Ca m’a rappelé bien des choses cette vidéo.
Un beau-frère et un pote activistes écolos, mais leur jardin c’était la pelouse.
Les ballades en forêt j’étais le seul à récupérer des champignons, de l’ail des ours, et d’autres ingrédients délicieux à bouffer.
A huit ans c’était le coup de main au père, 1200 poireaux c’était suffisant.
Bêcher, rien de tel pour le morale surtout quand il restait 60m dans le dos.
Pour se reposer tout les jours c’était l’herbe pour les lapins.
La terre c’est ou plutôt c’était une normalité.
Maintenant c’est devenu une mode assez théorique.
- Tu aimes les topinembour ?
- Moyennement.
- Pourtant c’est du bio !
- Avant aussi c’était du bio mais de la bouffe pour les cochons.