@ezechiel
C’est leur choix.
ben voyons. Le gus se lève un matin et se dit "tiens, qu’est-ce que je pourrais faire aujourd’hui ? un petit meurtre ? ha ouai tiens, bonne idée ça ... ça va faire passer le temps, faut bien tuer le temps de toute manière".
Le gus choisis d’être un meurtrier en série ... qu’est-ce qu’il faut pas entendre.
Au fait, et si le gus est NORMAL et qu’il subit une lésion cérébrale et qu’il se transforme en tueur ?
la, il est passe quoi ?
parce que oui, des situations de ce type ont été recensées ...
mais bon, on va dire qu’ils ont choisis d’avoir un accident :
ChatGPT à la rescousse :
L’un des cas les plus célèbres est celui de Phineas Gage, un ouvrier de
chemin de fer du 19e siècle aux États-Unis. Gage a survécu à une grave
lésion cérébrale frontale à la suite d’un accident de travail au cours
duquel une tige de fer a traversé son crâne. Après l’accident, Gage a
connu des changements notables dans son comportement, devenant impulsif,
agressif et socialement inapproprié. Bien que cela ne l’ait pas
transformé en meurtrier, son cas a été largement étudié en psychologie
et en neurologie pour comprendre la relation entre le cerveau et le
comportement.
Il existe des cas documentés où des personnes sont devenues criminelles
après avoir subi des lésions cérébrales. Un cas notable est celui de
Charles Whitman, qui a commis un acte criminel majeur. Lors de son
autopsie, une tumeur a été trouvée dans son cerveau, bien que les
médecins ne puissent affirmer avec certitude qu’elle ait causé son
comportement. Cette situation a suscité un intérêt scientifique
considérable pour comprendre le lien entre les lésions cérébrales et le
comportement criminel. Ryan Darby, un professeur de neurologie, a étudié
17 cas similaires où des personnes ayant eu des comportements normaux
ont commencé à commettre des crimes après avoir subi des changements
dans leur cerveau, comme une tumeur ou une blessure. Cette recherche a
montré que, même si les lésions cérébrales étaient dans différentes
parties du cerveau, elles étaient toutes connectées au même réseau
cérébral, impliquant des zones liées à la moralité, à la prise de
décision, à la récompense et à la punition
.
De plus, il a été constaté que les personnes ayant subi des lésions cérébrales traumatiques (TBI) sont plus susceptibles de commettre des crimes. Une étude menée par l’Université de Denver a révélé que 96 % de la population à haut risque d’une prison avaient vécu un TBI. Ces blessures peuvent entraîner des problèmes cognitifs, émotionnels et comportementaux qui influencent négativement la gestion des prisons et la sécurité des détenus. Les études ont également établi un lien entre le TBI et des conditions secondaires telles que l’abus de substances, affectant le comportement des prisonniers pendant leur incarcération et leur réintégration réussie dans la société après leur libération.