Pour info, Microsoft a racheté LinkedIn le 13 juin 2016, pour un montant de 26,2 milliards de dollars américains soit 23,4 milliards d’euros.

Sous les bienveillantes auspices de tonton Billou, peu de chance d’y trouver encore longtemps quelque scientifique suffisamment intègre pour oser résister à une Pensée Unique qui — après avoir imposé sa norme de globalisation économique à l’ensemble de l’Occident — s’est ensuite telle une pieuvre étendue à y déterminer la bien-pensance victimaire des standards sociétaux et genrés, et pour maintenant imposer sa doxa transhumaniste à l’ensemble des champs scientifiques, et en l’occurrence sanitaires et médicaux.

Je profite de l’occasion pour rendre hommage à cette grande dame qu’est Alexandra Caude-Henrion, ainsi qu’à tous les scientifiques, médecins et soignants — des plus éminents et réputés jusqu’aux plus modestes et inconnus — qui n’ont pas hésité à mettre en jeu leurs carrières et leurs réputations pour défendre tant l’intégrité et l’honneur de la science que de leur profession et du serment d’Hippocrate.

PS : C’est bien gentil d’en appeler à la NUPES, mais en matière d’arnaque covido-vaccinale, même LFI a avalé sans sourciller la couleuvre pour ne pratiquer que le service minimum en matière de résistance à l’arbitraire "vaccinal".

Quant aux Verts, ils semble bien qu’à la seule et très notable exception de Michèle Rivasil, leur souci du principe de précaution s’applique bien en matière d’OGM ou de nucléaire, mais en aucun cas à la santé des Français quand il s’agit de les contraindre dans leur chair à l’expérimentation d’une injection génique !

Et bien inutile de seulement s’interroger sur le conformisme sans faille des $ociali$tes à la doxa de rigueur en Pensée Unique.

Moi, les seuls dans le champ politique que j’ai vraiment vu se lever pour courageusement interroger ou dénoncer la doxa covido-vaccinale et l’arbitraire des mesures liberticides auxquelles elle a ouvert se situaient tous à droite de l’échiquier politique, à commencer par Florian Philippot et, croyez-moi ou non, cela ne laisse pas de m’interroger !