Totalement surréaliste, ce déchaînement médiatique contre Didier Raoult est un foutage de gueule monumental !

Une tribune de médecins à la solde du gouvernement dans le journal Le Monde, amplifiée par tous les média de masse, accuse Didier Raoult d’avoir mené une expérimentation « à la sauvage » avec l’hydroxychloroquine sur des malades du covid-19.
Pour rappel, l’hydroxychloroquine est utilisée avec succès dans les prescriptions médicales depuis plusieurs décennies contre diverses maladies, et son efficacité à traiter les malades du covid-19 a été prouvée par des tests cliniques dans les plus grands laboratoires du Monde, comme en Chine, France, Arabie Saoudie, Iran, Italie, Inde, à New-York, dans le nord de l’état de New-York, dans le Michigan et au Brésil, ce qui a permis de soigner des millions de malades du covid-19, en particulier en Asie et aux USA. L’hydroxychloroquine est un des principaux médicament prescrit dans le guide de l’Association of American Physicians and Surgeons (AAPS), un des documents les plus téléchargés au Monde pour traiter le covid-19.
Comble du cynisme, en France l’hydroxychloroquine est toujours classée depuis le 13 janvier 2020, deux mois donc avant la début de la pandémie, comme « substance vénéneuse sous toutes ses formes », alors qu’elle est massivement utilisée en Afrique contre le paludisme !

Ce qui est vraiment machiavélique, c’est l’inversion accusatoire déployée par le gouvernement pour cacher ses échecs et détourner l’attention.
C’est bien le gouvernement Macron qui a mené « le plus grand essai thérapeutique sauvage connu à ce jour » avec un vaccin expérimental obligatoire sans aucune véritable preuve de son efficacité.
Un vaccin, tout comme n’importe quel médicament mit sur la marché, n’est pas un bonbon, il ne peut pas être prescrit à n’importe qui n’importe comment, il faut des décennies avant qu’il puisse être homologué, et analyser ses effets secondaires. Le gouvernement Macron n’en n’a pas tenu rigueur.
Ce qui a entraîné des dizaines de milliers d’effets secondaires graves et des milliers de morts en France, largement passés sous silence par les média à la solde du gouvernement. On ne commence qu’à évoquer difficilement, de ci, de là, les effets secondaires à la télévision publique.