Quand on commente sans ni lire ni visionner le sujet, on se rend forcément ridicule. Un bon moyen de se rendre pas crédible.
Pour les dates, faudra voir avec Judith, j’en sais pas plus (j’ai pas tes coordonnées, c’est pour ça que je t’ai contacté ici. Elle a un compte FB, si tu en as un).
Pour le débat, c’est certes principalement dans le cadre du M6R, donc en lien avec la désignation de l’assemblée constituante. Cela dit, tu m’as toujours donné l’impression d’être parfaitement à même de modérer un débat sans nécessairement appuyer dans un sens où l’autre. Si ton rôle est celui de modérateur, je te pense l’honnêteté de l’assumer.
TOTALEMENT HORS SUJET (veuillez m’excuser)
maQiavel, Judith Bernard (Hors-Série) souhaite organiser un débat entre un pro TAS et un anti TAS. je t’ai proposé comme modérateur, compte tenu que tu as des arguments à la fois en faveur et en défaveur du TAS, et que tu es bien documenté et éclairé sur le sujet. Si tu es d’accord, essaye de te mettre en contact avec Judith
https://www.facebook.com/clement.senechal.3/posts/10152727874588746?comment_id=10152771981328746¬if_t=like
(encore désolé du hors sujet, mais je sais pas comment te contacter autrement)
Toujours notre vieux différent entre la conception du combat politique dans le (stricte) carde de la lutte pour le pouvoir (politikè) ou dans le cadre d’une gestion commune de la cité (politeia).
Evidemment, le cadre actuel, celui dans lequel nous menons ce combat, est bien celui de la lutte pour le pouvoir. MAIS justement, tout le problème se situe là : s’il faut adopter les moyens de l’ennemi politique - moyens qui font partie de la logique même qui sous-tends la conception sociétale de l’ennemi - alors nous jouons selon le cadre définit par l’ennemi. Nous jouons selon les règles écrites par l’ennemi ET nous justifions celles-ci. Donc nous renforçons la logique de l’ennemi. Nous sommes sûr de perdre. Je ne connais pas de meilleur moyen de perdre un combat d’avance...
De plus, adopter ces méthodes (puisque la fin justifie les moyens) reviens à nous corrompre nous-mêmes... Alors que nous luttons contre ce système parce qu’il est corruption.
Quand la fin justifie les moyens, le juste perd TOUJOURS, c’est ce que Machiavel ne semblait pas avoir compris. Ou alors, s’il l’avait compris, il n’en tiens pas compte.
Ne pas faire certaines choses (tricher, manipuler, infiltrer, ...) pour vaincre est précisément la seule chose à faire si l’on veut rester intègre.
Rester intègre n’est pas une figure de style. Ce n’est pas non plus une simple "posture morale". Ce n’est pas même une simple honnêteté : c’est la compréhension profonde du fait que dès l’instant où l’on adopte les méthodes de ceux que l’on combat, l’on devient comme eux, ce qui non seulement justifie leurs méthodes, mais leur font gagner sur tous les tableaux.
Ne pas comprendre cela, c’est le comble de l’ignorance. Adopter les méthodes de l’adversaire, c’est devenir l’adversaire. mais un adversaire bien pire que celui qui se trouve face à nous : un adversaire intérieur.
En agissant de la sorte, nous nous trouvons piégés : non seulement nous avons trahis les valeurs que nous défendons (et donc, nous sombrons dans la divergence cognitive), mais il nous faut alors nous défendre de cela, et ce faisant, nous défendons ceux que nous combattons (principe montré notamment dans l’expérience de Milgram).
Il est donc heureux que Chouard n’adopte pas de telles méthodes, car ce serait le meilleur cadeau qu’il pourrait faire à tous ses détracteurs. Pour le coup, MaQi’, tu es de très mauvais conseil
Amicalement
Ma petite prose matinale :
Un « élu », par définition, est un ESCROC !
