"La genèse de la catégorie de « bobos ».... les revendications liées à la
redistribution sociale, à l’antiracisme, à l’écologie, au féminisme, qui
sont assimilées à celles d’un groupe social urbain privilégié qui se
détourneraient des enjeux contemporains et qui serait « coupé de la
réalité et des difficultés du peuple"
Les bobos représentent la classe moyenne votant à gauche-centre-droite (représentés aujourd’hui par la REM), toujours en première ligne pour défendre les sans-papiers dans les manifs, l’immigration incontrôlée, et les islamistes (essayez de critiquer l’Islam devant un bobo, vous le reconnaîtrez immédiatement, il vous traitera de facho !)
Mais curieusement, le bobo, si prompt à défendre le multiculturalisme et le métissage, ne scolarise pas ses enfants dans les écoles de la "diversité". Il fuit les banlieues : Saint-Denis, La Courneuve, Drancy, Pierrefitte, (première couronne parisienne)..., pour aller s’installer au coeur de Paris, il s’y sentira protégé contre les Arabes et les Noirs, ou dans les villes aux terminus des RER (deuxième couronne), il pourra y retrouver une culture et une population relativement homogène.