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Commentaire de Norman Bates

sur Un pas de plus... et on y est !


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Norman Bates Norman Bates 19 février 20:54

Sauf erreur de ma part c’est Mitterrand qui parlait d’une "logique de guerre" avant le déclenchement des opérations au Koweït lors de la première guerre du Golfe...(pour les ignorants, aucun rapport avec une citadine de Volkswagen...)

Saddam faisait des siennes et il y avait des barils de pétrole à sauver...

Aujourd’hui "nous" sommes assis sur une poudrière avec une "logique de guerre" tout autant manifeste...tous les ingrédients sont là pour que ça pète avec un périmètre d’hostilités qui ne demande qu’à s’étendre...et des belligérants qui ne vont pas se limiter à propulser des gros cailloux par des catapultes...

Certains parlent "d’économie de guerre" pendant que d’autres rêvent d’envoyer "nos soldats" au front...ceux qui manient les bidons d’huile à jeter sur le feu n’ont plus une seconde pour prôner l’accalmie, le rituel de la table ronde, le "nouveau Churchill" Zelensky a même fait voter une loi qui interdit à tout ukrainien de négocier la paix avec l’ennemi russe...

Nono le Maire le dilaté fait la gueule pour quelques pièces jaunes à l’adresse de nos agriculteurs pendant que MacRoth carbonise la carte bleue pour son ami Volodymyr...dans la maison Rothschild on a toujours su se sucrer sur la bête, quitte à faire des affaires avec les deux parties impliquées dans un même conflit...parfois, il n’y a pas que les atomes qui sont crochus...

Plus haut je disais "nous" car il y a un territoire qui ne sera pas directement "arrosé" si d’aventure ça pète, un territoire pourtant aux premières "loges" des événements et qui a toujours su se tenir à l’écart des déflagrations dont il est à l’origine...

"Go home !" scandent les résistants réduits au silence pendant que tous les collabos se couchent sans condition dans la fange la plus nauséabonde de l’avilissement, de la soumission par crainte de perdre les illusoires bénéfices du temps présent...

L’Histoire bégaye...elle est enseignée de telle manière que nul ne peut en prendre conscience, l’assassin revient sur les lieux du crime pour réécrire le modus operandi qui pourra servir une autre fois...

Il reste les sursauts, les rebondissements inattendus de l’Histoire, cher lapinou, nous y contribuons tous avec nos moyens, nos audiences...même ceux qui sont fortement visibilisés peuvent avoir des coups de mou, des moments de résignation parce qu’il faut écoper un océan avec une cuillère percée...

Mais rien n’est jamais perdu...gardons la foi... smiley


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