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Commentaire de christophe nicolas

sur 11-Septembre : 2000 experts pour une enquête sur la chute des 3 Tours du WTC


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christophe nicolas christophe nicolas 31 décembre 2013 01:58

Non c’est sur que je ne jamais lu le mode d’emploi d’un photocopieur, et toi ? Oui c’est ça, le building brûle et tu continues à faire des photocopies pour ton patron, le photocopieur explose et t’arrache un bras ???? Scénario logique de l’employé consciencieux, au Japon, je veux bien mais pas au USA...

 

Donc c’est la fin du monde, l’aluminium explose à cause de l’eau. Dans une fonderie, cela se passe effectivement, certainement mais pas au WTC. Tu confonds la sécurité chez Altran et un incendie de bureau. L’aluminium explose sous forme de poudre également mais ce n’est pas le cas ici sauf s’il y avait des trucs style thermite ou thermate, ce sont des trucs pour découper l’acier. L’avion a été pulvérisé mais pas en poudre, il y a des limites.

 

Un ascenseur qui tombe est un choc mécanique qui n’a rien à voir avec une détonation d’explosif et il me semble qu’il y a des freins dans les ascenseurs qui les bloquent quand les câbles lâchent. Toutes les explosions que tu cites n’ont rien à voir en intensité avec des détonations. Les policiers et les pompiers connaissent ces bruits. Le gaz doit s’accumuler dans un endroit fermé puis une étincelle fait une explosion, ce n’est pas ce qui se passe dans un incendie. C’est des associations de n’importe quoi.... Les témoignages parlent de détonations et tu me parles de bombes aérosol... quel rapport en décibels. C’est un incendie de bureau pas l’éruption du Vésuve, c’est le papier qui brûle, la moquette, le mobilier, le plastique. Ce n’est pas Hiroshima, ce n’est pas la fin du monde...

 

Il est évident que toutes les charges n’ont pas fonctionné, comment pouvaient-ils prévoir la hauteur d’impact de l’avion. Ils ne pouvaient pas, donc, ça a continué à exploser et à chauffer dans les décombres. Il est certain que les aérosols de robert le peintre ont traumatisé les entreprises de déblayage. L’essence n’explose pas sauf au cinéma, il faut qu’il soit vaporisé. J’imagine qu’on a coupé le gaz après l’effondrement.

Un bail de 99 ans, c’est comme être propriétaire. A qui profite le crime ? A ceux qui font de l’argent tout simplement ou économise de l’argent en faisant faire les guerres par d’autres. Israël n’est rien sans les Etats Unis, une chiure de mouche. Voir le peuple élu se focaliser sur la terre en étant indigne vis à vis des lois de Dieu est une déchéance totale. Israël veut dire peuple de Dieu et pour l’instant, Dieu, ils l’ont crucifié et toujours pas reconnu.

 

En fait, on ne comprend pas comment les planchers ont cédé. Ca n’aurait jamais du partir, le feu ne peut pas détruire verticalement un tel édifice qui est une tour dans une tour reliée par un plancher. Les planchers sont là pour les occupants, si l’acier se ramolli, ils se tordent, se cassent par endroit mais ne tombent pas. Pourquoi tomberaient ’ils ? Le feu ne peut pas faire fondre l’acier, ça reste accroché, même déformé. En plus, si la température n’est pas trop forte, les planchers ne s’affaissent pas mais se bombent par dilatation thermique et exercent une pression pas une traction. Le fambage vers l’intérieur des colonnes extérieures qu’on voit est dans les zones d’impact qui ont été déformées certainement au moment du choc. C’est une structure ductile pas fragile et la ductilité augmente avec la température, tout se déforme mais tout reste accroché, il n’y a aucune raison que cela tombe.

