Un détail fortement déplaisant (ou message implicite) dans ce petit reportage, c’est le constat du "progrès" qu’induit le port du masque pour la jeune Inès : maintenant qu’elle a le visage à moitié recouvert, elle se fait moins importuner.

Genre voilà la solution : se dissimuler le visage, c’est de ta faute si tu te fait emmerder et non celle des tarés noctambules.

J’imagine que pas mal de ces femmes qui ont leur quotidien pourri avec ce "sentiment d’insécurité" (pour citer un grand avocat qui en fait ou trop, ou pas assez) se montreront plus favorables à un flicage permanent du citoyen, synonyme pour elles de plus de sécurité.