@Hijack ...
« Le Coran apparaît comme une compilation de traditions et de
mythes païens arabes, zoroastriens, perses, juifs, chrétiens iconoclastes et
apocryphes » (Ibn Warraq, "Pourquoi je ne suis pas
musulman")
« Le Coran est une rhapsodie interminable et incohérente de
fables, de préceptes et de déclamations, qui éveille rarement un sentiment ou
une idée, qui se vautre parfois dans la fange et qui se perd quelque fois dans
les nuées », (Gibbon, "Decline and Fall of the roman
Empire", London, 1941)
« Les plus importantes étapes de l’histoire de l’Islam furent
caractérisées par l’assimilation d’influences étrangères (…) Mahomet, son
fondateur, ne proclamait pas d’idée nouvelle. Il n’enrichissait pas les
conceptions antérieures sur les relations entre l’homme et le transcendantal ou
l’infini (…) Le message du prophète arabe fut une composition éclectique
d’idées religieuses et de règles. Ces idées lui furent inspirées par des
contacts avec des juifs, des chrétiens, et d’autres encore qui l’avaient profondément
impressionné », (Ignaz Goldziher, "Introduction to Islamic
Theology and Law", Princeton, 1981)
« L’Islam n’est pas une invention mais une concoction, rien n’y est
neuf si ce n’est le génie de Mahomet qui mélange de vieux ingrédients pour en
faire une nouvelle panacée aux maux de l’humanité et qui l’impose à la pointe
de l’épée », (Zwemer, "Islam : a challenge of faith",
New York, 1905)
« [Le Coran] est un ramassis de confusions, de contradictions et d’incohérences », (Burton, "The collection of the Quran",
Cambridge, 1977)
«
Parmi les religions, l’islam doit être comparé au
bolchevisme plutôt qu’au christianisme ou au bouddhisme. Le christianisme et le
bouddhisme sont avant tout des religions personnelles, avec des doctrines
mystiques et un amour de la contemplation. L’islam et le bolchevisme ont une
finalité pratique, sociale, matérielle dont le seul but est d’étendre leur
domination sur le monde. » Sir Bertrand Russell, scientifique et
philosophe pacifiste, Prix Nobel 1950
« Le
Coran manque de plan d’ensemble, il est fréquemment obscur et inconséquent à la
fois dans la langue et dans son contenu, superficiel dans la liaison d’éléments
disparates et sujet à la répétition de passages entiers dans des versions
différentes. Sur ces bases, il peut vraisemblablement être soutenu que le Coran
est le produit de l’édition tardive et imparfaite de matériaux provenant d’une
pluralité de traditions » (Cook et Crone, "Hagarism : The
making of the muslim world", Cambridge, 1977)
« Nous relevons à partir de l’arrivée du prophète à Médine un
altération rapide et marquée du système qu’il avait inculquée. L’intolérance
prit la place de la liberté, la force celle de la persuasion. Les armes
spirituelles, destinées initialement à des fins plus élevées, ne furent pas
plus tôt attachées au service de l’autorité temporelle (…) . Le nom de
Tout-Puissant donnait une force terrible à l’épée de l’Etat et l’épée du
pouvoir en retour détruisait volontiers les ennemis de Dieu et les sacrifiait à
l’autel de la nouvelle religion. Tuez les incroyants partout où vous les
trouverez, tel est désormais le mot d’ordre de l’Islam… » ( Muir,
"The Life of Muhammad", Edimbourg, 1923)
«
Pour les historiens, les Arabes ne sont pas plus les
descendants d’Ismaël, le fils d’Abraham, que les Français ne le sont de
Francus, le fils d’Hector. » (Rodinson, "Les Arabes",
Paris, 1991)
«
Il peut y avoir des musulmans modérés, mais l’Islam par
lui-même n’est pas modéré. » (Talisma Nasreen)
« Je suis un peu
islamophobe, ça ne me gêne pas de le dire. J’ai le droit, je pense (et je ne
suis pas le seul dans ce pays), à penser que l’Islam, (je dis bien « Islam »,
je ne parle même pas des islamistes) en tant que religion, apporte une certaine
débilité qui en effet me rend islamophobe. Il n’y a aucune raison, sous le
prétexte de la tolérance, de s’abaisser jusqu’à renier des convictions
profondes. » Claude Imbert, rédacteur en chef
du journal Le Point, (24 octobre 2003, sur LCI
« La religion la
plus con, c’est quand même l’islam ». Michel Houellebecq, écrivain
« Quand vous êtes
un converti [à l’islam] vous devenez transparent, culturellement vide »
(Le Monde, 17 juillet 1998)
« Aucune colonisation n’est allée aussi profond que celle
de l’islam et des Arabes [...] Les populations colonisées se voient dépouillées
de toute vie intellectuelle ; il y a une "hystérie musulmane", une
"tyrannie" de l’islam. » (Notre civilisation universelle,
Le Débat, Paris, n° 68, p. 86) V.S.Naipaul, prix Nobel indien de littérature
« Depuis plus de
500 ans, les règles et les théories d’un vieux Sheikh arabe, et les
interprétations abusives de générations de prêtres crasseux et ignares ont
fixé, en Turquie, tous les détails de la loi civile et criminelle. Elles ont
réglé la forme de la constitution, les moindres faits et gestes de la vie de
chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil, la coupe de
ses vêtements, ce qu’il apprend à l’école, ses coutumes, ses habitudes et
jusqu’à ses pensées les plus intimes. L’Islam, cette théologie absurde d’un bédouin
immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies. » Mustapha Kemal, dit Atatürk, fondateur de la Turquie moderne et laïc.
« Le
fondamentalisme musulman est en train de devenir la principale menace pour la
paix mondiale... c’est comparable à la menace constituée par le nazisme et le
fascisme dans les années 30, et par le communisme dans les années 50. » Clare Hollingworth
« Le
problème séminal pour l’Occident, ce n’est pas le fondamentalisme islamique.
C’est l’Islam » Samuel Huntigdon, écrivain, dans Le Choc des civilisation