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Commentaire de Popu

sur Fiesta chic dans le Marais


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Popu (---.---.206.172) 24 juin 2009 16:34

@Cyrilounet,

Il me semble Dufion, que j’ai ferré en toi... un sacré poisson ! J’ai le nez pour ça, moi qui, en la présente, ne me trompe jamais. Elle a dû s’arracher tous les poils de rage, la Cyril de service, en lisant mon communiqué ! S’est-il roulé dans son caca, le rebelle aux dents longues ?

Tu m’as bien amusé, tartufe, et ta réponse est un délice. Infatué, cuistre au possible, ridicule jusqu’au trognon ! Plus révélateur, je ne pouvais l’espérer. Tu as analysé mon texte au microscope, hein ? Traquer la faute à la longue-vue ? Tu as été déçu, je te comprends. Ah, je l’imagine le tâcheron besogneux, cherchant ensuite ses mots, composant son article ! Laborieux pisseur de copie, écrivassier de salon.

En ce qui concerne l’épisode Bruckner, j’étais au paradis... la rencontre de deux grands esprits, un moment historique :

« -Dis monsieur, tu écris quoi là ?
 Moi, je travaille sur l’amour.
 Tu crois en l’amour, monsieur ?
 L’amour, c’est mon gagne-pain, mon petit gars.
 Merci monsieur, c’était un plaisir de discuter avec toi » (rires dans la salle). Manque plus que ta copine Lola, et je serai comblé !

La signature : "La rédaction", oh ça en impose ! Tu es sans nul doute quelqu’un, « Bel Ami », qui se fraye un chemin parmi des femmes -portées aux abonnées absentes-, résidus d’une féminité désormais surannée : bref, des nanas modernes, hystériques et coincées. Sinon, Cyril mio, tu manques de subtilité mon garçon : « viril comme on n’en fait plus », c’était de l’ironie... donc, en rien contradictoire avec « efféminé » (sans accent sur le premier « e » !). Tu es lent de la comprenette, toi !

Ton verbiage est à ton image, sans épaisseur... un assemblage de beaux et vains mots, laissant, au final, une impression de lourdeur... diarrhée verbale, conséquence d’une pénible digestion ? Enfin, tout révèle que je t’ai touché en plein cœur, alors merci pour ce bonheur. Tu dois les amuser les fifilles, avec tes armes sémantiques, toi, tes élans périphrastiques dans le genre « ces animaux desquels les ibériques »... Put..., c’est lourd, mais c’est lourd ! Oui, qu’est-ce que tu es lourd. Comprends-tu même ce que tu lis ?... car, citer Muray c’est bien, mais déjà le garçon t’aurait repris, sur ce simple mot :"l’Homo". On n’est pas dans une boîte gay là ! Stop les fantasmes, Cyrilounet ! Il s’agit d’Homo Festivus (et non, de l’...). Comme Homo Faber, vois-tu la différence ?

Excuse-moi, mais les gens comme toi sont de tels bouffons que quand on en tient un, il trinque pour les autres. Mais, je ne m’en fais pas, tu oublieras le douloureux épisode en une prochaine fête carnivore. Ah, cette fessée que maman aurait dû naguère te donner, et dont je me suis chargé, elle te fera un bien fou ! Oui, à Paris, on ferme les yeux pour ne pas vous voir, vous les bobos. Paris, sans le peuple en son ventre, n’est plus qu’une ville muséifiée, une saleté mortifère.

Alors, si je flingue ici, quoi de plus normal !

« Arme sémantique ; animal duquel les ibériques »... merci pour ces moments de bonheur !

@Lola,

Ah, sinon je m’étais absenté pour bosser -physiquement s’entend !... des tâches ingrates et bien sales que jamais Cyril et Lola, l’improbable couple, ne connaîtront !... ô grand jamais ! J’ai bien fait, car voilà Lola. A croire qu’ils glandent à longueur de journée, nos deux oisifs ! J’ai manqué pisser sur mes chausses, en bon gaulois que je suis, en te lisant Lola ! T’es une super marrante dans ton genre, toi ! Je cite le morceau de bravoure de la pas-si-gentille-que-ça : « Votre répugnante goujaterie est une insulte à l’esprit français en général et parisien en particulier : honte à vous ! «  Là, c’en est trop, deux idiots échappés d’un cirque ! Faut monter un numéro illico, les charlots ! « L’esprit parisien en particulier », nous précise donc Lola qui n’a pas dû dessaouler. Mais, il n’y a pas plus d’esprit parisien que de beurre de cacahuète sur le cul des singes, Lola ! Du ridicule parisien, certes, mais de l’esprit, que nenni la belle ! Le Parisien n’est souvent qu’un C.. qui s’ignore. De plus, la vraie atteinte à la pudeur comme au bon sens, elle est là, sur mon écran : un improbable couple de bobos ! Allez hop, tout ça en Corée (du nord, s’entend), dans un camp de rééducation ! Sinon, un conseil, mettez-vous plutôt au char à voile ! Vous verrez, c’est très festif aussi, et, en cette période de vents mauvais, ce sport est promis à un avenir certain ! Ecrit d’un jet... j’ai autre chose à faire que de m’amuser, moi !


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