@Norman Bates
Oui, c’est moi qui ai le Soleil, maintenant. Il y avait une sonnette, sur le comptoir de l’accueil. Je ne me suis pas demandé, en appuyant, si le gérant du motel était en train de prodiguer les soins nocturnes à sa maman. Elle va bien ?
Je me sens en accord avec votre dernier post. Il est évident que la diaspora juive ne présente pas les aspérités que laissent celles des arabo-musulmans.
La difficulté, c’est l’identification du patriote, que vous mentionnez. En somme la majorité silencieuse, qui n’a pas de tropisme, car il est invisibilisé, encore moins identifié (à part avec quelques rares "intellectuels" qui n’ont pas profité du moment GJ, merci à eux, pour se reconnaître et rentrer dans la bataille). Sans cette équerre, nous n’aurons que le tumulte des flots, qui empêchent les patriotes de se comprendre. Et qui empêchent aussi d’aller au bout des examens sur les malignités que portent les diasporas. Elles comprendraient à leur tour où est la part des choses et de leur choix à rendre compte entre les attaches ethnico-religieuses et les nécessités de la France et de sa République (celle du préambule de 1958, pas son imitation actuelle).