@herve_hum
Plus
précisément, jamais Pfizer n’a vérifié si le vaccin bloquait ou non la contamination.
Une cadre de direction de Pfizer l’a reconnu publiquement (Janine
Small). Ceux qui se sont réellement informés, sans se faire envoûter, l’ont très
bien su dès le début. Moi-même, je le savais dès le 3 avril 2020 puisque j’ai édité un article dessus.
La Haute
Autorité de la Santé l’avait recommandé le 28 juillet 2020 : Pour que la stratégie
vaccinale vise le contrôle de l’épidémie, il est nécessaire d’attendre que
les études établissent la
preuve que les vaccins ont une efficacité possible sur la transmission du virus et
que la disponibilité des vaccins soit suffisante".
Ce texte a disparu du site, remplacé par une édition au 30 novembre 2020 qui a fait disparaître cette préconisation. la HAS savait donc aussi, a fait semblant de ne pas comprendre en faisant disparaître une source qui était la sienne.
Véran était
parfaitement conscient de ses mensonges criminels répétés avec son lobbying
pro-injections.
Il y a le
vaccin neutralisant, qui bloque la contamination, ce qui est le cas de ceux contre la poliomyélite, la variole, la rougeole, les
oreillons, la rubéole. Et il y a le « leaky vaccine », ou
vaccin qui fuit, tels ceux que l’on a créés plus récemment : contre la
coqueluche, le paludisme, la malaria, le SIDA, et la grippe. De même que
les vaxxins Pfizer (c’est pire que ça, mais laissons, ici). Or le leaky vaccine
suscite au contraire des souches de plus en plus résistantes, ou bien évitantes, qui prolongent une épidémie.
https://www.agoravox.tv/actualites/sante/article/le-pdg-de-pfizer-a-annonce-la-89096