La ministre a beau jeu de dire que l’adjuvant aluminique ne pose pas problème, parce que c’est vrai.
Le véritable problème étant la tolérance à un vaccin en particulier, celui de l’hépatite B. Ce n’est pas l’adjuvant, c’est le vaccin lui même.
Cette histoire d’aluminium a justement été brandie comme un contre-feu, pour ne pas remettre en cause le vaccin lui même.
Bref, une mauvaise approche qui permet justement le grand n’importe quoi pharmaceutique. On se reverra à la nouvelle explosion de SEP ou de MFM en France.