• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile


Commentaire de therasse

sur Christian Perronne : "Aujourd'hui, personne ne connaît réellement la composition du vaccin"


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

therasse 27 octobre 2022 17:10
Le cirque Ukrainien a permis de noyer le pois(s)on covid à un moment stratégique où on commençait à prendre conscience que le vent commençait à tourner, que les effets indésirables vaccinaux devenaient peu à peu ingérables et qu’on évoquait de plus en plus un "Nuremberg" bis à charge de ceux qui avaient interdit toute la panoplie médicamenteuse susceptible de guérir à peu de frais, en ce compris les vitamines D3 et le Zinc préconisés par le Prix Nobel décédé depuis, Luc Montagnier.
Que dire de l’ivermectine qui a chassé le virus d’Inde, du Pakistan, de l’Indonésie et du coeur de l’Afrique où le médicament fut autorisé il y a bien des années (à ma connaisance 2005) afin de mettre à mal l’épidémie d’onchocercose (grave épidémie qui à terme rend aveugle), à l’exception des 5 pays de l’extrême sud qui n’avaient pas cette autorisation.
Aucun des états du coeur de l’Afrique, donc sous les Maghreb et Mashrek (ces deux dernières régions sans autorisation mais où l’ivermectine circula sous le manteau), n’atteignit 100 morts par millon ; au contraire, le Burundi battit tous les records avec 3 morts par million hab seulement.
"Miracle africain" disaient les journaleux. En laïcité on n’invoque pas les miracles messieurs. On s’interroge. On cherche des causalités.
Ce médoc avait une qualité incontestable : il guérissait, détruisant l’ADN du virus en 48h max ; mais un grave défaut pour l’industrie pharmaceutique : son coût (quelques euros seulement).
Sinon à quoi bon encourir un tel risque socio-économique ?


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès