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L’euro peut-il tenir encore cinq ans ? – Conférence de Michel Drac à Amiens

E&R Picardie recevait Michel Drac le 3 juin 2017 à Amiens pour une conférence intitulée « L’euro peut-il tenir encore cinq ans ? ».

Index chronologique

00 : 00 : introduction

Description du contexte économique global

 02 : 00 : de la comparaison de l'évolution de la croissance annuelle du PIB par tête dans le monde, au sein de la zone euro et dans les pays émergent, glissement de l’économie mondiale vers l’Asie

04 : 15 : de l'existence d’une crise systémique bien au-delà de la seule question de l’euro

 07 : 45 : de la crise du sens et logique de l’intérêt au cœur du système

 14 : 00 : de la chute des revenus du travail, la classe moyenne occidentale dans le viseur

 16 : 25 : de la réaction des populations occidentales

 18 : 55 : de la mécanique qui conduit à la guerre (panne de croissance occidentale, tensions géopolitiques entre grande puissances, crises locales et épuisement des ressources )

Situation de l’euro jusqu’ à l’été 2017, un bilan globalement négatif

21 : 05 : de la croissance malsaine des années 1998-2008

26 : 30 : de l'absence de protection contre la grande récession de 2009

31 : 40  : du maintien artificiel de l’euro en 2012

35 : 00  : l'euro, monnaie unique ?

 42 : 10 : de l'évolution des soldes des banques centrales nationales auprès de la BCE , divergence ,convergence et à nouveau divergence

Scénarios de sauvetage de l’euro

 48 : 30 : vers le fédéralisme budgétaire ?

 56 : 25 : sauver l’euro sans fédéralisme budgétaire

Scénarios de dissolution de l’euro

1 :01 : 50 : dissolution concertée

1 :05 : 15 : scénario de rupture conflictuelle

Conséquences sociopolitiques des différents scénarios

1 : 07 : 20 : du fédéralisme budgétaire, naissance d’une nation ou étape vers le mondialisme ?

1 : 09 : 30 : du maintien sans fédéralisme budgétaire, entre relance et répression salariale

1 : 13 : 00 : de la dissolution concertée, vers l’Europe des nations

1 : 15 : 45 : de la rupture conflictuelle, la France renait dans la douleur

Conclusion

1 : 20 : 45 : orientation bibliographique

 

Source : ERTV Officiel

 

Tags : Politique Euro Monnaie Union européenne




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22 réactions à cet article    


  • vote
    jimontheair jimontheair 20 octobre 2017 21:43

    @Zatara

    Ah ben voilà, un retour au 15ème siècle carrément proposé. 

    A mon avis, la drogue c’est mal  smiley 

    Je propose mieux : retour au néolithique voire paléolithique soyons audacieux, nah ! 

    Ps : excusez de la moquerie, mais bon... 


  • vote
    jimontheair jimontheair 20 octobre 2017 22:15

    @Zatara
    Ah je connais assez bien Virilio il se trouve. 
    J’ai des livres de lui dans ma maison, vieux et que je n’ouvre plus depuis bien longtemps  smiley 

    Mais bon, en somme, Virilio, c’est un peu comme Maffesoli, juste comme... Une lopette encensée par quelques clubs, aux idées assez pauvres somme toute, et qui a peur... 


  • 1 vote
    jimontheair jimontheair 20 octobre 2017 22:31

    @Zatara

    Il y a un gouffre entre vous et Yoda, savez vous ? 

    Bon, il fait quoi le maQiavel, il ne dit plus rien, il observe, c’est ça ?  smiley 


  • 1 vote
    Clocel Clocel 20 octobre 2017 13:49

    Les idées de Knapp sont reprises par les chartalistes et néochartalistes.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Chartalisme

    Un bouquin récent sur le sujet dont j’ai oublié le nom de l’auteur, voir du côté de chez Chouard, il l’avait reçu je crois me rappeler.


    • vote
      maQiavel maQiavel 20 octobre 2017 15:50

      @Clocel
      Merci , je vais chercher. 


    • vote
      Clocel Clocel 20 octobre 2017 16:30

      @maQiavel

      L’auteur, c’était Jean-Batiste Bersac, dont je viens d’apprendre le décès en faisant des recherches, très jeune, hélas...

      Son bouquin était dispo open source en ligne, je ne retrouve plus le lien...

      Sinon, vidéo avec Chouard et Stéphane Laborde, un peu longue, mais sympa...


    • vote
      maQiavel maQiavel 20 octobre 2017 16:45

      @Clocel
      Ah oui , je me souviens très bien de lui , vraiment navré d’apprendre son décès , qu’il repose en paix. 



    • 1 vote
      jimontheair jimontheair 20 octobre 2017 14:47

      Je n’ai pas tout regardé, pas le temps là, mais il me semble bien que la conséquence politique qu’il appelle "dictature en douceur" n’est pas corolaire comme il le dit qu’au scénario "maintien sans fédéralisme budgétaire", on la retrouvera dans d’autres scénarios, tous il me semble sauf peut être le dernier qui évoque une décrédibilisation complète des "élites" notamment europhiles et un reset politique profond, car elle n’est probablement que très peu liée à la question pivot de l’euro/et de l’UE. 


      • vote
        maQiavel maQiavel 20 octobre 2017 15:49

        @jimontheair

        Disons que comme il le dit, le fédéralisme budgétaire (scénario peu probable) aboutit au mondialisme (négation de la souveraineté des nations et donc des peuples) qui est une de ces expressions de la dictature douce ( à moins d’inventer une souveraineté avec plusieurs peuples au sein d’un Etat européen ce qui relève selon ses dires de la science fiction ).

        Donc en gros, il dit que le maintien de l’euro conduit nécessairement à une dictature douce. 


      • vote
        jimontheair jimontheair 20 octobre 2017 16:21

        @maQiavel

        Sur ce passage que j’ai regardé, il me semble plutôt qu’il accole la dictature douce au scénario "maintien de l’euro sans fédéralisme budgétaire"... 

        Ce qui m’a surpris, car ce qu’il décrit brièvement comme dictature douce est déjà je trouve à l’oeuvre dans ses grande lignes et donc en dehors du fédéralisme budgétaire parce qu’il n’existe pas même si les cadres restrictifs imposés par UE y tendent, car aussi cette dictature douce me semble pouvoir être déclinée dans tous les autres scénarios (sauf peut être le dernier) ce qu’il ne fait pas. 

        Mais le point essentiel de mon commentaire précédent était de faire remarquer que cette dictature douce n’avait quasiment rien à voir avec la question de l’euro et de l’UE je crois bien ; ce que Drac sait à mon avis... 


      • vote
        jimontheair jimontheair 20 octobre 2017 16:34

        @maQiavel
        Je me permets, et de manière bienveillante ; dans votre descriptif ici https://www.agoravox.tv/auteur/machiavel1983&nbsp ;
        vous avez oublié un R 
        Si l’on suit la seule logique, dans un combat ordinaire, se trouveR face à un adversaire

        et il me semble bien que en surnombres ne prend pas de S

        et que issu comme substantif prend un E. 

        Je me suis permis car c’est votre descriptif, je suis à peu près l’exact contraire d’un grammar nazi sur internet et je ne fais jamais ce genre de remarques habituellement, surtout concernant les commentaires et même les articles carrément, c’est dire smiley 

        Cordialement


      • vote
        maQiavel maQiavel 20 octobre 2017 16:42

        @jimontheair

        il me semble plutôt qu’il accole la dictature douce au scénario "maintien de l’euro sans fédéralisme budgétaire"... 

        ------> Oui tout à fait mais ce que je faisais remarquer c’est qu’il accole le mondialisme au maintien de l’euro par le fédéralisme. Même s’il ne le dit pas explicitement, il explique indirectement que le mondialisme mène aussi à la dictature douce.

        -cette dictature douce n’avait quasiment rien à voir avec la question de l’euro et de l’UE je crois bien

        ------> La dictature douce n’implique pas nécessairement l’euro, il y’a des pays qui sont en dehors de l’euro et qui sont aussi dans une situation de dictature douce. Mais l’euro, lui, implique la dictature douce. Et on le comprend d’autant mieux si on sait que l’euro est une monnaie au service d’un projet politique qui consiste à construire sous l’apparence de mesures techniques neutres un cadre contraignant vidant les principes de souveraineté nationale et populaire de leur sens. L’euro n’est pas qu’une monnaie ayant des implications économico- financières, c’est aussi un principe de gouvernement qui vide toute notion de » démocratie « et même de représentativité politique de son contenu. 


      • vote
        jimontheair jimontheair 20 octobre 2017 17:09

        @maQiavel
        La dictature douce n’implique pas nécessairement l’euro, il y’a des pays qui sont en dehors de l’euro et qui sont aussi dans une situation de dictature douce. Mais l’euro, lui, implique la dictature douce. Et on le comprend d’autant mieux si on sait que l’euro est une monnaie au service d’un projet politique qui consiste à construire sous l’apparence de mesures techniques neutres un cadre contraignant vidant les principes de souveraineté nationale et populaire de leur sens. L’euro n’est pas qu’une monnaie ayant des implications économico- financières, c’est aussi un principe de gouvernement qui vide toute notion de » démocratie « et même de représentativité politique de son contenu. 

        Oui, tout à fait, mais je crois important, vital, essentiel, urgent, primordial, bleu, rose, et arc en ciel, de bien dissocier "dictature douce" de "euro" (et UE) comme cause, et de la mettre à poil avec ses véritables causes dont euro (et UE) ne sont qu’une des conséquences. 


