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Les commentaires de Nina K



  • 4 votes
    Nina K Nina K 10 décembre 2013 12:00

    Bonjour Mr Anderson smiley
     
    Avez-vous vu ce reportage diffusé samedi dernier sur arte ?
     
    Des millliers d’Américains ont risqué leur vie en Irak par patriotisme. Des hommes et des femmes blessés, traumatisés, floués, par leurs employeurs, par leurs compagnies d’assurances et par leur pays, qui se sentent aujourd’hui abandonnés.
     
     
    John Woodson a perdu un oeil et une jambe dans l’explosion d’une bombe. Andrea Johnson a de graves lésions au cerveau, conséquences d’un tir de roquettes. Mary Southerland a été harcelée sexuellement par ses collègues. David Guthrie, chauffeur de camion, a été pris pour cible par des tirs de mitrailleuse. Il en est sorti lourdement traumatisé.
     
    Quatre cas parmi les milliers d’employés qui ont risqué leur vie en Irak par patriotisme.
    Des hommes et des femmes floués par leur employeur, par leurs compagnies d’assurances et par leur pays, qui se sentent aujourd’hui abandonnés.

     

    Pour voir le replay de l’émission
     
    40 milliards $ de contrats pour Halliburton et sa filiale KBR pendant la guerre en Irak...
     
    Dennis Kucinich vers 21:35 : « S’il y avait une justice dans ce monde, M. Bush, et M. Cheney et tous les reponsables qui nous ont envoyé faire la guerre en Irak, devraient être traduits devant la Cour de justice internationale de La Haye... »
     



  • 6 votes
    Nina K Nina K 7 décembre 2013 21:15
     
    Nous sommes le peuple ! 
     Des individus qui savent se donner une forme collective, 
     Des citoyens actifs qui s’occupent de la vie collective au lieu de la subir. 
     



  • 4 votes
    Nina K Nina K 5 décembre 2013 19:45

     Et ils en sont déjà à travailler sur des générations successives de clone, à l’infini...

     
     
    Dans le journal scientifique américain Cell Stem Cell, des scientifiques japonais ont révélé leur expérience assez étonnante : une souris clonée 26 fois de suite, ce qui signifie que chaque reproduction de l’animal s’est faite à partir du dernier spécimen cloné. (...)
     
    Il n’est pas certain que l’on connaisse un jour le nom de la première souris de cette série de 26 démarrée il y a sept ans, mais les chercheurs nippons affirment que les petits mammifères clonés se portent bien, comme il est convenu de dire lors d’une naissance.
     
    Ils sont tout à fait normaux, au point de pouvoir se reproduire comme leurs congénères - hors laboratoire - même si quelques petites anomalies ont été constatées. La taille de leur placenta serait ainsi un peu plus grande, sans conséquences sur leur santé, nous dit-on. Surtout, ces anomalies ne se sont pas aggravées après les clonages successifs.
     
    Le responsable de cette expérimentation a d’ailleurs précisé qu’il la continuerait jusqu’à son terme : « Je veux aller jusqu’au point où je pourrai dire que nous pourrions continuer la chaîne jusqu’à l’infini ».



  • 4 votes
    Nina K Nina K 5 décembre 2013 19:42

     Et pour bientôt passer à l’homme ? tellement le clonage devient "facile" à maîtriser...

     
    Une seule goutte de sang suffit pour cloner une souris :
      
    By Helen Briggs
    BBC News
     
    Scientists in Japan have cloned a mouse from a single drop of blood.
     
    Circulating blood cells collected from the tail of a donor mouse were used to produce the clone, a team at the Riken BioResource Center reports in the journal Biology of Reproduction.
     
    The female mouse lived a normal lifespan and could give birth to young, say the researchers.
     
    Scientists at a linked institute recently created nearly 600 exact genetic copies of one mouse.
     
    Mice have been cloned from several different sources of donor cells, including white blood cells found in the lymph nodes, bone marrow and liver. (...)
     



  • 4 votes
    Nina K Nina K 5 décembre 2013 19:37

     D’ailleurs, les apprentis sorciers (dans la vraie vie, pas dans le roman) ont déjà rajouté le clonage dans leur panoplie "eugéniste"... 

     
    Pour nous faire bouffer de la viande génétiquement modifiée et issue d’animaux clonés (comme quoi, manger local, végétarien et bio, ça risque de devenir une orientation incontournable...) :
     
    Mardi 15 Janvier, l’Agence américaine de réglementation des produits alimentaires (FDA) a donné son feu vert à la commercialisation de produits issus de bovins, de chèvres et de porcs clonés. 
     
