@Dudule
L’indétermination quantique est de nature très différente : il s’agit de
pure hasard que l’on ne peut pas lever en connaissant parfaitement
l’état d’un système.
Personnellement j’en suis arrivé à la conclusion inverse... Car comme vous le dite :
Très peu d’expériences sont capables d’observer le comportement d’une
particule quantique individuelle. Il n’y en a que deux qui me viennent à
l’esprit : les expériences concernant les figures d’interférences
obtenues par des particules interférant avec elle même (en les faisant
interférer une à une), et les expériences sur le paradoxe EPR (Aspect).
Il y a un peu plus que ça...
Ceci signifie que ces objets sont inconnus et ne sont pas complètement caractérisés. A partir de là, si on ne connaît pas leurs vrai physiques... On ne peut rien en déduire à part des approximations.
De plus, rien ne dit que même en connaissant leurs vrais natures physiques (exemple d’un électron constitué de 3 quarks, etc...), on puisse résoudre formellement ou numériquement leurs dynamiques.
Personnellement, je considère que cette physique est une physique d’approximation car elle est intrinsèquement incapable de faire mieux...
Et je pense que pour éviter de se faire des nœuds au cerveaux et de se dire que ces objets fondamentalement non déterministes, il faut mieux être humble et se dire c’est des objets déterministes, mais que l’on est incapable fondamentalement de déterminer.
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De même, en ce qui me concerne, je considère que la superposition d’état d’un même objet cher à cette physique n’est qu’une astuce "comptable" qui n’a peut être rien à voir avec la vrai nature de l’objet. Et étant donné que celle-ci n’est pas observable pour le moment.
Mais tant que les calcules fonctionnent... Pourquoi les changer.