@Jean Ducoin
il n’y a pas d’individualisation de
particule là dedans, seulement une vibration identique, et superposée dans un
même niveau énergétique atomique (couche électronique), mais expulsées de ce
qu’on désigne comme atome, les particules/vibrations, restent liées jusqu’à
entrer en interactions avec d’autres énergies, structures vibrantes …
Oui, vous avez raison. J’ai
écrit pourtant il y a quelques messages qu’il faut penser les particules élémentaires
comme des ondes, plutôt que comme… des particules, justement. Il faudrait
changer de mot en cas, ce sont des nœuds de gravité qui ont condensé une très
importante énergie, la "matière" étant, au mieux et tout au plus, "flottante". Mais ça
ne m’a pas suffit. Alors je me le vous remets Tesla : Si vous voulez trouver les secrets de l’univers, pensez en termes
d’énergie, de fréquence, d’information et de vibration.
C’est sûr que si un électron
fait 2000 km à la seconde, ça va être difficile de photographier l’endroit où
il est. Ça peut faire le tour de la terre en 20 secondes (1/13ème de
seconde pour le photon)... D’ailleurs, sur les impressions photographiques du
CERN, quand il y a eu collisions de particules, on voit des tracés, qui font
des boucles (le choc), pas des "objets".
On devrait représenter les
électrons sous forme de tracés, d’ailleurs, avec extrémités en pointe, ou
dégradées, éventuellement une vague nodosité vers la tête, pour montrer que ça
passe dedans. Et encore, je parle d’électron libre, autour de nucléons, il
faudrait faire un nuage pour dessiner l’électron. Et ce tracé imprime une
déformation de l’espace/temps.
Donc oui, on pourrait
comparer à des cordes d’une guitare, des tracés d’électrons qui vibrent entre
eux quand ils se croisent, lesdites vibrations qui "chatouillent" instantanément les électrons eux même durant leurs tracés, même à grande
distance, agissant sur leur spin, ou leur polarité. (Est-ce que je suis en
train d’expliquer la théorie des cordes ?).
Avec des appareils, on peut
relever les spectres dégagés par des humains selon leurs états d’humeurs et de
pensées. Sur les plantes aussi, on peut mesurer leur stress à leurs spectres. Il
n’y a pas longtemps, j’ai croisé une jeune femme chez Amma, au Kerala. J’ai fait un mouvement de recul tellement elle rayonnait de santé mentale et même
complète. On a taillé la bavette et rediscuté le lendemain, ma compagne avait
relevé que je ne savais pas où me mettre quand j’étais devant elle, c’était
chiant…