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Commentaire de alanhorus

sur Déchéance de la nationalité et dislocation de la France - Analyse de F. Asselineau - 26 déc 2015


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alanhorus alanhorus 30 décembre 2015 10:09

http://www.alterinfo.net/La-pourriture-raciste-et-islamophobe-est-a-Ajaccio-la-tete-pourrie-est-a-Paris_a119708.html

Commentaires interressant de l’article.
pancho willa le 27/12/2015 14:52 


vous êtes tous ici des soi-disant observateurs aguerris de la scène politique française et internationale et personne n’a fait le lien avec les élections qui ont eu lieu quelques jours auparavant en corse et qui ont vu et pour la première fois la victoire des nationalistes et leur prisent de fonction a la tête des institutions de l’île.
cette victoire a embarrassé l’exécutif français et l’état profond au plus haut point, vu les déclarations des vainqueurs sur une indépendance possible de l’île (qui ne sait jamais sentie française) exprimée qui plus est (crime de l’aise majesté) en langue corse dans un hémicycle de cet état.
il fallait réagir rapidement pour discréditer les nationalistes, la corse, sa population indigène et réaffirmer par la même l’autorité de l’état jacobin et centraliste.
comment faire !!!!!!!!!!!!!!!! quoi de mieux que de provoquer une prétendue confrontation entre communautés et par la même faire passé les corses pour des racistes xénophobes qui ne respectent pas l’état de droit donc incapable de s’auto-gérer.
primo on exécute un guet-apens bien ficelé contre des pompiers, chose qui ne s’est jamais produite en corse dans un quartier habité par des marocains (on allume un feu a minuit on appelle les pompiers et la une dizaine de personnes tous cagoulés leur balancent des pierres veulent les frappés a coups de batte de base-ball) et le comble pour bien mettre de l’huile sur le feu les insultes ( sale corses vous êtes pas chez vous ici ) excusez moi mais c’est trop gros.
secundo faire appel a un rassemblement le jour d’après pour le soutien des pompiers et bien sur manipuler les moutons de la soi-disant expédition punitive.
le reste n’est que jeu d’enfants médiatisé tout cela en donnant l’image la plus néfaste des corses et surtout par la même des nationaliste qui ont pris le pouvoir y a même pas une semaine.

lada niva le 28/12/2015 23:48 


Thierry Meyssan est tout sauf crédible. Si on cherche un peu qui contrôle le pétrole de tous ces pays détruits, on voit que ce sont les USA et Israël, l’Iran, la Turquie, la Chine, la Russie et les Européens qui profitent de cette manne pétrolière protégée par des militaires américains. On tue les populations arabo-musulmanes sunnites et le monde occidental profite de cet or noir, gratuitement ou en tous cas a très bas prix. Je vais remettre trois vidéos qu’une personne qui commentait ici avait mis. Ces vidéos étaient intéressantes et étaient des reportages sur le pétrole, qui le détient, qui le contrôle, dans tous ces pays meurtris.
https://www.youtube.com/watch?v=RQ86f7Nsf2w
Ajoutée le 1 mars 2012

En 1928, le Hollandais Henri Deterding, patron de la Royal Dutch Shell, réunit dans son château d’Achnacarry, en Ecosse, les présidents des six compagnies pétrolières : Standard Oil of New Jersey, Texaco, Anglo-Persian Oil Compagny, Gulf, Chevron et Mobil. Le but de cette entrevue : exploiter le « plus... fraternellement possible » les réserves mondiales de pétrole. Les convives concluent alors l’accord d’Achnacarry, dit aussi « des sept soeurs » (Shell, BP, Mobil, Chevron, Exxon, Gulf & Texaco) qui va sceller la prospérité de leurs sociétés. Dès lors, ces compagnies n’auront de cesse d’intriguer, de comploter et d’interférer dans la marche du monde. En ce début du XXIe siècle, elles figurent toujours parmi les dix les plus puissantes... En mêlant interviews de spécialistes, images d’aujourd’hui, ainsi qu’archives et reconstitutions, cette série documentaire de quatre épisodes fait revivre près d’un siècle de géopolitique à travers le prisme de l’or noir.
01/04 : TEMPÊTES ET FORTUNES DU DÉSERT Dès le début du siècle et, plus encore après la Seconde Guerre mondiale, les grandes puissances occidentales nouent des relations étroites avec les états pétroliers afin d’assurer aux sept sœurs la mainmise sur les gisements du Moyen-Orient. Lassés de voir leurs états spoliés, certaines voix s’élèvent contre cette exploitation, comme celle, avortée, du premier ministre iranien Mossadegh en 1951. En 1960, les états producteurs de pétrole s’unissent et créent l’OPEP. L’influence des sept sœurs est donc menacée. C’est paradoxalement le choc pétrolier de 1973 qui leur permet de rebondir. Néanmoins, le contrôle de cette région du monde reste capital, comme l’ont prouvé récemment les conflits irakiens de 1991 et 2003.


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