     
    Le voyage, aussi réfrigérant que la chambre froide du boucher, démarre dans les ranchs du Texas, où la génisse clonée est devenue la vache à lait d’une production agricole intensive. Un labo d’Austin expédie par la poste dans le monde entier son kit de prélèvement, qui permet de reproduire les bêtes les plus résistantes et les plus fécondes. Le clonage, un moyen de produire plus de viande pour nourrir la planète, assurent ses partisans. C’est aussi l’argument brandi par la société américaine qui a conçu un saumon « Frankenstein » transgénique, dix fois plus gros qu’un saumon sauvage, et qu’elle espère pouvoir commercialiser bientôt.
     
    Du clonage bovin aux animaux génétiquement modifiés (dont un cochon-méduse de science-fiction, au groin fluo), l’enquête énumère toutes ces bestioles bidouillées au nom de la recherche, du progrès... et de la prospérité des géants de l’agro­alimentaire. Leur lobbying semble inépuisable pour étouffer les bémols des chercheurs et des ONG, qui alertent sur les risques que court l’écosystème et sur la méconnaissance des dangers pour notre santé — volet qui aurait gagné à être un peu plus développé. On découvrira avec étonnement qu’au niveau européen un vide juridique rend actuellement possible la commercialisation de viande clonée dans les pays de l’UE. Avec frites, votre clone-burger ? Virginie Félix - Télérama
     


  • 5 votes
    Nina K Nina K 5 décembre 2013 19:07

     La fille automate parle d’un monde où les apprentis sorciers des multinationales OGM ont engendré le chaos. Un monde où les maladies contagieuses et les virus mutants déciment les populations, quand des nababs s’enrichissent par leurs brevets et leur technologie, en contemplant le spectacle de désolation. Est-ce que ça contredit ce que vous avez écrit ? Non, je ne pense pas...

     


  • 4 votes
    Nina K Nina K 5 décembre 2013 17:58
    « Du monde décrit par Paolo Bacigalupi, nous ne saurons que son état de dévastation : les multinationales et leurs brevets génétiques incontrôlables ont accéléré l’apparition de virus résistant à tous les traitements. Tout est détruit ? Non, une poche de diversité résiste aux épidémies virales : la nation thaï. Une milice écologique dévouée à son chef, Jaidee, détruit les foyers d’infection dès leur apparition. 
    Dans la capitale, Krung Thep, Anderson est envoyé par une multinationale pour découvrir les secrets des thaïs : d’où sortent ces fruits sains issus de souches anciennes et ces semences non stériles ? Fricotant dans le milieu des étrangers, Anderson rencontre dans une maison de passe une Geisha très particulière : Emiko, récemment abandonnée par son maître japonais. Le tenancier exhibe cette poupée de chair, créée par le génie génétique nippon pour remplacer les robots. A la moindre caresse, Emiko, submergée de plaisir, ne peut s’empêcher de donner en spectacle cette jouissance pour laquelle elle a été conçue. Grâce à cette attraction, les clients se ruent au bordel... (...)
     
      Reste le destin des personnages dans cet univers livré au chaos. Je pense qu’ils peuvent être divisés en deux catégories : les personnages traditionnels, qu’ils soient bons ou méchants, comme nous les aimons, et des « figures » aptes à survivre dans ce monde en évolution rapide.
       Parmi les traditionnels, je compte Jaidee, le milicien écologique, les ministres corrompus : la guerre les condamne. De même, les représentants des multinationales, si semblables aux colons de l’ancien temps, semant autour d’eux la destruction avec une indifférence aussi grande que s’ils se prenaient pour des dieux : ils représentent l’Ancien Monde et posent la question de la survie de leurs valeurs morales.
       A l’opposé, les mutations génétiques semblent plus imprévisibles et, au début, elles se caractérisent sur des créatures sans individualité propre. Cela commence avec le cheshire, un chat invisible, créé en hommage à Lewis Carroll, qui a exterminé en une génération la gent féline, prédateur sans concurrence dans l’évolution darwinienne. Cela se poursuit avec les pestes virales, comme la rouille vésiculeuse qui empoisonne les semences OGM, et qui affame les peuples terriens. Ces « êtres » sans conscience incarnent l’avenir et interrogent sur la place qu’ils laisseront à l’homme. Enfin arrive le tour de ces étranges automates du Nouveau-Peuple, comme Emiko, qui semblent apte à survivre malgré les cheschire et les virus. Le seul obstacle à leur avenir vient de leur stérilité...
     
