En réalité, je me suis pas moqué de la personne qui s’est mangée une armoire pleine, mais de la combinaison de la situation avec la diffusion auto-dérisoire et presque obscène de ce film sur le net. Le ridicule et la médiocrité tendent à se cotoyer main dans la main aussi bien dans les médias institutionnels (mais intentionnellement) que dans une frange large de la population (endormie, hypnotisée ou lobotomisée par les écrans TV)