Avec 150000 hommes sur un front de 1000kms et 3 axes d’attaque Kiev en tant qu’objectif militaire principal n’était pas possible. mais par contre un objectif de diversion qui a marché et politique plausible et effectivement réalisable puisque malgré les déconvenues russes liées à ses services de Renseignement déficients , Zelinsky a quasi immédiatement accepté d’entreprendre des négociations avec la Russie, confirmées par les Turcs et les Israéliens. Le retrait des troupes russes autour de Kiev allaient dans le sens de ce règlement négocié. Par ailleurs les objectifs principaux de libération du Dombass de la forte concentration de troupes ukriniennes étaient rapidement atteints. L’intervention de Boris Johnson et l’assassinat d’un des négociateurs ukrainien jugé trop pro russe, a changé complètement les données du conflit qui désormais allait opposer la Russie à l’OTAN. (cf déclaration de Lavrov "nos objectifs ont changé !"). Le replis stratégique des forces russes trop avancées dans ce nouveau contexte, le long des lignes Surovikine était militairement dès lors d’une très grande logique jusqu’à ce que le complexe militaro industriel Russe soit lancé à fond et que les troupes nécessaires soient réunies et bien entrainées, pendant que les troupes otano kiéviennes s’épuisaient très bêtement sur les lignes Surovikine d’attentes et que de militairement très absurdes actions pour la gloire consommaient les meilleurs unités ukrainiennes.On se demande si Zelinsky et surtout ceux qui lui donnaient des ordres ont jamais un jour ouvert un livre sur l’Art Militaire.