       Entre récit d’aventure et réflexion sur les techniques OGM, le roman de Bacigalupi dresse le tableau plein de fureur d’un avenir livré au chaos génétique. Révélateur d’une science-fiction qui renonce aux fantaisies maniéristes susceptibles d’atomiser le récit, il s’appuie sur des personnages d’une grande présence dont on garde le souvenir longtemps après lecture. » (...)
     


  • 5 votes
    Nina K Nina K 5 décembre 2013 17:41
    « Bangkok, dans un futur relativement proche. À la période d’Expansion (énergétique et commerciale) a succédé celle de Contraction, lorsque le pétrole est venu à manquer. Faute de pouvoir voyager facilement et rapidement, les pays se sont renfermés sur eux-mêmes. En Asie du sud-est, la Thaïlande a néanmoins réussi à assurer la domination sur la région, alors que toutes les anciennes puissances économiques locales (Chine, Japon...) se sont écroulées. Les États-Unis continuent d’exporter leur savoir-faire de semencier d’organismes génétiquement modifiés, seuls résistants aux multiples maladies qui se sont répandues (volontairement ?) dans les cultures ; Anderson Lake est un employé de l’une de ces multinationales de l’agro-alimentaire. Lorsqu’il tombe sur un fruit qu’on croyait oublié, issu de laboratoires thaïs, lesquelsse posent donc en concurrents directs de l’industrie qu’il représente, il comprend que les enjeux économiques n’ont jamais été aussi forts. Il va donc mener l’enquête pour déterminer l’origine du fruit dans ce Bangkok confluent de toutes les populations, où les destinées s’entrecroisent : il y a là Hock Seng, un Chinois réfugié que les Thaïs ont accepté de mauvaise grâce, et employé de Lake : Carlyle, dont les dirigeables permettent aux contrebandiers de passer leurs marchandises en fraude ; Jaidee Rojjaanasukchai, du Ministère de l’Environnement, un Thaï dont la probité et la flamboyance lui ont valu l’admiration de ses subordonnés, et qui lutte pour préserver les valeurs du pays au détriment de ses aspirations commerciales ; enfin, il y a Emiko, la fille automate du titre, pauvre créature créée par les Japonais pour donner du plaisir aux clients de son possesseur. » (...)

    « (...) la ville lui sert en outre de plateforme parfaitement adaptée pour parler des interactions entre les différents personnages, qui incarnent chacun une certain idée du développement de la société. Les tenants du libéralisme (Lake, Carlyle), les idéalistes (Rojjaanasukchai puis Kanya) et les militaires (Pracha) vont se lancer dans une lutte intense pour le contrôle de la société ; au beau milieu de tout ça, il y a ceux qui tentent de tirer leur épingle du jeu (tel Hock Seng), ou ceux qui, complètement perdus, tentent de ne pas perdre espoir (Emiko). Les personnages sont tous très crédibles dans leur histoire, leurs aspirations, leurs cruautés car, finalement tous cherchent leur propre intérêt au détriment des autres ; seule Emiko incarne la blancheur, l’absence de volonté de pouvoir.
       Cette lutte pour la domination trouve sa place, comme on l’a dit, dans un futur très vraisemblable, et passionnant : Bacigalupi, à aucun moment, ne cherche à nous en mettre plein la vue. Il a conçu un univers sensé, directement hérité du nôtre (on pensera bien évidemment au géant de l’agro-alimentaire Monsanto, et à ses démêlés avec la justice et sa vision de la déontologie scientifique), réfléchi à ses développements possibles, et suffisamment digéré tout cela pour en faire le substrat de son histoire. Il propose de nombreuses pistes de réflexion, sans toutefois les asséner au lecteur, mais plutôt en les distillant petites touches par petites touches. » (..)
     


  • 6 votes
    Nina K Nina K 5 décembre 2013 17:35
    «  Dans ces romans de « fiction spéculative », il s’interroge sur la stabilité « des moteurs de la prospérité », les ressources nutritives ou énergétiques. Son résumé de La Fille automate ? « Des grosses multinationales agroalimentaires utilisent la biotechnologie pour inventer des aliments et engranger du profit. Et si des entreprises comme Monsanto prenaient sans contrôle le pouvoir dans le monde, quelles en seraient les conséquences ? » Pour cette œuvre, il s’est appuyé sur des discussions avec ses voisins fermiers. Lors de notre rencontre, il rappelle la décision favorable de la Cour suprême à Monsanto face à un petit agriculteur de l’Indiana. Et un peu plus tard, les échos de l’affaire Spanghero, parvenus jusque chez lui. » (...) 
     


