Alors c’est vrai que le ton de la lettre est insultant, c’est vrai que c’est pas bien de vouloir des "esclaves" à 1$ de l’heure, c’est vrai que cette lettre pue. Mais il n’en demeure pas moins qu’elle révèle la totale absence de compétitivité de la France et des syndicats archaïques et rétrogrades qui ne comprennent pas que le salarié ne peut s’enrichir que sans le cas d’une entreprise prospère. Il est clair aussi que créer une boite en France est tout simplement devenu impossible. Si on ajoute à ça la haine du riche et de celui qui réussit, alors les investisseurs soit se barrent, soit ne viennent pas et il va falloir vous habituer au chômage de masse ou alors changer de mentalité. Pendant ce temps, une caste de privilégiés, de marquis, les fonctionnaires, continuent à demander des passe-droits et encore pus d’avantages qu’ils n’en ont déjà aux frais de la princesse.