      • vote
        ffi 20 octobre 2017 20:34

        @jimontheair

        Une « dictature », c’est l’art de diriger par la force.
        Une « dictature douce », ce serait l’art de diriger sans usage de la force.

        Or, avec l’argent, celui-ci qui en a, il peut acquérir. Mais celui-là qui n’en a pas, il ne peut pas acquérir. L’argent est un droit d’avoir.

        Puisque pour pouvoir, il est nécessaire d’avoir quelques moyens, celui-ci qui dispose du droit d’avoir, il peut ; Mais celui-là qui n’en dispose pas, il ne peut pas.

        La dictature douce, c’est l’art de tout diriger par l’argent.

        Mais la force n’est pas loin : le droit réprimande le vol.

        La dictature douce est donc plutôt une dictature où la force intervient en second rang, l’argent intervenant en premier.

        L’Euro est donc une question centrale, et, au-delà, tout le système monétaire mondial.

        Revenons au droit d’avoir : Le juste, c’est l’art de rendre à quelqu’un selon ce qu’il a donné.

        L’argent, droit d’avoir, pour être juste, est donc le rendu d’un don préalable.

        Ainsi, le libre-échange, qui implique la convertibilité générale des monnaies, imbrique fatalement tous les droits nationaux. Or le juste ne peut être considéré que dans le cadre restreint d’une juridiction. Allez savoir si tel homme riche étranger qui se porte acquéreur d’un bien en France a acquis honnêtement l’argent qu’il présente pour l’acheter...


      • vote
        jimontheair jimontheair 20 octobre 2017 20:56

        @ffi

        Je comprends bien - je crois- ce que vous venez de dire. Et acquiesce en bonne partie. Bien que la dictature par l’argent que vous mettez en avant me semble très réductrice, car il existe d’autres formes d’exercice de la dictature qui existe bel et bien, celle des magistères du "savoir", celle des "élus" par des chemins balisés par l’argent certes mais pas que par lui, celle des communautés diverses et variées, celle de clubs de l’ombre pas liés à l’argent, etc

        Mais allons au delà : puisqu’il n’est pas possible de supprimer l’argent qu’elle que soit la forme qu’il prenne, ne vaut il pas mieux faire en sorte que la puissance de l’argent soit réduite, ainsi que celle de ces différentes "parties minoritaires de la société’ que j’ai évoquées juste là au dessus ? 

        Et je ne vois qu’une façon de le faire : une démocratie. 


      • vote
        ffi 21 octobre 2017 04:28

        @jimontheair
        C’est vrai, et cela transparaissait en creux dans ma réponse, puisque j’y ai fait une petite incartade par le droit, que disposer d’argent seulement ne suffirait à rien. Un état pourrait très bien ne pas autoriser la convertibilité de sa monnaie avec les autres monnaies, ou encore mettre des limites aux possibilités d’acquisition. Par exemple, au moyen-âge, il y avait de nombreuses monnaies différentes en France. Il a fallu les unifier toutes pour pouvoir commercer au travers du pays.

        Ainsi, pour permettre une dictature par l’argent, il faut préalablement que soit mis en place un système de lois qui le permette. Ce système de loi ne peut être mis en place, en douceur, uniquement si l’élite politique y consent, soit en la persuadant, en lui faisant croire qu’elle sert ainsi l’intérêt général, soit par corruption, en lui octroyant des intérêts particuliers.

        Mais la démocratie ne serait d’aucune utilité sur ce point. Les gens du commun, trop pris par la recherche des ressources nécessaires à leur survie, n’ont que trop peu de temps pour réfléchir aux législations. Au final, ils votent comme les réseaux les plus influents lui prescrivent.

        L’ultime dictature, en définitive, sera toujours celle du réel. Celui qui est dans le Faux, tôt ou tard, le réel le rattrape. Il faut donc être dans le Vrai. Or le Vrai, c’est une qualité - c’est un discours conforme au réel. Ce n’est pas une quantité de vote. De plus, l’opinion générale peut très bien s’avérer être une croyance erronée.

        Si le savoir est défini comme un « croyance vraie », alors il m’apparaît que c’est bien le savoir qui doit tenir le magistère. Hélas, il n’est pas flagrant de déterminer ce qui est vrai, le vrai se détermine après-coup, une fois qu’on a agi et que le réel a répondu. Après-coup, on peut dire : « telle chose qui passait pour un savoir n’était en réalité qu’une chimère ».


      • vote
        jimontheair jimontheair 21 octobre 2017 10:57

        @ffi

        Mais la démocratie ne serait d’aucune utilité sur ce point. Les gens du commun, trop pris par la recherche des ressources nécessaires à leur survie, n’ont que trop peu de temps pour réfléchir aux législations. Au final, ils votent comme les réseaux les plus influents lui prescrivent.

