midi-en-gironde-et-dans-les-bouches-du-rhone_4105603.html




  • 1 vote
    BA 14 septembre 2020 18:47

    Lundi 14 septembre 2020 :


    17h26 : Jean-Olivier Arnaud, directeur de l’Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille (AP-HM) alerte sur la situation des hôpitaux marseillais : "129 lits occupés sur 155 dédiés à la prise en charge des patients Covid et 31 lits utilisés en réanimation sur 35, nous ne sommes pas loin de la saturation". Il annonce 25 lits de médecine supplémentaires cette semaine.

    17h19 : Dans la région Paca, 139 personnes sont en réanimation, ajoute Philippe de Mester, et 64 lits de réanimation sont disponibles dans l’ensemble de la région. La "situation est beaucoup plus tendue à Marseille et dans les Bouches-du-Rhône". Le directeur général de l’ARS Paca indique que l’activité chirurgicale sera réduite pour "dégager des capacités de réanimation supplémentaires". Il note que plus de 10 000 tests sont réalisés chaque jour dans la région.

    17h17 : "Dans les Bouches-du-Rhône, nous figurons en tête du classement national des départements dont la situation évolue le plus défavorablement."

    17h11 : Philippe De Mester, directeur général de l’ARS de Provence-Alpes-Côte-d’Azur, fait le point sur la situation épidémique "particulièrement préoccupante" à Marseille et dans le département des Bouches-du-Rhône. "Depuis le début du mois de septembre", un taux d’incidence de 312 pour 100 000 et un taux de positivité de 10,6% sont observés.

    https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/direct-coronavirus-les-prefets-doivent-annoncer-de-nouvelles-mesures-cet-apres-midi-en-gironde-et-dans-les-bouches-du-rhone_4105603.html




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    BA 12 septembre 2020 09:16

    Samedi 12 septembre 2020 :


    La deuxième vague est arrivée à Marseille, Bordeaux, et en Guadeloupe.


    "Quand on a vu le monde sur les plages cet été à Marseille, on s’attendait à la deuxième vague ... La voilà !" : pour Elsa Simoncini, infirmière en réanimation à l’hôpital marseillais de la Timone, la situation sur le front du Covid-19 est "angoissante".


    L’infirmière court d’un box de réanimation à l’autre, essoufflée sous son masque : un médecin a besoin de gants, un autre d’une bouteille d’oxygène, et le téléphone sonne sans arrêt. "Il y a eu une très, très grosse accélération la semaine dernière", confirme le Pr Lionel Velly, anesthésiste réanimateur. Après un été calme, "à partir du 15 août la courbe des cas est montée de façon exponentielle et là, on atteint une mise en tension du système".


    La deuxième ville de France, relativement épargnée par la première vague, est aujourd’hui dans l’œil du cyclone. Marseille connaît un taux d’incidence record, à 275 pour 100.000 habitants (contre 144 pour Paris).


    En quelques jours, l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM), dont dépend la Timone, a dû ouvrir des lits de réanimation supplémentaires. Elle en compte aujourd’hui 139 dédiés au Covid-19, dont 32 en réanimation. Et vendredi à midi, elle accueillait 114 patients atteints, dont 26 en réanimation.


    - "Matelas de sécurité" -


    A l’étage du Professeur Velly, 10 de ces 12 lits dédiés étaient occupés vendredi matin. "Il faut toujours qu’il reste deux lits libres, c’est notre matelas de sécurité", explique le médecin. De grandes flèches au sol distinguent ces box des autres, les "non-Covid".


    C’est une des grandes différences avec le pic de mars : cette fois, d’autres patients cohabitent avec les malades du coronavirus. "La vie normale a repris, donc on a les accidents de la route, les arrêts cardiaques, les opérations qui se terminent mal", énumère le Pr Velly.


    Il estime que l’augmentation du nombre de cas à Marseille est liée à "l’afflux de touristes cet été", mais aussi "à tous les rassemblements festifs". S’y ajoute, selon lui, "la difficulté d’accéder aux tests, notamment pour des personnes très âgées, qui ne peuvent pas faire la queue des heures".


    La grande inconnue est "la hauteur de cette deuxième vague", estime le Pr Velly. "Contrairement au mois de mars, on ne peut pas compter sur le confinement pour ralentir la progression". L’équipe envisage déjà, dans les jours à venir, de réserver le plateau de réanimation aux patients Covid, qui sont sur "des longues durées d’hospitalisation : 12 jours pour les ventilés, 21 jours pour les intubés".


    - "Il faut le brancher, vite !"
     


    Dans une des chambres, un patient présente un tableau préoccupant. "Son état s’aggrave, il dit qu’il est fatigué, il n’a plus de réserves", décrit un médecin. "On attend le plus possible pour intuber, mais là on n’a plus le choix", explique le Pr Velly.


    Deux soignants s’y attellent, équipés de casques reliés par de gros tuyaux à des filtres à particules. "Par rapport à mars, aujourd’hui, on est bien équipés, notamment pour ces procédures difficiles et très contaminantes", se félicite le Pr Velly, en brandissant un "vestige de la première vague" : une visière achetée dans un magasin de bricolage.


