Il s’écoute parler dans un long Om qui semble lui apporter la sérénité indispensable au bien être intérieur. Certes, son discours confus et manquant en fait ne suscite rien de moins que la critique paresseuse qui se noue autour du rythme désarticulé de sa voix de crécelle. Un journaliste de ce calibre dont la profondeur d’esprit n’a d’égale que son narcissisme balbutiant et grossier doit raisonnablement envisager de reprendre des cours d’élocution, de diction, après avoir préalablement réappris le bon usage du français si tant est qu’il en eut acquis auparavant une maîtrise presque parfaite.
Bref, son intervention limitée ne vaut pas un pet de vache broutant et macérant de la bonne herbe.