@yoananda2 Les médecins sont des hommes comme les autres (hélas pourrait on dire). En Médecine on passe son temps à se tromper, MAIS ce n’est pas le VRAI problème. Il y a en effet plusieurs raison pour se tromper, les compréhensibles et admissibles et celles totalement inadmissibles que ce soit par pure bétise, vraie incompétence, vraie malhonnêtetée intellectuelle dont le refus de remettre en cause par entêtement ou dogmatiquement ou pour se soumettre à des ordres ou des pressions quelconques, son premier diagnostic ou son premier traitement. Pour cette raison il est fondamental que le Médecin garde son libre arbitre maintienne à jour ses connaissances, puisse proposer au patient le meilleur ou le moins mauvais de ce qu’il sait. 
La Médecine scientifique s’appuie sur la connaissance profonde de l’anatomie de la physiologie et de la physiopathologie toutes connaissances qui évoluent et fondamentalement sur D’ABORD UN BON DIAGNOSTIC, qui repose uniquement sur la qualité du soignant d’où va découler un bon traitement s’il existe.
EN SON ABSENCE par impossibilité on peut proposer une nouvelle solution non vraiment validée ou on peut se résoudre au pire et seulement au pire à une solution purement compassionnelle,
La MEDECINE est SEULEMENT l’ART de RECULER LA MORT en respectant jusqu’au bout la dignité du patient et sa volonté tant qu’il peut l’exprimer.
CAR LA LOI sur la NON ASSISTANCE d’une personne en danger s’impose dans tous les cas au soignant.
POUR UN VRAI MEDECIN AU SEUL SERVICE DE SON PATIENT et non un médecin nazi qui tuait un enfant malformé par ce qu’il était inutile pour Hitler
il n’est pas question de Trier entre jeune et vieux, entre ceux qui ont leur chance et ceux qui ne l’ont pas COMME cela peut s’imposer ou être imposé EN MEDECINE DE GUERRE ou DE CATASTROPHE.
L’Emploi massif du Rivotril et du Midazolam a été une honte nationale ! Comme l’interdiction d’utilisation de médicaments sans aucun risque vérifié à doses connues sur des milliards d’individus depuis 50ans pour imposer des moyens nouveaux préventifs ou thérapeutiques potentiellement dangereux et absolument sans aucune très longue étude validante d’habitude exigée pour ces produits, le tout dans un contexte politico financier particulièrement scandaleux.

Quand une personne s’étouffe et va mourir dans les 3mn vous n’allez pas ergoter sur une méthode validée ou non en double aveugle. Vous faites au mieux selon les connaissances du moment : Par exemple en 50ans les conseils sur les gestes dits salvateurs ont très évolué, selon que l’on considère la ventilation les battements cardiaques et au final que l’on admette que du sang doit impérativement en extrème urgence continuer à alimenter le cerveau