Déjà,
en mécanique quantique, il n’y a pas d’observation directe possible.
Tout appareil de mesure utilisable par un humain étant constitué
d’atome, on ne mesure pas un atome à partir d’un amas d’atomes.
Il
n’y a que des mesures indirectes, des observations d’irrégularités,
mais aussi d’anomalies par rapport à la théorie précédente, d’où
on a déduit les théories suivantes, réutilisables, la fonction
d’onde de Schrödinger trônant en plein milieu.
La
vibration, c’est une répétition de la longueur d’onde pour autant
que le champ est libre. Une harmonique, est une superposition d’ondes
de différentes longueurs d’onde. Tout ça est décomposable en ondes élémentaires.
On peut
déterminer des longueurs minimums au niveau atomique, celles-ci
seront d’une (1) ondulation (cycle) complète. On a donc des distances déduites, mesurées en angströms, et par là aussi, une distance minimum pour loger la
fonction d’onde, de longueur où l’existence de l’atome minimum,
atome d’hydrogène contracté au maximum, est possible. Plus petit il
n’y a plus d’atome et on est passé aux neutrons, comme dans une
étoile à neutrons.
Désolé,
j’ai oublié le nom de cette distance minimum.
Pour la taille de corpuscule inférieur, c’est envisageable, mais inconnu, dans la mesure où toute particule n’est pas encore identifiée, pas même sous sa forme matérielle.
Donc,
c’est pas la peine d’essayer de faire des analogies plus ou moins sympa, avec quoique ce soit vu dans la nature. Je ne sais pas si
la topologie des atomes existe. Intuitivement, on dessinerait un
modèle d’atome sphérique, parce que de meilleur symétrie dans
notre représentation logique liée à la gravité, mais ceci est
probablement faux, puisqu’on est peut-être déjà dans le sans-forme
à ce niveau là.
Toutes
les descriptions sont indirectes, et on s’appuie sur les équations
fonctionnelles. Les représentations sont seulement là pour faire
plus de sens pour notre esprit, habitué à conceptualiser dans le
monde macroscopique.
Je
ne cherche pas à répondre à tous vos points, Tchaktchak, Yoananda
ayant déjà balayé l’espace. Son point d’entré est plutôt
matérialiste, j’arrive plutôt de l’autre côté, puisque je place
la conscience avant la matière, et non pas issue de la matière. Ce
n’est pas un désaccord réel, et pour parler de physique quantique,
le plus convainquant est de passer par un point de vu matérialiste,
puisqu’on peut s’appuyer sur du vocabulaire, des expériences
renouvelables, un début de théorie déjà défrichée et admise.