    Pendant l’intubation, la saturation en oxygène du sexagénaire chute soudainement. Le Pr Velly ordonne : "Il faut le brancher, vite, là !". La sonde est posée, le patient sauvé.


    Dans les couloirs aseptisés, le calme règne et les échanges se font à voix basse, malgré le stress et l’activité incessante. Pourtant certains visages sont tendus et des infirmières font part au professeur de leurs inquiétudes : le service manque déjà de personnel non-médical.


    La cadre de santé de l’hôpital, qui a demandé des renforts, admet : "Ce week-end, vous serez 10, alors qu’il faudrait être 14". Mais elle se veut rassurante : "On va se baser sur l’expérience vécue pour l’améliorer".


    Pour s’épargner, médecins et personnels non-médicaux vont tourner, une semaine sur deux en service Covid. "Sinon on ne tiendra pas sur la durée", souffle Adeline, aide-soignante. "En mars, c’était de l’abattage, on ne voyait pas le jour et on avait peur pour nous et nos familles", raconte-t-elle.


    Le Pr Velly, lui, met en garde ses équipes : "Évitez les mariages, les baptêmes, ne venez pas à l’hôpital sans masque, si on a des cas parmi le personnel, ça va devenir compliqué."


    https://fr.news.yahoo.com/covid-19-%C3%A0-marseille-lh%C3%B4pital-221354235.html



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    BA 12 septembre 2020 09:15

    Samedi 12 septembre 2020 :


    La deuxième vague est arrivée à Marseille, Bordeaux, et en Guadeloupe.


    "Quand on a vu le monde sur les plages cet été à Marseille, on s’attendait à la deuxième vague ... La voilà !" : pour Elsa Simoncini, infirmière en réanimation à l’hôpital marseillais de la Timone, la situation sur le front du Covid-19 est "angoissante".


    L’infirmière court d’un box de réanimation à l’autre, essoufflée sous son masque : un médecin a besoin de gants, un autre d’une bouteille d’oxygène, et le téléphone sonne sans arrêt. "Il y a eu une très, très grosse accélération la semaine dernière", confirme le Pr Lionel Velly, anesthésiste réanimateur. Après un été calme, "à partir du 15 août la courbe des cas est montée de façon exponentielle et là, on atteint une mise en tension du système".


    La deuxième ville de France, relativement épargnée par la première vague, est aujourd’hui dans l’œil du cyclone. Marseille connaît un taux d’incidence record, à 275 pour 100.000 habitants (contre 144 pour Paris).


    En quelques jours, l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM), dont dépend la Timone, a dû ouvrir des lits de réanimation supplémentaires. Elle en compte aujourd’hui 139 dédiés au Covid-19, dont 32 en réanimation. Et vendredi à midi, elle accueillait 114 patients atteints, dont 26 en réanimation.


    - "Matelas de sécurité" -


    A l’étage du Professeur Velly, 10 de ces 12 lits dédiés étaient occupés vendredi matin. "Il faut toujours qu’il reste deux lits libres, c’est notre matelas de sécurité", explique le médecin. De grandes flèches au sol distinguent ces box des autres, les "non-Covid".


    C’est une des grandes différences avec le pic de mars : cette fois, d’autres patients cohabitent avec les malades du coronavirus. "La vie normale a repris, donc on a les accidents de la route, les arrêts cardiaques, les opérations qui se terminent mal", énumère le Pr Velly.


    Il estime que l’augmentation du nombre de cas à Marseille est liée à "l’afflux de touristes cet été", mais aussi "à tous les rassemblements festifs". S’y ajoute, selon lui, "la difficulté d’accéder aux tests, notamment pour des personnes très âgées, qui ne peuvent pas faire la queue des heures".


    La grande inconnue est "la hauteur de cette deuxième vague", estime le Pr Velly. "Contrairement au mois de mars, on ne peut pas compter sur le confinement pour ralentir la progression". L’équipe envisage déjà, dans les jours à venir, de réserver le plateau de réanimation aux patients Covid, qui sont sur "des longues durées d’hospitalisation : 12 jours pour les ventilés, 21 jours pour les intubés".


    - "Il faut le brancher, vite !"
     


    Dans une des chambres, un patient présente un tableau préoccupant. "Son état s’aggrave, il dit qu’il est fatigué, il n’a plus de réserves", décrit un médecin. "On attend le plus possible pour intuber, mais là on n’a plus le choix", explique le Pr Velly.


    Deux soignants s’y attellent, équipés de casques reliés par de gros tuyaux à des filtres à particules. "Par rapport à mars, aujourd’hui, on est bien équipés, notamment pour ces procédures difficiles et très contaminantes", se félicite le Pr Velly, en brandissant un "vestige de la première vague" : une visière achetée dans un magasin de bricolage.


