@Conférençovore
Si on se recentre sur Clémentine et son "populo-conspirationnisme", il y a un clivage de fond entre les antis-système (on ne
peut plus le réformer, il faut qu’il tombe, en tout cas qu’on le change) et les
pros-système (on peut l’améliorer). Il y a inévitablement des outrances de part
et d’autre. Clémentine, pro-système, a choisi une cible facile : les
rumeurs, on n’en sait rien sur l’adrénochrome, avec Hanouna, où ses invités
disent à peu près ce qu’ils veulent. A l’époque de Droit de réponse, personne n’accusait
Michel Polac d’être un populo-complotiste et il était, à l’inverse, bon ton de
se dire anti-système.
Moi-même, de fait, je suis un anti-système puisque
j’ai organisé ma résilience et je continue là-dessus.
Concernant le covid, ce sont bien les antis-système
qui ont raison :
- Les injections tous vaccinés tous protégés n’enrayent
pas l’épidémie, voire la relancent en accélérant les mutations, sont toxiques, elles blessent, tuent.
-
Les médecins généralistes ont été interdits de
soigner, et il y a toute une boite à pharmacie disponible, mais cachée ou
interdite : l’ivermectine, l’HCQ, les antibios, le budesonide, les
vitamines, la colchicine, le ravintsara... La liste est longue maintenant. Leurs effets secondaires sont dérisoires, voire
nuls, incomparables avec l’expérimentation contrainte et en direct sur la population mondiale
de brins d’instructions génétiques, avec les saletés annexes qui les
accompagnent.
-
Les médias sont sous contrôle, la sphère encore
libre, via Internet, est constamment combattue par des moyens divers de
censure.
-
Le virus n’est pas d’origine naturelle.
-
Il y a une oligarchie mondiale qui prend ses
décisions politiques et sociétales et les chefs d’Etats sont fortement contraints à son agenda qui se fiche
de l’avis des habitants.
Après, c’est sûr, on peut facilement trouver des
outrances, agiter des chiffons rouges faits pour que les gens se battent entre
eux et empêcher de mettre sur la table les questions de fond.