@lacsap151
Il y a bien longtemps que les " religions monothéistes " ont révélé leurs limites, ne serait-ce que dans le flou énorme et les contradictions autours de l’autorité et de l’origine des " textes sacrés ". Mais les vraies " maudites questions éternelles " ( Dostoïevski) demeurent. " Pourquoi il y a t-il quelque chose plutôt que rien ?". La fameuse " objection ontologique " de Leibniz."
Bien d’accord.
Spinoza disait : « J’entends par Dieu un être absolument infini, c’est-à-dire une substance constituée par une infinité d’attributs dont chacun exprime une essence éternelle et infinie. »
Une infinité d’attributs et donc pourquoi pas ? Un Dieu qui tiendrait compte des lois du hasard et qui s’y plierait volontiers...
Ce qui aboutirait à la situation paradoxale que théisme et athéisme, dans les confins, coïncideraient ensemble et que le langage ne pourrait plus dire quoi que ce soit là-dessus...
Mais on serait très loin là du Dieu des religions monothéistes actuelles.