Un élu est un VOLEUR DE POUVOIR. Ce n’est que par le truchement d’une escroquerie lexicale et intellectuelle à laquelle, trop souvent, nous nous faisons embobiner que nous acceptons de leur donner NOTRE pouvoir. Exactement comme des vieux, gentils, naïfs, se font embobiner par des escrocs à la petite semaine qui viennent leur vendre au prix de 3000 euros une camelote achetée 3 euros dans un bazar.
Ceux et celles qui sollicitent nos suffrages sont tout aussi malhonnêtes, parce qu’en échange de la situation et de la fortune où les poussent nos bulletins de vote, il nous promettent un tas de choses merveilleuses qu’il ne nous donneront pas et qu’ils ne sont d’ailleurs pas en mesure de nous donner.
Plus encore aujourd’hui que par le passé ceci est vrai. Car les élus, ces escrocs, ces mauvais pères, ces parents toxiques qui n’ont de cesse que de nous infantiliser pour mieux nous dominer, ont été assez bêtes et assez veules que pour transmettre, pan après pan, les prérogatives de la nation à des banquiers et des chefs d’entreprises multinationales, qui par leur fortune et le droit qu’ils se sont mis a produire eux-mêmes et à nous imposer, que ce soit par le FMI, la Banque Mondiale, l’OCDE et toutes ces associations de malfaiteurs dites très justement « non gouvernementales », ou par le truchement de cette abomination tyrannique qu’est l’Union Européenne, nous pillent, nous ruinent, nous exploitent et nous asservissent chaque jour un peu plus.
Qu’il le soit par les dieux ou par les hommes, les élus ne nous sauveront jamais. Ils n’en ont pas le pouvoir. Nous sommes les seuls à pouvoir nous sauver. Mais pour cela, il faut cesser de perpétuer cette attitude infantile qui, précisément, par conditionnement et habitude, par paresse ou par lâcheté, nous fait rechercher le salut dans le chef - c’est le cas de le dire - d’un sauveur, d’un élu, d’un personne providentielle, qui ne pourra, même bien intentionnée, que nous maintenir encore un peu plus dans cet état infantilisant d’électeur passif, tout juste bon à rouspéter, manifester, pétitionner (et encore).
Nous pouvons voter nos lois, oui, et ainsi devenir enfin des citoyens (que nous n’avons jamais été), mais nous devons cesser, une fois pour toute, d’élire des maîtres politiques qui décideront de tout à notre place sans jamais nous consulter ni respecter le bien commun.
Alors, seulement, nous pourrons parler de « suffrage universel ». En attendant, nous ne sommes que des lapins qui se payent de mots et que les élus attrapent par les oreilles.
« Pourquoi avons-nous l’impression de vivre la rentrée la plus catastrophique de la Vème République ? »
Peut-être parce que, coup sur coup, France 2 invite sur ses plateaux télé Jacques Attali (Ce Soir ou Jamais ! le 5/09) et BHL (On n’est pas couché ! le 6/09) ?
Attali 18mn10 (29%)
Hue 9mn13
Philippe 7mn59
Gauchet 7mn55
Chouard 7mn09
Goyet 5mn51
Delaume 4mn01
de Vitry 2mn11
La moyenne (1h02mn29s / 8) est de 7mn49.
Spartacus, tu promotionnes Friot ?
Je suis sur le cul !
Il faut noter que les anarchistes du XIXe siècle se sont désigné de la sorte à défaut de pouvoir se désigner sous le vocable de démocrate, pour la raison simple que le terme avait été "volé" par l’oligarchie à partir de 1830, tant aux USA qu’en Europe (in « Démocratie. Histoire politique d’un mot au États-Unis et en France. » de Dupuis-Déri).
Les factions politiques du XIXe siècle - y compris les royalistes (!) - ont tous cherché à se dire "démocrate" pour séduire l’électorat. Ils se sont empoignés par communiqués de presse pour revendiquer, tous, d’être des démocrates, ou prétendre que les autres ne l’étaient pas, même s’ils prétendaient l’être. Aucun ne l’étaient, tous étaient élitistes et oligarques, en faveur d’un gouvernement prétendument représentatif.
