http://www.alterinfo.net/La-pourriture-raciste-et-islamophobe-est-a-Ajaccio-la-tete-pourrie-est-a-Paris_a119708.html
Commentaires interressant de l’article.
pancho willa
le 27/12/2015 14:52
vous êtes tous ici des soi-disant observateurs aguerris de la
scène politique française et internationale et personne n’a fait le lien
avec les élections qui ont eu lieu quelques jours auparavant en corse
et qui ont vu et pour la première fois la victoire des nationalistes et
leur prisent de fonction a la tête des institutions de l’île.
cette
victoire a embarrassé l’exécutif français et l’état profond au plus haut
point, vu les déclarations des vainqueurs sur une indépendance possible
de l’île (qui ne sait jamais sentie française) exprimée qui plus est
(crime de l’aise majesté) en langue corse dans un hémicycle de cet état.
il
fallait réagir rapidement pour discréditer les nationalistes, la corse,
sa population indigène et réaffirmer par la même l’autorité de l’état
jacobin et centraliste.
comment faire !!!!!!!!!!!!!!!! quoi de mieux
que de provoquer une prétendue confrontation entre communautés et par la
même faire passé les corses pour des racistes xénophobes qui ne
respectent pas l’état de droit donc incapable de s’auto-gérer.
primo
on exécute un guet-apens bien ficelé contre des pompiers, chose qui ne
s’est jamais produite en corse dans un quartier habité par des marocains
(on allume un feu a minuit on appelle les pompiers et la une dizaine de
personnes tous cagoulés leur balancent des pierres veulent les frappés a
coups de batte de base-ball) et le comble pour bien mettre de l’huile
sur le feu les insultes ( sale corses vous êtes pas chez vous ici )
excusez moi mais c’est trop gros.
secundo faire appel a un
rassemblement le jour d’après pour le soutien des pompiers et bien sur
manipuler les moutons de la soi-disant expédition punitive.
le reste
n’est que jeu d’enfants médiatisé tout cela en donnant l’image la plus
néfaste des corses et surtout par la même des nationaliste qui ont pris
le pouvoir y a même pas une semaine.
lada niva
le 28/12/2015 23:48
Thierry Meyssan est tout sauf crédible. Si on cherche un peu qui
contrôle le pétrole de tous ces pays détruits, on voit que ce sont les
USA et Israël, l’Iran, la Turquie, la Chine, la Russie et les Européens
qui profitent de cette manne pétrolière protégée par des militaires
américains. On tue les populations arabo-musulmanes sunnites et le monde
occidental profite de cet or noir, gratuitement ou en tous cas a très
bas prix. Je vais remettre trois vidéos qu’une personne qui commentait
ici avait mis. Ces vidéos étaient intéressantes et étaient des
reportages sur le pétrole, qui le détient, qui le contrôle, dans tous
ces pays meurtris.
https://www.youtube.com/watch?v=RQ86f7Nsf2wAjoutée le 1 mars 2012
En
1928, le Hollandais Henri Deterding, patron de la Royal Dutch Shell,
réunit dans son château d’Achnacarry, en Ecosse, les présidents des six
compagnies pétrolières : Standard Oil of New Jersey, Texaco,
Anglo-Persian Oil Compagny, Gulf, Chevron et Mobil. Le but de cette
entrevue : exploiter le « plus... fraternellement possible » les
réserves mondiales de pétrole. Les convives concluent alors l’accord
d’Achnacarry, dit aussi « des sept soeurs » (Shell, BP, Mobil, Chevron,
Exxon, Gulf & Texaco) qui va sceller la prospérité de leurs
sociétés. Dès lors, ces compagnies n’auront de cesse d’intriguer, de
comploter et d’interférer dans la marche du monde. En ce début du XXIe
siècle, elles figurent toujours parmi les dix les plus puissantes... En
mêlant interviews de spécialistes, images d’aujourd’hui, ainsi
qu’archives et reconstitutions, cette série documentaire de quatre
épisodes fait revivre près d’un siècle de géopolitique à travers le
prisme de l’or noir.
01/04 : TEMPÊTES ET FORTUNES DU DÉSERT Dès
le début du siècle et, plus encore après la Seconde Guerre mondiale, les
grandes puissances occidentales nouent des relations étroites avec les
états pétroliers afin d’assurer aux sept sœurs la mainmise sur les
gisements du Moyen-Orient. Lassés de voir leurs états spoliés, certaines
voix s’élèvent contre cette exploitation, comme celle, avortée, du
premier ministre iranien Mossadegh en 1951. En 1960, les états
producteurs de pétrole s’unissent et créent l’OPEP. L’influence des sept sœurs est donc menacée. C’est paradoxalement le choc pétrolier de 1973
qui leur permet de rebondir. Néanmoins, le contrôle de cette région du
monde reste capital, comme l’ont prouvé récemment les conflits irakiens
de 1991 et 2003.