    Pendant l’intubation, la saturation en oxygène du sexagénaire chute soudainement. Le Pr Velly ordonne : "Il faut le brancher, vite, là !". La sonde est posée, le patient sauvé.


    Dans les couloirs aseptisés, le calme règne et les échanges se font à voix basse, malgré le stress et l’activité incessante. Pourtant certains visages sont tendus et des infirmières font part au professeur de leurs inquiétudes : le service manque déjà de personnel non-médical.


    La cadre de santé de l’hôpital, qui a demandé des renforts, admet : "Ce week-end, vous serez 10, alors qu’il faudrait être 14". Mais elle se veut rassurante : "On va se baser sur l’expérience vécue pour l’améliorer".


    Pour s’épargner, médecins et personnels non-médicaux vont tourner, une semaine sur deux en service Covid. "Sinon on ne tiendra pas sur la durée", souffle Adeline, aide-soignante. "En mars, c’était de l’abattage, on ne voyait pas le jour et on avait peur pour nous et nos familles", raconte-t-elle.


    Le Pr Velly, lui, met en garde ses équipes : "Évitez les mariages, les baptêmes, ne venez pas à l’hôpital sans masque, si on a des cas parmi le personnel, ça va devenir compliqué."


    https://fr.news.yahoo.com/covid-19-%C3%A0-marseille-lh%C3%B4pital-221354235.html



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    BA 10 septembre 2020 20:59

    Jeudi 10 septembre 2020 :


    Le taux de positivité (proportion du nombre de personnes testées positives par rapport au nombre total de personnes testées) a atteint 5,4% entre le 1er et le 7 septembre.


    Le taux de positivité des tests est passé de 1,6% à 5,4% en seulement un mois.


    Le taux de positivité explose ces dernières semaines. Alors qu’il était de 1,6% le 6 août dernier, il s’élève désormais à 5,4% sur le territoire national, a indiqué hier Santé Publique France dans son point quotidien.


    9843 nouveaux cas en 24 heures en France, un record.


    9843 nouveaux cas de coronavirus ont été recensés aujourd’hui, selon les chiffres quotidiens publiés par Santé publique France. Un record depuis le début de la pandémie en France.


    5096 personnes sont hospitalisées selon la Direction générale de la Santé (DGS), dont 352 au cours des dernières 24 heures.


    615 personnes ont été admises en réanimation, dont 54 au cours des dernières 24h. 


    La DGS rapporte 19 décès liés au virus en France au cours des dernières 24h, portant le total depuis le début de l’épidémie à 30.813, dont 20.338 au sein des établissements hospitaliers et 10.475 au sein des établissements sociaux et médico-sociaux (données du 7 septembre).


    La DGS recense 2025 « clusters », en incluant ceux des Ehpad, dont 73 nouveaux depuis hier. 


    Le taux de positivité (proportion du nombre de personnes testées positives par rapport au nombre total de personnes testées) a atteint 5,4% entre le 1er et le 7 septembre.



    https://www.lefigaro.fr/sciences/ecoles-fermees-mesures-ciblees-chomage-partiel-suivez-notre-live-sur-le-covid-19-20200910



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    BA 22 août 2020 07:19

    Vendredi 21 août 2020 :


    Coronavirus : 4586 nouveaux cas en 24 heures, 430 « clusters » en activité.


    Le taux de positivité des tests continue de grimper, s’établissant à 3,4 %, alors que 20.482 nouveaux cas ont été dépistés en une semaine.


    L’épidémie de coronavirus prend d’inquiétantes proportions ce vendredi 21 août, alors que 4586 nouveaux cas ont été détectés ces dernières 24 heures, selon le communiqué quotidien de la direction générale de la Santé (DGS). La veille, 4771 cas avaient été détectés. 20.482 cas ont été dépistés en une semaine.


    23 personnes sont mortes du Covid ces dernières 24 heures, portant le total à 30.503 victimes.


    210 nouvelles admissions à l’hôpital ont été recensées, pour un total de 4745 malades actuellement hospitalisés. Parmi eux, 37 nouveaux patients graves ont été admis en réanimation, portant le solde de malades dans ces unités à 379.


    Le taux d’incidence a progressé en sept jours de 42%


    « La circulation du virus s’accélère : le taux d’incidence a progressé en sept jours de 42%. Neuf départements ont désormais dépassé le seuil d’alerte de 50 nouveaux cas positifs dépistés au cours des 7 derniers jours pour 100 000 habitants », indique la DGS.


    https://www.lefigaro.fr/actualite-france/coronavirus-4586-nouveaux-cas-en-24-heures-430-clusters-en-activite-20200821



  • 2 votes
    BA 20 août 2020 20:14

    Jeudi 20 août 2020 :


    Coronavirus : 4771 nouveaux cas en 24 heures, 410 « clusters » en activité.


    L’épidémie de coronavirus a définitivement repris en France, où 4771 nouveaux cas ont été détectés ces dernières 24 heures, a annoncé ce jeudi 20 août la direction générale de la Santé (DGS) dans son communiqué quotidien. La veille, 3776 cas avaient été détectés.