Dès lors, à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, à l’époque où le mouvement anarchiste est fondé, les démocrates n’avaient d’autre possibilité que de se désigner comme anarchiste pour se distinguer de l’élite qu’ils combattait, puisque celle-ci se désignait elle-même comme démocrate. L’usage du terme "démocrate" par les anarchistes (les vrais démocrates) aurait semé un grande confusion dans l’esprit populaire, mais aussi au sein du mouvement lui-même, qui aurait eut du mal à distinguer, dans le mouvement, qui était réellement démocrate et qui ne l’était pas. En sommes, ils n’avaient pas le choix, ils DEVAIENT se désigner comme anarchistes.
Mais à vrai dire, démocratie et anarchie sont synonymes, les deux visant un ordre social dans lequel chacun participe librement à la vie dans la société et ne se soumet qu’aux lois auxquelles ils ont eux-mêmes participé, communément. En fait, les deux sont complémentaire, car l’anarchie sans démocratie peut rapidement devenir ochlocratie, tandis que la démocratie sans anarchie risque de devenir rapidement oligarchie.
Excellente analyse de Gilad, rien à redire. Merci Nora.
QUAND LE SAGE MONTRE LA LUNE, L’IDIOT REGARDE LE DOIGT !
L’extrême droite joue parfaitement sa partition au service de l’oligarchie pour nous détourner des véritables enjeux et du VRAI FASCISME : celui de Viviane Redding et sa clique d’Eurodéputés au service du fascisme financier et marchand.
http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-%2F%2FEP%2F%2FTEXT+REPORT2013-0124+0+DOC+XML+V0%2F%2FFR
LE TITRE de ce texte scélérat :
«
sur la proposition de règlement du Parlement européen et du Conseil
établissant un cadre pour la gestion de la responsabilité financière
liée aux tribunaux de règlement des différends investisseur-État mis en
place par les accords internationaux auxquels l’Union européenne est partie »
DES EXTRAITS de ce texte scélérat :
(1)
Avec l’entrée en vigueur du traité de Lisbonne, l’Union a acquis une
compétence exclusive pour la conclusion d’accords internationaux sur la
protection des investissements. L’Union est, tout comme les États
membres, déjà partie au traité sur la Charte de l’énergie, qui prévoit
la protection des investissements.
(2)
Dans les cas où cela est justifié, les futurs accords de protection des
investissements conclus par l’Union peuvent comporter un mécanisme de
règlement des différends investisseur-État, qui permet à un investisseur
d’un pays tiers de former une réclamation contre un État dans lequel il
a effectué un investissement. Une procédure de règlement des différends
investisseur-État peut se solder par l’octroi d’une indemnisation
pécuniaire. En outre, dans pareil cas, il y aura inévitablement des
coûts importants liés à la gestion de l’arbitrage ainsi que des frais
afférents à la défense d’une telle affaire.
(3
bis) La responsabilité financière ne peut être correctement gérée si
les normes de protection offertes par les accords d’investissement
dépassent notablement les limites de responsabilité reconnues dans
l’Union et dans la majorité des États membres. En conséquence, les
futurs accords de l’Union devraient offrir aux investisseurs étrangers
un degré aussi élevé de protection, mais non point supérieur, que celui
ménagé par le droit de l’Union et par les principes généraux communs aux
droits des États membres aux investisseurs issus de l’Union.
(3
ter) La délimitation du périmètre extérieur des responsabilités
financières prévues par le présent règlement est également liée à la
garantie des pouvoirs législatifs de l’Union exercés dans le cadre des
compétences définies par les traités, pouvoirs dont la légalité est
contrôlée par la Cour de justice et qui ne peuvent être abusivement
limités par une éventuelle responsabilité définie hors du système
équilibré établi par les traités. Ainsi, la Cour de justice a clairement
confirmé que la responsabilité assumée par l’Union concernant les actes
législatifs, notamment en lien avec le droit international, devait être
strictement encadrée et ne saurait être engagée sans que la faute ne
soit clairement établie. Les futurs accords d’investissement appelés à
être conclus par l’Union devraient respecter la garantie des pouvoirs
législatifs de l’Union et ne devraient pas définir de normes de
responsabilité plus strictes pouvant donner lieu au contournement des
normes définies par la Cour de justice.
