Dans ses colonies, la France a construit 220 hôpitaux
dans lesquels soins et médicaments étaient gratuits, 50 000
kilomètres de routes bitumées, 18 000 kilomètres de voies ferrées,
63 ports, 196 aérodromes, des centaines de barrages, de ponts, de
centrales électriques, des milliers d’écoles (obligatoire pour
les garçons et les filles), de dispensaires, de maternités, de
conduites d’eau, de fermes modèles, de bâtiments divers, etc.
Cette entreprise titanesque fut intégralement
payée par les impôts et l’épargne des Français. Elle coûta à
la France 22 % de toutes ses dépenses sur fonds publics.
Entre
1946 et 1956, alors que la décolonisation était en marche, l’Etat
français dépensa encore, pour la seule construction
d’infrastructures coloniales, l’équivalent de 30,29 milliards
d’euros supplémentaires( qui correspondrait à 1000Mds
actuel).
Quant à l’Algérie, de 1950 à 1960, elle engloutit à
elle seule 20 % du budget de l’Etat Français. Des sommes
colossales qui auraient pu être utilisées à moderniser la
métropole.
Et l’on ose nous parler de « pillage colonial »
en « réparation » duquel, dans une volonté d’expiation de «
crimes » imaginaires, les Français sont aujourd’hui sommés, non
seulement d’accepter, mais plus encore, d’intégrer une
déferlante migratoire qui, selon la formule parlante d’Edouard
Herriot, a fait de la France la « colonie de ses colonies ».
Remettre à l’endroit l’histoire de la
colonisation était donc une nécessité afin de donner aux
résistants de la pensée les arguments qui leur permettront de
combattre l’entreprise de déconstruction historique à laquelle se
livrent des groupes de pression aux méthodes totalitaires. Et ne pas
oublier qu’à la sortie de la guerre, l’allemagne n’aura payée que
6% de sa dette à la FRANCE et qu’une lois voté en 1970 (après le
décés de DE GAULE) qui oblige de payer toutes les importations en
dollards, sous peine d’embargo voir « tapis de bombes » !!! il faut
40 ans en moyenne pour voir apparaître le debut des problèmes
financiers...