    18.638 cas ont été dépistés en une semaine.


    12 personnes sont mortes du Covid ces dernières 24 heures, portant le total à 30.480 victimes.


    149 nouvelles admissions à l’hôpital ont été recensées, pour un total de 4748 malades actuellement hospitalisés. Parmi eux, 28 nouveaux patients graves ont été admis en réanimation, portant le solde de malades dans ces unités à 380. Les régions « Île-de-France, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Hauts-de-France et Guyane regroupent 71% des malades en réanimation », précise la DGS.

    410 « clusters », ou foyers de contagion, sont toujours en activité sur le territoire, dont 35 nouveaux qui ont été détectés ces dernières 24 heures.


    Entre le 11 et le 17 août, 64.170 tests ont été effectués sur le territoire, avec un taux de positivité de 3,3% - un chiffre en forte hausse depuis plusieurs jours. Depuis le début de l’épidémie, 109.743 personnes ont été hospitalisées et 84.642 sont rentrées à domicile.


    https://www.lefigaro.fr/sciences/coronavirus-4471-nouveaux-cas-en-24-heures-410-clusters-en-activite-20200820



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    BA 20 août 2020 14:28

    Jeudi 20 août 2020 :


    Avec le regain inquiétant de l’épidémie en Espagne, en France ou en Allemagne, l’Europe multiplie les mesures de restrictions à l’approche de la rentrée. La vaccination, obligatoire ou pas, fait déjà débat dans le monde.


    Dans le monde, et notamment en Europe, les restrictions se multiplient face à la progression de l’épidémie qui a déjà fait plus de 781 000 morts. Plus de 22 millions de cas d’infection ont été diagnostiqués dans 196 pays et territoires depuis le début de l’épidémie. 


    Le débat sur la vaccination est lancé avant même la mise au point d’un vaccin : elle sera ainsi obligatoire en Australie, mais pas aux Etats-Unis. Ce pays reste le plus endeuillé de la planète, et a enregistré 172 965 décès, soit 1 286 de plus au cours des dernières 24 heures.


    En Amérique latine, la Colombie, 4e pays le plus touché après le Brésil, le Mexique et le Pérou, a franchi la barre du demi-million de cas. 


    Inquiétude en Allemagne, "une évolution à juguler" selon Merkel


    L’Europe, qui avait pris des mesures draconiennes pour contenir la progression de la pandémie au cours de l’hiver et du printemps, s’inquiète elle aussi d’un nouveau rebond alors que les vacances d’été touchent à leur fin. 

    L’Allemagne a enregistré au cours des dernières 24 heures 1 707 nouveaux cas d’infection au coronavirus et dix décès. A hauteur des niveaux de fin avril, une période alors encore considérée comme le pic de la pandémie.

    Les autorités multiplient les mises en garde face à la remontée des cas de contaminations, 228 621 au total, liée en grande partie au retour de nombreux touristes allemands de l’étranger.

    "Le doublement des nouveaux cas" observés en moyenne chaque jour "dans toute l’Allemagne ces trois dernières semaines" constitue une "évolution qui ne devrait pas se poursuivre mais que nous devrions au contraire juguler", a ainsi prévenu la chancelière Angela Merkel.

    Cette situation a conduit le gouvernement à déclarer pratiquement toute l’Espagne et une partie des Balkans, des zones prisées des vacanciers allemands, comme zones à risque et à imposer tests et quarantaines au retour.


    Nouvelle vague en Espagne


    Car en Espagne, le nombre de morts hebdomadaires a doublé : le pays a recensé mercredi 131 décès en une semaine, tandis que la région de Madrid redevient la région la plus touchée comme au pic de la pandémie. Le nombre de nouveaux cas a lui aussi bondi avec 6 700 de plus positifs recensés en 24 heures, portant le total à plus de 370 000, le nombre le plus élevé d’Europe occidentale.

    Face à cette nouvelle vague, l’Espagne a décidé vendredi la fermeture des boîtes de nuit et l’interdiction de fumer dans la rue si une distance de sécurité de deux mètres ne peut pas être respectée, s’ajoutant à l’obligation déjà généralisée du port du masque.


    Quelles mesures pour la rentrée scolaire en France  ?


    La France a elle aussi dépassé ces dernières 24 heures les 3 700 nouveaux cas de Covid-19, une progression inédite depuis mai. Au total, 16 747 personnes y ont été dépistées positives au Covid-19 sur les sept derniers jours.

    Les obligations de port du masque s’étendent progressivement à de plus larges périmètres dans de nombreuses localités. Ainsi, dans le sud, après Toulouse, Nice a rendu le masque obligatoire dans toute la ville.

    L’approche de la rentrée scolaire provoque dans le même temps les craintes des enseignants, qui s’inquiètent des conditions dans lesquelles elle va se dérouler, alors que les règles de distanciation physique ont été nettement assouplies en juillet, permettant à tous les élèves de pouvoir revenir en classe.


