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Il y a un an que l’on aurait dû, première des choses :
réduire les dépenses,
en particulier les gaspillages.
En même temps, avec un cahier des charges et un contrôle
effectif,
Sauf subventions, mettre tous les moyens : contraintes
douanières astucieuse,
normes Européennes rediscutées et décentralisées,
contraintes fiscales et taxes abusives revues, assouplir
l’embauche.
L’administration réellement au service des PME
& PMI qui exportent,
ou qui essayent, en leur demandant en échange : du "chiffre" et de l’emploi
et surtout contrôler tout ça, non comme d’habitude mettre en
route et oublier.
Ces mesures ne vaudraient que pour passer ce mauvais cap,
pour pouvoir
se remettre en configuration de rembourser, retrouver
l’emploi et seulement
après reprendre un social maîtrisé, proportionné et
contrôlé.
Au lieu de mettre la charrue avant les bœufs. Ou de
s’attarder à des "blagues".
On ne dépense pas ce que l’on a pas. Ou l’on s’endette, ce que l’on a que trop fait.
En conclusion le salut passe par les exportations.
Mais "saigner" les gens qui ont de l’argent ne
fait qu’appauvrir le pays,
Par contre ! qui payent les impôts qu’ils doivent, ça oui ! Et
supprimer les passes droits de toutes sortes.
Il faut que tout soit clair ! Que l’on sache ou l’on va,
quand, comment et combien.
L’inquiétude génère le pessimisme, la défiance , le repli sur
soi et
le protectionisme.
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