@Jean Ducoin et yoananda, par la même occasion
Je voudrais
continuer sur cette histoire de cordes. Cela ne m’intéresse pas en
tant qu’équations, je ne suis pas matheux, mais en tant qu’expérience de
pensée. Je sais que nous sommes limités
en capacités de penser l’Univers, mais que l’on peut quand même repousser un
peu son horizon conceptuel pour faire évoluer son paradigme.
Pour réenvisager le mot "cordes" que j’avais commencé avec la guitare, je
vais essayer avec des tracés (ou traces) laissés dans la neige vierge. Donc le skieur
est l’électron et la neige est l’espace/temps. Sauf que la neige est inerte,
alors que l’espace/temps est mouvant et morphique. Donc si on reste aux
électrons libres, dans biosphère (sous terre, c’est un peu plus encombré de
matière capturante), ils laissent un tracé persistant, mouvant et vibratoire comme la cloche qu’on a tapé ou la corde du guitare qu’on a pincé.
Donc :
1 Un électron A qui franchit le tracé d’un autre
B qui vient juste de passer réagit-il à la vibration persistante du tracé
B ? (changement de spin, de polarité, voire d’orientation par déformation
du tracé, autre événement).
2 Tout en faisant réagir l’électron B encore dans
le tracé à cause de la nouvelle vibration causée ?
3 Peut-on dire que cet événement là est une
intrication quantique qui se produit entre les électrons A et B ?
4 Quand on parle de théorie des cordes :
est-ce que le mot "corde" fait allusion au tracé encore vibrant
d’un électron ?
(J’essaie d’éclaircir avec des questions, tout en
sachant qu’elles peuvent être maladroites…).