Alain illustre l’ évolution de nombre de Français souvent radical-socialistes qui, dégoutés par la guerre de 14-18, se sont réfugiés dans le pacifisme pour dénoncer le fascisme dans les années 30, avant d’ adopter le parti de l’ Allemagne, et d’ écrire dans des revues collabos, toujours par pacifisme. Membre de la Ligue de la Pensée Française, ouvertement collaborationniste, il écrivait aussi dans la Nouvelle Revue Française de Drieu la Rochelle.
Il ne voulait plus faire la guerre au point de ne plus être un homme.