@pegase

Chaque fois qu’un robot remplace un employé, il devrait payer les charges sociales correspondantes à celles de l’employé remplacé.

Cela, allié à une interdiction absolue de délocalisation sous peine de confiscation, devrait amener les patrons à plus de discernement concernant la robotisation. Sans chômage, les charges, y-compris les charges patronales, seraient bien moins lourdes et ils y trouveraient leur compte.

J’ai toujours pensé que le processus vicieux a commencé avec le remplacement des poinçonneurs de métro par des machines couteuses.

Il y avait alors plus de sécurité dans les stations, et les grouillots à l’oeuvre, qui n’auraient probablement pas pu tenir un autre emploi, n’étaient pas au chômage.

Les machines qui devaient nous soulager nous ont conduit au chômage, ne profitant qu’à un petit nombre d’actionnaires, alors qu’elles auraient du bénéficier au peuple dans son ensemble, dans un monde idéal.

Je vous rassure, ce n’est pas dans le programme de l’UPR...