  • 3 votes
    Nina K Nina K 5 décembre 2013 17:31

    Vous avez lu La fille automate de Paolo Bacigalupi ?

     


  • 3 votes
    Nina K Nina K 18 novembre 2013 17:44

     Et toi, ton but c’est les profits de la scientologie ?
     
    http://www.religiousfreedomwatch.org/links/relief-agencies/
     
    Le 1er lien proposé = scientology
    Beurk !
     
    C’est l’OSA qui t’envoie ?
     

    cf OSA, le Service secret de la Scientologie, pour "anéantir les opposants"
     
    L’organisation O.S.A. a avant tout pour mission de contrer ceux - avocats, juristes, politiques, médias, anciens adeptes - qui tentent de dénoncer les agissements des scientologues. Pour ce faire, elle ne recule devant rien : opérations de communication, noyautage de certaines institutions et instances publiques, actes de sabotage, campagnes de diffamation et d’intimidation, etc. Ceux qui critiquent la scientologie se sentent souvent espionnés et directement menacés. Pourtant, la secte affirme que l’O.S.A. est un simple service de presse et d’affaires juridiques qui se contente de récolter par des voies légales des informations sur les esprits critiques et les adeptes renégats.

     



  • 3 votes
    Nina K Nina K 17 novembre 2013 16:07

     Rebonjour ! 

     
    Un petit oubli de ma part : Merci pour ce 46ème numéro des infos dont on parle peu ! smiley 
     


  • 5 votes
    Nina K Nina K 17 novembre 2013 16:02

     Bonjour !

     
     Pour rebondir sur le sujet de la vaccination contre la grippe... écoutez l’émission La tête au carré du 17 octobre 2013. Avancez jusqu’à 43:17 pour entendre la chronique de Dominique Dupagne, "Stats à la con de la grippe saisonnière". 
     
    Le sujet de sa chronique est détaillé dans cet article : Grippe saisonnière : 7000 morts d’après les organisateurs, 500 d’après la police
     
    Je mets quelques extraits (lisez l’article en entier, ça vaut le coup d’oeil... La propagande insidieuse de BigPharma est passée à la moulinette !)
     
    « L’Institut National d’Etudes Démographiques (INED) a publié le 28 septembre 2010 un article laissant entendre que la vaccination antigrippale avait permis de diviser par dix la mortalité liée à cette maladie. L’information, reprise par l’AFP, a fait la une de nombreux médias. Pourtant, cette affirmation est bien fragile si l’on se donne la peine de regarder les données d’un peu plus près. (...)
      
    En pratique, l’étude historique des courbes de mortalité grippale ne soutient pas l’hypothèse d’une forte efficacité vaccinale. Cette forte efficacité serait d’ailleurs en contradiction avec les évaluations scientifiques disponibles qui n’attribuent au mieux au vaccin saisonnier qu’un effet modeste, à supposer qu’il existe, sur la mortalité grippale.
     

     Voici quelques extraits de l’impact de l’article de l’INED dans la presse. Nous sommes le 29 septembre 2010, soit une semaine après le lancement du vaccin saisonnier. Je suis trop vieux pour croire aux coïncidences. Ces journalistes qui se réjouissent avec l’INED de la baisse de la mortalité à 500 morts par an sont les mêmes qui nous annonçaient tous les ans 7000 morts lors de la commercialisation du vaccin. Ils semblent ne pas avoir retenu la leçon des errances de la communication officielle sur la pandémie grippale. (...)

     

    Toujours est-il qu’en France, depuis plusieurs années, c’est la surmortalité estimée à partir des courbes qui est mise en avant par les autorités sanitaires, soit, en fonction des années, 4 à 7000 morts par an. Au début de chaque campagne vaccinale, la presse reprend cette information alarmiste et incite à la vaccination, soutenue dans cet effort d’information par les industriels du vaccin.

