Éliminer le concept de race tout en encourageant la discrimination "positive" selon la couleur de peau c’est un peu comme se déclarer végétarien tout en s’enfilant un steak.
S’il n’y a plus de race, "racisme" ne veut plus rien dire et il s’agit de trouver un autre mot pour décrire cette haineuse hiérarchisation basée sur ce que décrivait, avant, le concept de race et qui a encore cours de par le monde.
La classification des humains par race a servi à distinguer les ethnies via la morphologie au mème titre que pour les animaux car l’humain s’est humblement considéré en tête de proue du règne animal. Même le catholicisme avec son narcissisme anthropocentrique n’a pas à ce point tenté de distinguer l’humain biologique de l’animal biologique mais le wokisme lui, il ose, "il ose tout, c’est à ça qu’on le reconnaît".
La race n’est pas qu’un prétexte à racisme, c’est aussi pour un individu un des fondements de son histoire, au même titre que son sexe (m ou f), ce sont les racines qui relient l’individu biologique à ses origines et par là, à une certaine culture. En gommant ce mot "race" et son concept, comme pour le genre, au delà de l’appauvrissement cognitif, un type d’hypocrisie s’installe dans la société, propice à la déliquescence et au totalitarisme comme le veut le foutu agenda...