    Débat ouvert sur la vaccination


    Alors que les recherches s’accélèrent pour trouver un vaccin, aux Etats-Unis, où l’aversion d’une partie de la population est vive contre des mesures contraignantes comme le simple port du masque, le vaccin anti-Covid-19 ne sera pas obligatoire. 


    Le docteur Anthony Fauci, directeur de l’Institut américain des maladies infectieuses, a déclaré mercredi qu’on ne pouvait "pas obliger, ou tenter de forcer les gens à se vacciner". "Nous ne l’avons jamais fait", a déclaré ce haut responsable, membre de la cellule de la Maison Blanche sur le virus. Le gouvernement de Donald Trump a pré-commandé des centaines de millions de doses auprès de six sociétés développant des vaccins potentiels et prévoit que les doses soient gratuites.


    Australie : le vaccin sera obligatoire


    Le Premier ministre australien Scott Morrison a quant à lui annoncé que se faire vacciner contre le coronavirus devrait "être obligatoire" dans son pays, sauf dispense pour raisons médicales. Les autorités australiennes estiment qu’il faudrait que 95% de la population soit immunisée pour l’éradication du virus.


    https://www.sudouest.fr/2020/08/20/coronavirus-l-europe-s-alarme-du-regain-de-l-epidemie-et-la-vaccination-fait-debat-7760473-10997.php



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    BA 20 août 2020 14:27

    Jeudi 20 août 2020 :


    Avec le regain inquiétant de l’épidémie en Espagne, en France ou en Allemagne, l’Europe multiplie les mesures de restrictions à l’approche de la rentrée. La vaccination, obligatoire ou pas, fait déjà débat dans le monde.


    Dans le monde, et notamment en Europe, les restrictions se multiplient face à la progression de l’épidémie qui a déjà fait plus de 781 000 morts. Plus de 22 millions de cas d’infection ont été diagnostiqués dans 196 pays et territoires depuis le début de l’épidémie. 


    Le débat sur la vaccination est lancé avant même la mise au point d’un vaccin : elle sera ainsi obligatoire en Australie, mais pas aux Etats-Unis. Ce pays reste le plus endeuillé de la planète, et a enregistré 172 965 décès, soit 1 286 de plus au cours des dernières 24 heures.


    En Amérique latine, la Colombie, 4e pays le plus touché après le Brésil, le Mexique et le Pérou, a franchi la barre du demi-million de cas. 


    Inquiétude en Allemagne, "une évolution à juguler" selon Merkel


    L’Europe, qui avait pris des mesures draconiennes pour contenir la progression de la pandémie au cours de l’hiver et du printemps, s’inquiète elle aussi d’un nouveau rebond alors que les vacances d’été touchent à leur fin. 

    L’Allemagne a enregistré au cours des dernières 24 heures 1 707 nouveaux cas d’infection au coronavirus et dix décès. A hauteur des niveaux de fin avril, une période alors encore considérée comme le pic de la pandémie.

    Les autorités multiplient les mises en garde face à la remontée des cas de contaminations, 228 621 au total, liée en grande partie au retour de nombreux touristes allemands de l’étranger.

    "Le doublement des nouveaux cas" observés en moyenne chaque jour "dans toute l’Allemagne ces trois dernières semaines" constitue une "évolution qui ne devrait pas se poursuivre mais que nous devrions au contraire juguler", a ainsi prévenu la chancelière Angela Merkel.

    Cette situation a conduit le gouvernement à déclarer pratiquement toute l’Espagne et une partie des Balkans, des zones prisées des vacanciers allemands, comme zones à risque et à imposer tests et quarantaines au retour.


    Nouvelle vague en Espagne


    Car en Espagne, le nombre de morts hebdomadaires a doublé : le pays a recensé mercredi 131 décès en une semaine, tandis que la région de Madrid redevient la région la plus touchée comme au pic de la pandémie. Le nombre de nouveaux cas a lui aussi bondi avec 6 700 de plus positifs recensés en 24 heures, portant le total à plus de 370 000, le nombre le plus élevé d’Europe occidentale.

    Face à cette nouvelle vague, l’Espagne a décidé vendredi la fermeture des boîtes de nuit et l’interdiction de fumer dans la rue si une distance de sécurité de deux mètres ne peut pas être respectée, s’ajoutant à l’obligation déjà généralisée du port du masque.


    Quelles mesures pour la rentrée scolaire en France  ?


    La France a elle aussi dépassé ces dernières 24 heures les 3 700 nouveaux cas de Covid-19, une progression inédite depuis mai. Au total, 16 747 personnes y ont été dépistées positives au Covid-19 sur les sept derniers jours.

    Les obligations de port du masque s’étendent progressivement à de plus larges périmètres dans de nombreuses localités. Ainsi, dans le sud, après Toulouse, Nice a rendu le masque obligatoire dans toute la ville.

    L’approche de la rentrée scolaire provoque dans le même temps les craintes des enseignants, qui s’inquiètent des conditions dans lesquelles elle va se dérouler, alors que les règles de distanciation physique ont été nettement assouplies en juillet, permettant à tous les élèves de pouvoir revenir en classe.