     

    Pour la pandémie grippale A/H1N1 2009/2010, un véritable décompte des décès a eu lieu. Nous avons découvert avec surprise que la mortalité réelle dépassait péniblement 300 cas. Et encore, nous n’avons pas la preuve de la responsabilité de la grippe pour de nombreux morts. Tout décès d’un sujet jeune présentant une maladie ressemblant à la grippe a été comptabilisé. »

      

     

    Un autre extrait sur la vaccination grippale aux USA : 

     

    « Si l’on fait abstraction du pic de la pandémie Hong Kong 69/70 et ses répliques en 71, il est pourtant aisé de constater que la diminution de la mortalité grippale est régulière depuis 1950. Cette date n’est pas anodine : elle correspond au début de l’utilisation de la pénicilline pour traiter les maladies infectieuses. En 1960, l’ampicilline (Totapen® en France) permet enfin l’utilisation simplifiée par voie orale d’un antibiotique efficace sur les principaux germes responsables des pneumonies.

     

    Dans la mesure où la pneumonie bactérienne est la principale complication grave de la grippe, il n’est pas suprenant de constater une diminution drastique de la mortalité grippale à partir des années 50/60. L’hypothèse du rôle de la pénicilline dans la chute de la mortalité grippale paraît tout aussi plausible qu’un effet du vaccin qui commençait tout juste à être utilisé.

     

    Ignorer le facteur confondant majeur que représente la pénicilline est pour le moins surprenant dans une publication à vocation scientifique.

     

    Le fait que la mortalité ait commencé à diminuer nettement 20 ans avant la vaccination, notamment aux USA, est éludé par une phrase dans l’article de l’INED : "Aux États-Unis, où le vaccin a sans doute été diffusé plus précocement, la réduction de la mortalité a été très régulière depuis 1950". »




  • 4 votes
    Nina K Nina K 31 octobre 2013 21:06

     

     
    Glenn Greenwald, avec qui "Le Monde" a travaillé sur les documents soustraits à la NSA par Edward Snowden, répond aux allégations du chef de l’agence, Keith Alexander, selon lesquelles nous aurions "mal compris" ces données. Cette tribune a été initialement publiée en anglais sur son blog. (...)
     
    Il y a plus de trois mois, à la fin du mois de juin, le Spiegel a publié un article intitulé "Partenaire et cible : la NSA espionne 500 millions de connexions allemandes". Selon cet article, les documents de Boundless Informant "révèlent que les renseignements américains surveillent environ 500 millions d’appels téléphoniques, de courriels et de messages texte dans le pays chaque mois". (...)
     
    Lors du dernier réveillon de Noël, 13 millions de données téléphoniques et environ moitié moins de données Internet ont été interceptées. Les jours de collecte intensive, comme le 7 janvier de cette année, ce sont près de 60 millions de communications qui ont été mises sous surveillance." (...)
     
    Un article similaire, utilisant encore les mêmes documents, a été publié dans O Globo, au Brésil, une semaine plus tard, levant le voile sur la collecte de données, pendant un mois seulement, sur plus de 2 milliards d’appels et de courriels au Brésil par la NSA. (...)
     
    Dès les premiers jours de juillet, sur la base des documents Snowden et des déclarations de ce dernier, le Spiegel a levé le voile sur la vaste coopération entre le BND allemand et la NSA. Et ce matin, dans un article que nous avons préparé il y a maintenant des semaines, El Mundo éclaire, toujours sur la base des documents Snowden, la coopération entre les services espagnols et la NSA. (...)
     


  • 5 votes
    Nina K Nina K 31 octobre 2013 20:58

     

     
    FRANCFORT (Reuters) - Le syndicat des journalistes allemands a invité jeudi ses adhérents à cesser d’utiliser les services en ligne de Google et de Yahoo au lendemain de nouvelles révélations sur les activités des services de renseignements américains et britanniques. (...)
     


  • 2 votes
    Nina K Nina K 30 octobre 2013 22:51

    L’Empire contre-attaque... Espionnage : la NSA accuse les agences européennes - le 29-10-2013

     
    " Les services secrets américains organisent la riposte. Ce mardi, le patron de la NSA, le général Keith Alexander, ainsi que le directeur national du renseignement (DNI) américain, James Clapper, ont été entendus par la commission du Renseignement de la Chambre des représentants. Sous serment, le général a affirmé que les révélations des quotidiens français « Le Monde », espagnol « El Mundo » et italien « L’Espresso » sur l’interception de communications des citoyens européens par ses services sont « complètement fausses ». Selon lui, ce sont qui plus est les agences européennes qui lui ont fourni ces données. 
     
