La deuxième erreur, c’est la négation du conflit de civilisation, que Soral ramène incompréhensiblement à un clivage entre terrorisme est civilisation. En France, les meilleurs symptômes de son existence, ce sont les innombrables paraboles qui fleurissent sur les balcons des barres des cités
"Hijack est un excellent commentateur" :
bre il se contredit tout le temps : ; on appelle ça le Soralisme. Ce qu’il dit en décembre il le dénoncera en mai, suffit d’attendre.
Le pire, c’est l’élimination physique des passagers de ces vols. Charles Burlingam a posé le vol77 sur un aérodrome militaire et les passagers ont disparu, probablement assassinés. Il en est de même pour les 3 autres vols.
j’a déjà expliqué cette impossibilité ici-même :
Pearl Harbour, au courant ou pas les américains ?
c’est le même gars ; Juluch qui vient ici écrire ceci
et il a, une façon bien a lui de les traiters a leur tour.... même de les retrouvers via leurs adresse IP, avec bien sur la collaboration de la Gendarmerie
"Avec un doigt seulement on ne peut pas faire un poing"
"J’ aime bien Soral je le trouve articulé,"
Mais, comme d’hab ... Soral d’une très grande lucidité.
comme Rothen devant les buts quoi. Ça fait qu’il ne voit rien.
Un article sur un facho ex gigolo proposé par un supporter du PSG : tout se tient. Soral est aussi profond qu’une godasse Adidas. Et il est aussi crampon. En prime ça date, ce fatras. En fait ça sort direct du site de Soral dont l’auteur est fan : c’est Rothen ou Soral, l’un à des cheveux l’autre pas, mais ils sont aussi peu intelligents l’un que l’autre.
ça ne fait que trois ans que je le raconte ici... comme quoi tout arrive....
c’est évidemment une traînée d’avion filmée sous un angle particulier et non un missile.
Le journalisme d’investigation, quelle farce !
gelone, alias Scipion
mardi 16 février 2010 20:48 de ---.adslplus.ch
En complément à l’éditorial de Bruno Larebière, voici la conclusion d’une intervention que j’ai faite hier sur AgoraVox - sous le pseudonyme Marc Gelone - en réponse à un texte condamnant le débat sur l’identité, pour "droitisme", voire pour "extrême droitisme" :
"...vous n’avez pas compris ce que voulait le duo Sarkozy-Besson en lançant un débat sur l’identité nationale. Pendant la campagne de 2007, le futur président avait dit en au moins une circonstance, que pour lui c’était « Liberté-Egalité-Fraternité ». Le but de la manœuvre était donc de dégager une identité sans aucun lien avec ce qui distingue les Français de ceux qui ne le sont pas – le « fond de permanence »**, dont parle Siegfried par exemple.
"Cette identité devait être le produit d’une réflexion, une démarche intellectuelle, une construction complètement artificielle, qui était censée réunir en une même entité nationale le chirurgien cardiaque de Bichat et l’éboueur burkinabé, le physicien nucléaire de La Hague et le plongeur sénégalais, l’historien de l’Antiquité et le terrassier maghrébin, le programmeur informatique et l’épicier chinois…
"C’est cette mission impossible qui a foiré. N’est pas Jim Phelps qui veut !"
* « Il y a dans la psychologie des peuples, un fond de permanence qui se retrouve toujours. Nous sommes encore, par combien de traits, semblables aux Gaulois nos ancêtres, et les caractéristiques que Tacite notait chez les Barbares ou les Juifs de son temps, sont encore reconnaissables dans les Allemands, les Israéliens d’aujourd’hui. » André Siegfried, « L’Ame des peuples ».
Ecrit par : Scipion | 25.05.2010
"N’oubliez jamais que votre "liberté" entrave la mienne : celle de vouloir vivre dans un mode moderne, sans transports individuels, dans des villes accueillantes, piétonnes à dimension humaine, où l’air y est respirable."
T’as oublié "et pleine de basanés de toutes les nuances de la pigmentation naturelle*", c’est volontaire ou c’est un manque de concentration ?
* La précision, c’est pour stigmatiser ceux qui gaspillent de l’énergie dans des séances d’UV, avant que leurs mélanomes ne coûtent des saladiers aux caisses maladie !
Il aurait également pu rappeler l’opération Able Danger, qui avait permis l’identification de la cellule de Mohamed Atta dès janvier 2000, avant que le Pentagone n’empêche ses agents, comme le lieutenant-colonel Anthony Shaffer, de partager leurs informations avec le FBI, en vue du démantèlement de la cellule terroriste.
En tout cas, au crayon, notre roi de la bombe H est donc déjà "logé" par la police dès 2000, tout comme Atta. Tous notés sur des fiches papier, donc : la gomme et le crayon sont de sortie ! Le FBI se rendra ensuite chez les parents d’Adnan à six reprises, munis de ses stylos et de ses papiers, mais leur fils est "déjà parti"... ailleurs. Un an après, il leur téléphone : il est au Maroc, a pris femme et a même déjà un enfant. Puis plus rien : en octobre 2003, L.Williams sort son livre qui accuse Shukrijumah d’être un super-terroriste ayant volé de l’uranium pour faire une bombe : toute l’histoire semble cousue de fil blanc, et Adnan Shukrijumah, qui a fricoté avec toute l’équipe d’aviateurs du 11 septembre mais qui aurait "refusé" d’être des leurs passe plutôt pour un bel... informateur du FBI ou de la CIA, parti se refaire une santé ailleurs ! Vous aviez bien pensé à la même chose, bien sûr : c’était un informateur du réseau, à qui on a payé des vacances pour aller se faire oublier quelque temps. Le 26 mai 2004, le faucon John Ashcroft et le directeur Robert Mueller présentent pourtant Shukrijumah comme principale menace sur le pays... en pleine campagne avant l’élection présidentielle du 2 novembre 2004. Ben Laden est déjà donné pour mort, une dernière vidéo de lui sortie le 29 octobre sent le fake à plein nez, Shukrijumah tombe donc à pic comme nouvelle menace à faire monter en puissance. On va lui tracer un vrai portrait de Frankenstein... ou plutôt de Dr Jekyll et Mr Hyde. Bush est réélu, grâce à son informaticien et au coup de pouce du barbu de la momie de Tora-Bora. Shukrijumah fait un parfait... Lee Harvey Oswald, désormais ! Un autre agent de la CIA, piégé en beauté à Dallas. L’histoire se répète.
re : qu’on retire SVP les propos racistes émis par certains ici : il y a des moi pour ça, et ici on les transgresse...
"Après le succès de sa première vidéo"
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