    Débat ouvert sur la vaccination


    Alors que les recherches s’accélèrent pour trouver un vaccin, aux Etats-Unis, où l’aversion d’une partie de la population est vive contre des mesures contraignantes comme le simple port du masque, le vaccin anti-Covid-19 ne sera pas obligatoire. 


    Le docteur Anthony Fauci, directeur de l’Institut américain des maladies infectieuses, a déclaré mercredi qu’on ne pouvait "pas obliger, ou tenter de forcer les gens à se vacciner". "Nous ne l’avons jamais fait", a déclaré ce haut responsable, membre de la cellule de la Maison Blanche sur le virus. Le gouvernement de Donald Trump a pré-commandé des centaines de millions de doses auprès de six sociétés développant des vaccins potentiels et prévoit que les doses soient gratuites.


    Australie : le vaccin sera obligatoire


    Le Premier ministre australien Scott Morrison a quant à lui annoncé que se faire vacciner contre le coronavirus devrait "être obligatoire" dans son pays, sauf dispense pour raisons médicales. Les autorités australiennes estiment qu’il faudrait que 95% de la population soit immunisée pour l’éradication du virus.


    https://www.sudouest.fr/2020/08/20/coronavirus-l-europe-s-alarme-du-regain-de-l-epidemie-et-la-vaccination-fait-debat-7760473-10997.php




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    BA 3 août 2020 11:38

    Coronavirus : les Etats-Unis ont désormais une mortalité plus élevée que la France.


    Saint-Marin : 125,23 morts pour 100 000 habitants

    Belgique : 85,59 morts pour 100 000 habitants

    Royaume-Uni : 71,09 morts pour 100 000 habitants

    Andorre : 60,68 morts

    Pérou : 60,63 morts

    Espagne : 58,1 morts

    Suède : 57,53 morts

    Italie : 56,53 morts

    Chili : 54,01 morts

    Etats-Unis : 46,14 morts

    Brésil : 45,38 morts

    France : 45,04 morts

    Panama : 39,19 morts

    Mexique : 38,33 morts

    Pays-Bas : 36,11 morts

    Equateur : 35,3 morts


    Avec seulement 42 morts enregistrés, Saint-Marin, au nord-est de l’Italie, et ses 33.000 habitants se retrouvent logiquement les plus frappés. Comme le montre la carte ci-dessous, réalisée par Esri France, Saint-Marin enregistre un ratio de 125,23 décès pour 100.000 habitants.


    Il devance la Belgique, avec 85,59 décès pour 100.000 habitants. Depuis le début de la pandémie, le "Plat Pays" compte 9836 morts pour 11,4 millions d’habitants.

    Derrière la Belgique, on retrouve le Royaume-Uni (71,09 morts pour 100.000 habitants), puis la principauté d’Andorre, avec 60,68 morts pour 100.000 habitants. Suivent le Pérou (60,63), l’Espagne (58,09), la Suède (57,53), dont la gestion de crise, basée sur l’immunité collective, a soulevé des questions, au point de dépasser l’Italie, pays initialement le plus meurtri par l’épidémie et qui présente aujourd’hui une mortalité à 56,53 décès pour 100.000 habitants.


    Particulièrement touchés depuis plusieurs mois, les États-Unis, qui comptent 150.713 morts au total, présentent une mortalité de 46,14 décès pour 100.000 habitants, ce qui les fait devancer la France, 45,04.


    En comparaison, l’Allemagne, dont la gestion de la crise du Covid-19 a été saluée par de nombreux observateurs, déplore seulement 11,33 décès pour 100.000 habitants.


    https://www.lci.fr/international/carte-coronavirus-covid-19-pandemie-mortalite-les-pays-les-plus-touches-belgique-france-espagne-etats-unis-allemagne-2154174.html



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    BA 6 juillet 2020 22:18

    Une "déclaration de guerre à la magistrature" pour l’Union Syndicale des Magistrats. 


    "Nommer une personnalité aussi clivante et qui méprise à ce point les magistrats, c’est une déclaration de guerre à la magistrature", a affirmé Céline Parisot, présidente de l’Union syndicale des magistrats (USM) après la nomination au poste de garde des Sceaux de l’avocat Eric Dupond-Moretti. "Eric Dupond-Moretti semble détester les magistrats qu’il ne se prive pas d’insulter régulièrement, il souhaite la suppression de l’Ecole nationale de la magistrature (ENM), la scission du corps (siège/parquet), soit tout l’inverse de ce que porte l’USM", a-t-elle vilipendé, dénonçant, à travers cette nomination, un "mépris le plus total pour la Justice".


    https://www.francetvinfo.fr/politique/jean-castex/gouvernement-de-jean-castex/direct-remaniement-la-composition-du-nouveau-gouvernement-attendue-dans-la-journee_4036329.html



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    BA 6 juillet 2020 08:21

    Depuis mai 1974, les européistes détruisent la France, mais ils deviennent de plus en plus riches. Dernier exemple en date : en 2019, l’européiste Jean Castex a gagné 208 180 euros net, payés par les CONtribuables français. C’est 17 348 euros net par mois.


