Ce n’est pas un problème de dialogue mais d’acceptation des faits miraculeux car l’Eglise n’est pas une institution mais le corps mystique du Christ.

Lorsque l’université dit que l’homme descend du cœlacanthe, tout le monde s’en fiche. Lorsque le cœlacanthe est retrouvé tranquille peinard au fond de l’océan, tout le monde s’en fiche également car tout cela est une usine à salades pour que les pouvoirs humains puissent se faire reluire.

Dans l’Eglise, lorsque ça ment, des saints font des rappels à l’ordre et revive la passion du Christ (thaumaturge) comme l’indique le vrai troisième secret de Fatima.

Le Messie est par exemple Dieu qui vient remettre Israël sur le bon chemin et ceux qui se disent Juifs sont justement les descendants des tièdes, aucunement maudits puisque Dieu pardonne sur la croix, sauf les comploteurs coupables du péché contre l’Esprit qui demande une repentance comme Saint Paul.

C’est ce que je vous ai enseigné dans l’Evangile, c’est ce que le grand Saint Paul, l’ami fraternel de notre Evêque, dit également dans ses épîtres. Saint Pierre et Saint Paul étaient deux hommes bourrus, mais forts, courageux, sincères qui se sont battus contre tous pour me faire connaître et aimer, moi Jésus Christ. Votre Evêque le fait aussi ; il lutte, se bat et s’il voit que quelque chose ne va pas, il le dit et ne l’envoie pas dire. L’Evangile enseigne que lorsque quelqu’un se trompe, même si c’est un supérieur, même si c’est le Pape, il faut le reprendre. Si les supérieurs ne font pas leur devoir, ils ne sont rien en face de Dieu et doivent être repris.

septembre 2003

Avant de dialoguer, il faut se mettre d’accord sur les faits et, pour cela, l’Eglise doit montrer l’exemple et balayer devant sa porte car elle a exclu ou ignoré d’importants Saints des derniers temps.