    Quelques heures avant l’audition de Keith Alexander, le « Wall Street Journal » avait déjà fourni l’explication, assez alambiquée : « Des responsables américains affirment que les documents fournis par Snowden (à ces trois journaux, NDLR) ont été mal interprétés et évoquent en fait des interceptions téléphoniques réalisées par les services de renseignement français et espagnol et ensuite partagés avec la NSA ». Ainsi après avoir étudié le document publié par « Le Monde », les responsables américains ont déterminé qu’il avait été « assemblé » par la NSA « sur la base de données reçues du renseignement français », affirme le WSJ.
     
    Des informations partagées par la NSA et des agences européennes
     
    Toujours est-il que le patron de l’Agence nationale de sécurité a affirmé que ses services « n’ont pas recueilli ces informations sur les citoyens européens ». Interrogé sur le fait de savoir si la NSA partageait ses informations avec les « alliés européens » et si ces derniers partageaient les leurs avec l’agence américaine, le général Alexander a répondu par l’affirmative, alors que selon le quotidien « Suddeutsche Zeitung », la France aurait collaboré avec la NSA... selon des documents fournis par Snowden. " [...]
     


  • 3 votes
    Nina K Nina K 30 octobre 2013 22:38

     Franchement, le cynisme de ces ploutocrates n’a pas de limite :

     
    " « Il est très dommage que les Européens aient tendance à être constamment négatifs sur eux-mêmes. Nombreux sont ceux qui ont la tentation de se servir de l’Europe et de l’euro comme d’un bouc émissaire. (...) L’histoire nous enseigne combien de telles tendances sont dangereuses », affirme-t-il lors d’un entretien avec l’AFP dans un salon imposant de la Banque de France, dont il fut gouverneur. [...]

    "L’ancien patron de la BCE assure également que depuis l’introduction bancaire de l’euro, le 1er janvier 1999, la zone euro a créé « 600.000 emplois de plus que les Etats-Unis ». Pour lui, l’euro a prouvé sa « remarquable résilience », jusqu’à être considéré aujourd’hui comme « trop crédible » par certains pays.
     
    S’il reconnaît volontiers l’existence d’un « malaise », d’une « crise de confiance », M. Trichet estime que le phénomène touche « toutes les économies avancées », pas seulement les Etats européens, et « toutes les institutions », nationales ou internationales.
     
    Qualifiant la construction européenne d’« ambition extraordinaire sur le plan historique », il estime que les Européens sont « au milieu du gué » et qu’« aucune complaisance n’est acceptable », face notamment au chômage de masse.

    M. Trichet juge aussi que « le problème de la légitimité démocratique » se pose en Europe. Il faut « renforcer les pouvoirs du Parlement européen qui est élu au suffrage universel », assure celui qui fut aux avant-postes de la construction européenne, mais qui n’a lui-même jamais affronté les urnes. "
     



  • 4 votes
    Nina K Nina K 30 octobre 2013 22:26
     La propagande impérialiste à l’oeuvre : 
     
    "2. Cet accord ouvre une nouvelle page de l’histoire commerciale de l’Europe puisqu’il s’agit du premier accord avec un pays du G8. Ce faisant, il ouvre la voie pour le partenariat transatlantique sur le commerce et les investissements en négociation avec les Etats-Unis, qui devrait pousser encore plus loin la convergence règlementaire et la modernisation des règles commerciales communes.
     
    3. Derrière cette initiative, c’est la consolidation progressive d’un espace atlantique unissant par des accords bilatéraux et régionaux les façades américaines, africaines et européennes qui se dessine. L’espace atlantique, déjà fertile, offre des perspectives importantes avec peu de conflits géopolitiques."
     
    L’accord de libre-échange Canada-Union européenne montre la voie - par Eric Peters (conseiller au bureau de politique européenne du président de la Commission européenne) le 30-10-2013
     


  • 6 votes
    Nina K Nina K 30 octobre 2013 21:57

    Les 2 premiers "épisodes" de la liste sont excellents. Encore 2 pour arriver au bout de l’histoire de notre vassalisation...

    Nous les cobayes de l’impérialisme atlantiste...
     


  • 1 vote
    Nina K Nina K 21 octobre 2013 23:24

     A fire in the masters house is set

    On met le feu dans la maison des maîtres
     
    Ghosts of progress
    Les fantômes du progrès
    Dressed in slow death
    Vêtus de mort lente