(4)
Lorsque la responsabilité internationale du traitement accordé est
imputable à l’Union, en tant qu’entité dotée de la personnalité
juridique, elle est tenue, en vertu du droit international, de
s’acquitter du paiement de toute indemnisation auquel elle aurait été
condamnée et de supporter les coûts exposés dans le cadre du litige.
Toutefois, une telle condamnation peut être le résultat d’un traitement
accordé par l’Union elle-même ou d’un traitement accordé par un État
membre. Il ne serait dès lors pas équitable que l’indemnisation et les
coûts de l’arbitrage soient prélevés sur le budget de l’Union européenne
lorsque le traitement a été accordé par un État membre. Il est
nécessaire, par conséquent, que la responsabilité financière soit
répartie, du point de vue du droit de l’Union, et sans préjudice de la
responsabilité internationale de l’Union, entre l’Union elle-même et
l’État membre responsable du traitement accordé sur la base des critères
établis par le présent règlement.
(6)
La responsabilité financière devrait incomber à l’entité responsable du
traitement dont il a été constaté qu’il n’était pas conforme aux
dispositions pertinentes de l’accord. Il s’ensuit que l’Union devrait
supporter elle-même la responsabilité financière lorsque le traitement
est accordé par une institution, un organe, une agence ou une autre
entité juridique de l’Union. L’État membre concerné devrait assumer la
responsabilité financière lorsque c’est lui-même qui a accordé le
traitement en cause. Toutefois, dans le cas où l’État membre agit d’une
manière prescrite par le droit de l’Union, par exemple en transposant
une directive adoptée par l’Union, l’Union devrait assumer elle-même la
responsabilité financière dans la mesure où le traitement en cause est
requis par le droit de l’Union. Le règlement doit également prévoir la
possibilité qu’une affaire individuelle concerne à la fois à un
traitement accordé par un État membre et un traitement requis par le
droit de l’Union. Il couvrira l’ensemble des actes des États membres et
de l’Union. En pareil cas, les États membres et l’Union devraient
assumer la responsabilité financière du traitement particulier accordé
par elle ou par l’un d’eux.
(6
bis) Lorsqu’un État membre agit de façon non conforme à ce qu’exige le
droit de l’Union, comme par exemple lorsqu’il ne transpose pas une
directive adoptée par l’Union ou qu’il outrepasse les dispositions d’une
directive adoptée par l’Union lorsqu’il la transpose en droit national,
ledit État membre devrait alors assumer la responsabilité financière du
traitement concerné.
ETC.
Au secours !!!
" ce parti ne représente rien ", quelle belle remarque démocratique ! En plein dans le sujet, soi dit en passant : 5000 adhérents, ce n’est pas RIEN. De plus, il ne représente rien dans les grands médias, ce qui ne signifie pas qu’il ne représente rien ni personne dans la société. Va te coucher claude-michel.
Il est inexact de dire que l’UPR se propose d’instaurer la démocratie en France. Il propose de réinstaurer la souveraineté nationale, ce qui n’est pas pareil. Lorsqu’il a été question de débattre du tirage au sort en politique (la procédure de désignation principale en démocratie-, François Asselineau a balayé la proposition avec des arguments oligarchiques qui ne résistent pas à l’analyse, mais qui révèle qu’il n’est à l’évidence pas favorable à la démocratie politique.
