@l’auteur
Intéressant ce concept de "servitude volontaire".
Toute vie en société est basé sur un certain abandon de liberté individuelle pour se soumettre à certaines règles de vie en commun, en échange de quoi l’individu obtient un environnement stable dans lequel il peut construire son espace privé et sa vie familiale.
A partir de quel point ce réflexe qui nous permet d’accepter des règles de vie en commun devient-il une pathologie qui nous incite à accepter des règles aliénantes ?
cet échange entre l’individu et la société devient-il déséquilibré au point de se transformer en servitude volontaire ou aliénation ?
Et n’est-il pas ironique de voir ce sujet abordé par Islam&info, alors que l’islam qui signifie soumission est le modèle par excellence de cette acceptation aliénante, de cette soumission à des rituels absurdes en échange d’un paradis pour le moins hypothétique ?