    Pour l’année 2019, le total des rémunérations s’élève à 208 180 euros net (soit plus de 17 000 euros par mois). Une somme quasiment identique à celle perçue en 2018.


    https://www.francetvinfo.fr/politique/jean-castex/gouvernement-de-jean-castex/le-nouveau-premier-ministre-jean-castex-touche-t-il-plus-de-200-000-euros-d-argent-public-par-an_4035339.html




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    BA 4 juillet 2020 09:58

    Depuis mai 1974, les européistes cupides dirigent la France. Depuis mai 1974, les européistes cupides détruisent la France. Dernier exemple en date : le nouveau Premier ministre Jean Castex.


    « Monsieur Déconfinement » perçoit plus de 200 000 euros par an d’argent public.


    Haut fonctionnaire et homme politique, Jean Castex, qui vient d’être chargé par le Premier ministre de préparer la sortie du confinement, cumule plusieurs emplois publics.


    Le Premier ministre Edouard Philippe a confié la lourde charge de préparer la sortie du confinement à un inconnu du grand public, Jean Castex. « C’est un couteau suisse », dit-on pour vanter les talents d’organisateur de ce haut fonctionnaire. Et de fait, ce conseiller-maître à la Cour des Comptes, très introduit dans la Macronie, sait parfaitement organiser sa vie puisqu’il cumule plusieurs fonctions politico-administratives – ce qui lui permet de percevoir des émoluments rondelets.


    Comme il est, entre autres, président d’une communauté de communes dans les Pyrénées-Orientales, Jean Castex a dû remplir une déclaration d’intérêts – et donc révéler ses rémunérations au cours des cinq dernières années – auprès de la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie publique.


    https://www.nouvelobs.com/politique/20200407.OBS27192/info-obs-monsieur-deconfinement-percoit-plus-de-200-000-euros-par-an-d-argent-public.html



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    BA 25 juin 2020 00:26

    Chine, Inde, Allemagne, Portugal, Corée du Sud : la deuxième vague force certains pays à reconfiner.


    Le monde semblait entrevoir la fin de la pandémie, les mesures de restrictions s’assouplissaient, les frontières rouvraient petit à petit. Mais la deuxième vague de contaminations au Covid-19, déferlant sur tous les continents, a forcé certains pays à déclarer un reconfinement dans certaines villes, voire régions entières. Allemagne, Portugal, Chine... Quelles sont les zones concernées et jusqu’à quand ?


    Chine : après des régions entières, Pékin


    La Chine est un des premiers pays à avoir reconfiné localement certains de ses cantons, dès la fin du mois de mai, alors que le reste du pays était en train de se déconfiner. Depuis la semaine dernière, les autorités ont procédé au test de plus de 2 millions de personnes pour contenir un nouveau foyer de contamination dans la capitale. Le marché de gros de Xinfadi, principal lieu d’approvisionnement en fruits et légumes de Pékin, est soupçonné d’être la source des nouvelles contaminations avec plus de 220 cas positifs liés à ce cluster. Le rebond épidémique a entraîné le reconfinement de plus de vingt quartiers de Pékin. Tous les établissements scolaires ont été refermés jusqu’à nouvel ordre.


    Inde : la grande ville de Chennai


    Après Pékin qui referme certains quartiers, l’État du Tamil Nadu dans le sud de l’Inde, a ordonné lundi 22 juin le reconfinement "complet" de l’agglomération de Chennai, soit 15 millions d’habitants.

    Les districts de Thiruvallur, Chengalpet et Kanchipuram, zones mitoyennes de la capitale régionale, sont également concernées. Une mesure effective depuis le vendredi 19 juin et jusqu’à la fin du mois minimum, pour face à la progression de l’épidémie, repartie de plus belle dans la région alors qu’au début du mois, l’Inde avait largement assoupli les restrictions mises en place pour lutter contre le virus.


    Allemagne : Gütersloh et Warendorf


    Depuis le mardi 23 juin, chez nos voisins allemands, deux cantons voisins de l’ouest du pays, celui de Gütersloh et de Warendorf, sont de nouveau sous le coup de mesures restrictives pour tenter d’enrayer la propagation du virus. Les autorités ont pris cette décision face à l’éruption d’un foyer de contamination dans le plus grand abattoir d’Europe, où plus de 1550 personnes ont été contaminées. Plus de 600.000 personnes sont concernées : leurs déplacements et leurs activités sont à nouveau strictement limités, mais elles ne sont pas obligées de rester à leur domicile. La mesure, qui doit durer au moins jusqu’au 30 juin, interdit néanmoins l’accès aux bars, cinémas, musées, centres de fitness, piscines, restaurants sauf pour membres d’une même foyer.


