@enzo
Ce raisonnement de Pascal est compréhensible mais il y manque selon moi l’essentiel : il n’y a pas que moi qui vis sur terre dans cette condition humaine.
La croyance ou la non-croyance en un Dieu devrait alors être avant tout une interrogation sur ce que l’une ou l’autre peut entraîner de maléfique chez les autres habitants de la planète.
Et la priorité devrait alors être avant tout donnée à la recherche et au ferme rejet de ce qu’il y a de criminogène dans la croyance.
Or c’est cette interrogation essentielle que l’actuelle société française refuse absolument, ce qui la conduit à son islamisation continue, et donc à la progression continue de sa criminalisation religieuse.