        Ceci est une affirmation qui pourrait être discutée.
        Notamment en s’appuyant sur le fait que les "gens" ont montré ces dernières années qu’ils pouvaient très bien voter contre l’avis des réseaux les plus influents, et dieu sait qu’ils ont influencé, propagandisé même. 
        Mais surtout car on peut très bien raisonner en dehors du système actuel appelé de plus en plus à tort "démocratie", et alors les faiblesses que vous posez sont assez contournables. Ceci est d’autant plus intéressant que nous disposons d’une quantité importante d’expériences et de faits et de réalisations ayant montré une certaine efficacité pour contourner ces faiblesses. Je pense bien entendu à es choses comme les conférences de citoyens, dont j’aime bien les logiques générales et qui me semblent elles réellement d’essence démocratique et suffisamment rigoureuses pour border bien des risques dont ceux que vous soulevez. 

        L’ultime dictature, en définitive, sera toujours celle du réel. Celui qui est dans le Faux, tôt ou tard, le réel le rattrape. Il faut donc être dans le Vrai. Or le Vrai, c’est une qualité - c’est un discours conforme au réel. Ce n’est pas une quantité de vote. De plus, l’opinion générale peut très bien s’avérer être une croyance erronée.

        Si le savoir est défini comme un « croyance vraie », alors il m’apparaît que c’est bien le savoir qui doit tenir le magistère. Hélas, il n’est pas flagrant de déterminer ce qui est vrai, le vrai se détermine après-coup, une fois qu’on a agi et que le réel a répondu. Après-coup, on peut dire : « telle chose qui passait pour un savoir n’était en réalité qu’une chimère ». 


        Oui, la dictature du réel. Dans la mesure où il semble avoir été prouvé à un nombre illimité de reprises que ce que vous dites - le Vrai connaissable à coup sûr et comme Loi et ceux dans le Vrai comme ayant le pouvoir - n’est pas réaliste, pas atteignable, et entraine des problèmes assez graves notamment les dictatures des magistères, il me semblerait plus judicieux de mettre à bas le plus possible la notion même de magistère. 




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        Le Monde part en couilles Vraidrapo 22 octobre 2017 09:33

        @pegase
         imaginez seulement les mesures draconiennes qu’il faudrait prendre...

        Certes quand on voit les parents parquer automobile en deuxième file ou sur les terres-pleins centraux pour attendre les enfants à la maternelle ou à la communale du quartier en créant des bouchons répétitifs chaque matin... Il est facile de déduire qu’on ne doit pas attendre trop de sacrifices, même à court terme, pour des lendemains meilleurs. Rarissimes sont ceux qui viennent à pied


      • 1 vote
        DJL 93VIDEO DJL 93VIDEO 20 octobre 2017 20:09

        Lorsque la BCE augmentera ses taux d’intérêts, çà fera mal à tous ceux qui ont pris des crédits à taux variable. Warren Buffet disait : C’est quand la mer se retire qu’on voit ceux qui se baignent nus ... Heureusement, en France les banquiers aiment les maillots de bains et détestent les taux variables car c’est un risque sérieux sur un crédit immobilier de 20 ans.

        N’en déplaise à Michel Drac, 2017 a été une superbe année pour les banques, les assurances et les fonds de pension qui sont des investisseurs rentables ...

        C’est le jackpot pour les actionnaires des entreprises françaises du CAC 40. Au deuxième trimestre de cette année, ils ont franchi un nouveau seuil : 40,6 milliards de dollars de dividendes encaissés. En Grande-Bretagne, les détenteurs d’actions n’ont eu à se mettre sous la dent « que » 32,5 milliards de dollars sur la même période et les Allemands 34,1 milliards.

        Cette année il y a eu + de 900.000 transactions immobilières, une année record selon les notaires. Donc les banques se sont gavés avec des crédit immobiliers à faible taux d’intérêt certes, mais à coté ils facturent, des assurances crédit, des frais de dossiers, des assurances pour les propriétaires et même des alarmes pour maison.


        • 1 vote
          Le Monde part en couilles Vraidrapo 21 octobre 2017 12:40

          Conférence instructive. Ça contraste avec l’ignorance dans laquelle nous sommes maintenus par le système éducatif et ensuite par les media.
          Et on prétend être un démocratie. Déjà, il est inadmissible que les technocrates de la BCE (nos salariés) prennent des décisions occultes qui ont un impact sur le sort de chacun.
          (NB : si le son pouvait être réglé à la hausse...)


          • 1 vote
            Hijack ... Hijack ... 22 octobre 2017 14:19

            Désolé, mais Drac n’analyse rien d’autre que les propres analyses des autres.
            Ce qui me surprend, c’est qu’on en fasse des sujets.



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