    Portugal : Lisbonne et ses alentours


    Au Portugal aussi, le rétablissement partiel des restrictions a été mis en place le même jour, mardi 23 juin. Confiné très tôt, le pays avait été relativement épargné par le Covid-19, mais depuis mi-juin le nombre de contaminations s’est multiplié dans les alentours de Lisbonne. Dans quinze quartiers de la capitale, ainsi que dans les communes voisines telles que Sintra, Odivelas, Loures et Amadora, le gouvernement a prononcé l’interdiction de se rassembler à plus de 10 personnes sur la voie publique, ainsi que la fermeture partielle des cafés et commerces. Une décision annoncée sans date de fin confirmée pour l’instant, suscitant des inquiétudes pour la saison touristique.


    En Corée du Sud : Séoul et sa région


    Toujours ce mardi, la Corée du Sud a reconnu qu’elle luttait depuis mi-mai contre une deuxième vague de coronavirus, à cause des "cas importés", soient des passagers arrivés de l’étranger depuis la reprise des activités. Des mesures de distanciation sociale ont été réimposées fin mai, et pourrait être durcies. 

    Alors que le pays enregistre actuellement entre 35 et 50 nouveaux cas répertoriés chaque jour, et recense la majorité des foyers de contamination à Séoul et ses environs. Le maire de la capitale a averti que des mesures beaucoup plus strictes seraient prises dans la ville si le nombre de contaminations était supérieur à 30 trois jours de suite. 


    https://www.lci.fr/international/deuxieme-vague-en-allemagne-chine-coree-du-sud-ces-villes-ou-regions-reconfinees-2157515.html



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    BA 18 juin 2020 07:21

    Mercredi 17 juin 2020 :


    Deuxième vague à Pékin : les autorités chinoises reconfinent la capitale.


    Coronavirus : la ville de Pékin en voie de confinement – écoles fermées, vols annulés et voyages déconseillés.


    La crainte d’une deuxième vague épidémique après la découverte en cinq jours de plus de cent malades a poussé les autorités de la capitale chinoise à prendre des mesures de restriction.


    Ecoles fermées, recours au télétravail, vols annulés… Pékin en voie de confinement


    Les deux aéroports de Pékin ont annulé mercredi plus d’un millier de vols – soit 70 % de ceux initialement prévus – après un rebond des cas de Covid-19 dans la capitale chinoise, ont annoncé les médias officiels. Pékin a exhorté mardi ses 21 millions d’habitants à éviter les voyages « non essentiels » en dehors de la ville.


    Plusieurs villes et provinces imposent désormais une quarantaine à l’arrivée aux voyageurs en provenance de la capitale chinoise.


    La découverte en cinq jours de plus de cent malades, liés à un marché de la ville, a constitué « un véritable signal d’alarme », a ainsi déclaré un responsable local du parti communiste, pour une situation décrite comme « extrêmement grave ».


    Selon la mairie, la capitale chinoise a enregistré, mercredi, 31 nouvelles contaminations, un chiffre globalement stable pour le quatrième jour de suite, pour un total de 137 cas dans ce foyer épidémique.


    « Cette épidémie est encore en phase ascendante, et nous ne pouvons pas exclure une nouvelle hausse du nombre de personnes infectées », a précisé, mercredi, un responsable sanitaire. Auparavant, Pékin n’avait plus découvert aucune contamination depuis deux mois et la vie avait repris un cours quasi normal.


    La crainte d’une deuxième vague épidémique à Pékin a poussé les autorités locales à agir. La mairie a ainsi lancé une campagne de dépistage massive et a confiné des zones résidentielles. Elle a également annoncé mardi une nouvelle fermeture de toutes les écoles. Les universités doivent quant à elles suspendre le retour des étudiants dans les salles de classe.


    L’origine de ce nouveau foyer reste, pour l’instant, inconnue, et les autorités craignent une propagation.


    « L’épidémie à Pékin n’est probablement pas apparue simplement fin mai ou début juin, a estimé Gao Fu, à la tête du Centre national de prévention des maladies. Le virus était là un mois avant. »


    https://www.lemonde.fr/sante/article/2020/06/17/coronavirus-plus-d-un-millier-de-vols-annules-aux-aeroports-de-pekin_6043102_1651302.html



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    BA 17 juin 2020 19:36

    Mercredi 17 juin 2020 :


    Coronavirus : le Pr Raoult craint une nouvelle vague l’hiver prochain, si un rebond se produit en Nouvelle-Zélande cet été.


    Ces derniers jours, celui qui a été consulté par Emmanuel Macron il y a quelques semaines, s’inquiète des cas déclarés en Nouvelle-Zélande. Selon lui, ce pays "est dans l’hémisphère sud, il a des conditions climatiques proches de celles de la France. S’il y a une épidémie en Nouvelle-Zélande, cet été, on peut redouter qu’il y ait le même type d’épidémie l’hiver prochain, en France".


    https://www.lindependant.fr/2020/06/17/coronavirus-le-pr-raoult-craint-une-nouvelle-vague-lhiver-prochain-si-un-rebond-se-produit-en-nouvelle-zelande-cet-ete,8936529.php