L’un des grands drames de notre société, c’est le fait que
nos politiques préfèrent investir dans le « tout répressif » plutôt
que d’allouer les sommes adéquates à l’instruction, l’éducation et surtout, la
psychiatrie. Ceci permettrait, le cas échéant, d’éviter que des attardés
mentaux, et des atrophiés du Q.I. à la limite supérieure de la débilité ;
airent en divaguant, et en exprimant leurs vociférations des insalubrités incohérentes
dans une langue approximative à l’intention d’autrui, probablement pour se
dignifier dans leurs codes culturels de quartiers. Est-ce du terrien d’ailleurs ?
Difficile de comprendre l’intégralité des monèmes s’émanant de l’orifice buccal
de l’individu lorsqu’il tente de communiquer avec ses vocables sur fond de
vulgaires boites à rythmes pré-élaborées et bases pseudo-instrumentales avec
un, voire deux accords, dans le meilleur des cas (accords systématiquement
mineurs, sans doute histoire de maintenir et conforter l’auditoire dans un
mélange de haine, de mélancolie et de fatalisme). La définition du rap en
somme. Bref, il est des forces contre lesquelles l’on ne peut rien. Les Q.I.
pas plus élevés que les températures anales et la haine en sont. En matière de tolérance,
fdesouche et l’individu en question se comprennent puisqu’en étant dépourvus. In
fine, fdesouche et l’amputé du cortex : même combat !