• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile


Commentaire de Maître Cube

sur Les limites du créationnisme


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Maître Cube 9 janvier 2016 16:44

J’ai commencé à regarder, puis vite abandonné.

L’évolutionnisme est aussi faux et discrédité que le créationnisme. La réalité est autre et des civilisations antérieures la connaissait.

Le Vedanda, qui reprend les concepts antiques du shivaïsme, explique que l’Univers entier « n’est que pure conscience ». Il me semble que le mot utilisé pour tout ce qui existe est Brahman, mais je n’en suis plus sûr.

Cette conception, du tout conscient ou tout vivant, est l’unique possibilité logique au constat qu’il existe des êtres vivants, puisque l’on sait que le vivant ne peut sortir que du vivant.

Par ailleurs, les travaux en « orgonomie » du grand savant que fut Wilhelm Reich, montrent que des éléments minuscules de vie, qu’il appelait « bions », semblant être des microzymas, naissent spontanément de la matière inerte dans certaines condition. Ainsi, il montra qu’en chauffant au rouge, par exemple de la limaille de fer (ou du sable…), puis en la plongeant dans de l’eau stérile, on observait des bions qui s’extrayaient lentement de la limaille, se mettaient à se déplacer vivement, puis se regroupaient en général pour former une sorte de protozoaire. Reich n’était pas un charlatan et ses travaux sont toujours poursuivis.

On sait qu’il existe dans les abysses océaniques, à coté des bouches volcaniques (appelées fumeurs noirs), une vie exotique, adaptée au milieu. Ce simple fait confirme les vues de Reich, car d’où sortirait cette vie inconnue si ce n’est du volcanisme sous-marin ?

La synthèse de tout ça montre que la vie est la seule réalité, et qu’il est farfelu de s’interroger sur la manière dont elle a pu apparaître.

Avec tout ça, on peut supposer que le vivant est fait d’êtres quantiques, tous prédéterminés par les lois du milieu et leur « état d’âme ». Et on peut penser, sans pouvoir le prouver puisque ce n’est pas falsifiable, que l’âme de l’Homme, aboutissement de la vie terrestre, a obligatoirement un avenir « céleste » au terme des pérégrinations qui lui auront permis de s’accomplir.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès