Tout ce qui a été dit par cette noble femme au discours cohérent et circonstancié est exact et conforme à la réalité des faits sociaux et politiques dans la France qui n’a jamais cessé d’être habitée et enrobée par l’instinct colonialiste et dominateur. 

Ledit Maurice est une racaille abjecte aux propos infâmes qui parle de choses qu’il ne connaît pas lui-même et qui lui sont étrangères. Il est évident que les habitants des quartiers huppés et embourgeoisés n’iront jamais poser un seul pied dans les banlieues paupérisées, déclassées et désolées.

En banlieue, tout est cher et hors de prix. Les loyers et charges des logements insalubres montés en cages à poules dépassent en moyenne pour un F3 le niveau en montant de la moitié d’un SMIC. L’assurance multirisque habitation est plus cher de 400 % par rapport à un logement équivalent provinciale. Le coût assumé par les banlieusards dans le cadre de leurs déplacements habituels dans les transports publics est plus onéreux que celui des habitants parisiens.

Les services publics sont fonctionnellement très dégradés et les usagers y sont traités tels des moins que rien. Pour avoir un rendez-vous avec un agent public, ils doivent passer par un tiers et verser la dime, à défaut de laquelle les usagers buteront sur le dysfonctionnement des prises de rendez-vous numériques. Rien ne marche droit et dans le sens du corps et de l’esprit. Tout va à vau-l’eau en France macroniste. Mais que les français se rassurent. ils seront tout aussi bien traités que les palestiniens ou les indigènes colonisés de naguère. 

L’image de la France n’a jamais été aussi vile et inquiétante depuis Hollande et Macron. Les trois derniers Présidents de la république française ressemblent à la France et aux français d’aujourd’hui dont ils incarnent l’esprit et les valeurs morales progressistes et décadentes.

Prétentieux, arrogant, fourbe et menteur, l’homme occidental est déjà dépassé et sa rétrogradation dans le cycle des civilisations en humanité suit l’exact chemin de son inclination à la turpitude et au déshonneur.