Il est un vieux dicton colonial français, que pourtant le "nostalgérique" et lèche babouches chérifiennes B Lugan ne citera jamais : « Le tunisien est un danseur, le marocain un berger et l’algérien un guerrier »

La plus fatale erreur des suprémacistes français, est d’avoir cru effacer leur dette auprès de la régence d’Alger, en venant chier dans les bottes des descendants des fiers guerriers numides et hilaliens qui, bien que défait après 17 ans de combats acharnés contre les troupes coloniales, région après région et révolte après révolte, n’ont jamais foutu la paix aux coloniaux en 132 ans d’occupation et de massacres, jusqu’à les chasser définitivement de leur terre ancestrale !

C’est dire la combativité, la capacité de résistance et de résilience des algériens, que lesdits colonialistes n’ont jamais réussi a briser, ni même a comprendre et dont ils ne s’en sont jamais remis à ce jour.

Le Peuple constituant la nation algérienne est pour l’Afrique, le monde arabe et au delà, ce que l’ex nation française n’est plus pour les peuples en souffrance : Une référence et un espoir.

Très jaloux de sa souveraineté, jeune historiquement(*) et démographiquement, passionné, têtu mais intolérant à l’injustice, fier et entièrement tourné vers son avenir, qu’il sait prometteur car riche d’atouts, sans oublier son fabuleux mais aussi douloureux passé, sachant qu’un Peuple ignorant son Histoire et son identité, ne sait pas qui il est ni où il va.

L’Algérie est quasi naturellement appelée a devenir un leader socio-politico-économique de la nouvelle Afrique, elle l’est déjà diplomatiquement, alors bonne chance a tous ceux projetant de barrer la route, ou même de chercher a freiner la marche du farouche et ombrageux tempérament algérien. . .

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(*) Quoique Cirta, l’actuelle Constantine, une des plus antiques villes du monde d’après l’UNESCO, est presque aussi ancienne que Phocée, actuelle Marseille, la plus vieille cité de ce qui deviendra, des siècles plus tard, un royaume fondé par une coalition de tribus de barbares germains, lui ayant donné leur nom et dont, bon sang ne saurait mentir, les descendants se sont comportés en Afrique et ailleurs comme leurs ancêtres !