 

Le plancher qui tire sur les colonnes extérieures et les fait flamber ce qui fait tomber l’immeuble, c’est donc cela la thèse des gars du NIST ? J’ai une question, montre moi les diplômes de ces gars parce que là on est dans le burlesque vu les rapports dimensionnels. Donc, mettons qu’après avoir poussé par dilatation thermique, le plancher tire sur les colonnes extérieures parce que l’acier perd vraiment ses caractéristiques mécaniques ; d’après le NIST, ce ne serait pas les attaches qui cèderaient en cisaillement mais les colonnes extérieures qui se déformeraient. L’impact en a coupé un paquet mais l’immeuble n’est pourtant pas tombé. Super cerveaux au NIST, ils recrutent des biologistes ? Ceci dit, avec les Américains, ils avaient déjà fait le coup avec la navette spatiale, heureusement il y avait Feynman sur demande expresse du Président pour déjouer les entourloupes et trouver le défaut. Si c’est ça le rapport du NIST, je n’ai plus besoin de preuves d’incompétence. Tu prends le rapport, tu le balances dans le feu et tu pleures sur la science américaine bouffée par les intérêts.

 

Vu la taille des poutres de la colonne interne , elle n’avait rien à craindre quant à l’enveloppe externe, elle est au contact de l’air libre et ce n’est pas un feu de bureau qui fait beaucoup de fumée qui va l’endommager. Tout cela reste largement solidaire par tous les planchers non atteints et ni les aérosols, ni les photocopieurs, ni les colonnes de gaz qui ont dû être coupées très tôt n’endommagent l’acier.

Puisque c’est un complot car le terrorisme est toujours un complot, c’est une conspiration même pour toi. Le tout est de savoir qui est derrière le complot. Des gugus ne sachant pas piloter ou des professionnels. On apprend toujours bien des années plus tard qu’il y a toujours des professionnels dans les coups de grandes envergure.

Le problème de l’amiante, ce sont les normes, le cout des devis devient rapidement prohibitif. Vu l’accessibilité, les sas, le bruit, je ne vois pas comment ils peuvent désamianter un tel édifice et l’exploiter en même temps, c’est totalement dément. De plus, Larry venait de l’acquérir, alors on habille bien la mariée. Si la situation était si idyllique pourquoi le céder pour 99 ans. La poule aux œufs d’or, on la garde pour soi. On cède ce qui est merdique et Larry est le style à recycler le merdique sans état d’âme, vraiment sans état d’âme.

Les coefficients de sécurité existent, 1000°C en température ne veut rien dire, il faut les transformer en capacité calorifique. Le Kérosène brule quasi immédiatement, il n’alimente pas le feu pendant une heure. Après cela reste un feu de bureau. Le feu n’était pas sur 15 à 30 étages et pas sur tout le périmètre de l’immeuble, les planchers ne vont pas descendre en coulissant parfaitement mais vont s’autobloquer merdiquement.

L’acier commence à être rouge à 600°C, même dans mon poêle avec des belles buches en chêne, je n’arrive pas à le rougir. D’après les images, le WCT n’est pas devenu rouge rayonnant. C’est du délire, du délire total

En plus, vous confondez la limite d’élasticité et la résistance. La limite d’élasticité est la résistance en traction à 0, 2 % de déformation plastique, ça continue a résister après surtout en compression.

Tout ce que tu me montres ne fait que me conforter dans l’idée que le scénario du NIST est loufoque. 

 

Le tartinage d’arguments loufoques en masse reste du tartinage donc ma réponse est aussi un peu désordonnée. Effectivement, je comprends que le NIST était vraiment dans la merde pour en arriver à dire que les planchers ont fait flamber la structure porteuse. Qui a pu gober une telle ânerie ?

 

Inutile d’examiner le reste du dossier, la seule conclusion, c’est que les planchers sont descendus de façon homogène en suivant la structure centrale qui descendait de façon homogène, et que la structure extérieure a été entrainée par les planchers vers l’intérieur et "aidée aux angles" pour enlever le contreventement. La pulvérisation du béton montre qu’il il a du y avoir un mélange de choc thermique et choc mécanique de très forte ampleur. Il faut reconnaître une chose, s’il n’y avait pas toutes ces victimes on pourrait dire, c’est du "boulot de pro". C’eut été joli qu’ils ne coupent pas la structure extérieure aux angles, elle serait restée sur deux cents mètres de haut avec des bouts de plancher pendouillant, on aurait pu faire un gibet pour Larry...


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