Juste, je ne suis pas d’accord sur la signification de « salaire » et « salarié ». Le salaire est la reconnaissance de la capacité des travailleurs à produire de la richesse. Contrairement au « revenu », qui est un terme provenant du capitalisme (e revenu du capital). Le revenu est le profit que l’on tire d’une propriété lucrative, c’est-à-dire d’une ponction sur la richesse produite par des travailleurs, sans avoir soi-même travaillé ni produit de richesse : on est seulement détenteur d’un bien dont on tire un profit (bâtiment, usine, outils de travail,...). Pensez-y lorsque vous serez amené à parler du « Revenu Universel » (ou Revenu de Base) ou de « Salaire Universel » (cf. Bernard Friot)
Effectivement, maQiavel n’a pas mentionné la Banque de Fer, à mon avis pour la raison qu’elle apparait dans la saison 4 et maQiavel a fondé son analyse sur les trois premières saisons. Mais en effet, il y a là une nouvelle donne qui va rajouter un ingrédient dans la saison 4. La Banque de Fer pourrait être similaire aux Banquiers Lombards, ou aux Templiers.
En fait, ce qu’on pourrait qualifier d’Empire dans Game of Thrones, c’est l’époque antérieur au récit, à savoir l’Empire Targarien. Cet Empire effondré, arrive un "Grand Roi", exactement comme dans la Bretagne des Ve et VIe siècle (époque "arthurienne" classique).
Les anciens dieux (dieux celtes dans notre histoire) ont été supplanté par les Sept qui, eux-mêmes, commencent à être supplantés par une nouvelle religion (chrétienne dans l’histoire, R’hlor, le Dieu de la Lumière dans Game of Thrones). Le parallèle est saisissant.
Après la mort du Haut Roi (Uther Pendragon dans l’histoire arthurienne, Robert Barathéon dans Game of Thrones), s’ensuit une période de grande instabilité et de divisions. les rois et roitelets sont divisés et s’affrontent, alors qu’ils sont menacés à l’est par les Black Shields (Irlandais) et à l’ouest par les envahisseurs Saxons. Sur le continent (Petite Bretagne = actuelle Bretagne française), c’est la menace des Francs qui met en péril le royaume de Ban. Encore une fois, le parallèle est saisissant.
Je ne suis pas entièrement d’accord. Les peuples de Westeros sont assez semblables, tant d’un point de vue ethnique que culturels, bien qu’il y ait quelques différences mineures. ils parlent la même langue, on les mêmes dieux (les Sept), et sont sur le même continent.
Les peuples qui sont différents ethniquement et culturellement sont de l’autre côté du détroit, sur l’autre continent (d’ailleurs, je ne sais pas si c’est voulu et si cela a un sens ou non, mais Westeros se présente comme un continent vertical, tandis que Essos est horizontal).
D’un point de vue des structures politique, on se situe clairement dans une structure féodal et médiévale : un Grand Roi (le roi des Sept Couronnes), et des rois vassaux, ayant eux-mêmes des barons et seigneurs féaux. La structure des maisons est exactement celle des « mesnies » du moyen-âge, comme le décrit très bien maQiavel.
Les luttes de pouvoir après la mort de Robert Barathéon s’apparentent à de nombreuses périodes de guerres de succession qui eurent lieu tout au long de la période dite du moyen-âge, et cela dès le début, à la fin de l’empire romain, au Ve et VIe siècle (haut moyen-âge - que les anglais appellent "dark age"), jusqu’à la guerre de cent ans XIVe et XVe siècle (bas-moyen-âge).
Quand la résistance cède à la logique du storytelling, voilà le résultat Personnellement, je trouve ça pathétique, mais pas surprenant. Surtout, c’est tragique, parce que en trame de fond, ce sont les drames de l’exploitation de gosses. La perception publique de la lutte contre cette pédocriminalité organisée avait déjà été discréditée par l’inconséquence de Laurent Louis et sa publication de photos de cadavres d’enfants et de sa liste abracadabrantesque de « pédophiles », la voilà encore un peu plus mise à mal par cette manipulation. Dans le genre se tirer une balle dans le pied, ils ont fait très fort.
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