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Toute l’Histoire - 4 grands maîtres de la peinture : Léonard de Vinci, Delacroix, Van Gogh et Monet

Cette série documentaire revient sur le parcours d'artistes majeurs ayant traversé le temps grâce à leurs toiles. Des œuvres qui ont fait leur renommée et sont à l'origine de courants artistiques modernes ayant révolutionné l’histoire de l’art et qui demeurent, aujourd’hui encore, des sujets d’études fascinants. Cette série documentaire revient sur le parcours de ces artistes d’exception. (via la chaîne Toute L'Histoire)

 

Les quatres grands maîtres de la peinture réunis ici sont Léonard de Vinci, Eugène Delacroix, Vincent Van Gogh et Claude Monet

 

 

1) Les grands maîtres de la peinture : Léonard de Vinci (Toute L'Histoire, ajoutée le 2 juillet 2017 )

 

 

Peintre, architecte, médecin, inventeur en avance sur son époque, Léonard De Vinci continue aujourd'hui encore de nous fasciner. Perçu comme un être supérieur, un personnage intimidant, visionnaire et complexe, il était pourtant bien plus vulnérable que l'on pourrait s'y attendre. Mort relativement jeune, rempli d'amertume et de mélancolie, incapable de trouver un quelconque intérêt dans le monde et ses passions, il demeure l'un des esprits les plus extraordinaires de tous les temps. Pourtant, l'homme derrière le masque saturnien était en proie à l'inquiétude et aux doutes constants...

 

Wikipédia : 

 

Léonard de Vinci (Leonardo di ser Piero da Vinci, dit Leonardo da Vinci), né à Vinci (Toscane) le  et mort à Amboise (Touraine) le , est un peintre florentin et un homme d'esprit universel, à la fois artiste, organisateur de spectacles et de fêtes, scientifiqueingénieurinventeuranatomistepeintresculpteurarchitecteurbanistebotanistemusicienpoètephilosophe et écrivain.

 

Après son enfance à Vinci, Léonard est élève auprès du célèbre peintre et sculpteur florentin Andrea del Verrocchio. Ses premiers travaux importants sont réalisés au service du duc Ludovic Sforza à Milan. Il œuvre ensuite à RomeBologne et Venise et passe les dernières années de sa vie en France, à l'invitation du roi François Ier.

 

 

Woozix : 

 

Léonard de Vinci / Dans la tête d'un génie (2015, 1:28:34, ajoutée le 11 mai 2017)

 

 

 

2) Les grands maîtres de la peinture : Delacroix (Toute L'Histoire, ajoutée le 9 juillet 2017)

 

 

Peintre français, Eugène Delacroix est une figure majeure du romantisme en peinture. Bien que trouvant des appuis auprès de la presse, des revues d'art et de certains critiques de l'époque (Théophile Gautier ou Charles Baudelaire), son génie ne sera que tardivement reconnu par les milieux officiels de la peinture. Il ne triomphera qu'en 1855 à l'Exposition Universelle où il devient celui qui a su dépasser la formation classique pour renouveler la peinture. Il ne sera élu à l'Institut de France que le 10 janvier 1857 au siège de Paul Delaroche, après sept candidatures infructueuses, Ingres s'opposant toujours à son élection.

 

 

Wikipédia : 

 

Eugène Delacroix est un peintre français né en 1798 à Charenton-Saint-Maurice et mort en 1863 à Paris. Remarqué au Salon en 1824, il produit dans les années suivantes des œuvres s'inspirant d'anecdotes historiques ou littéraires aussi bien que d'événements contemporains ou d'un voyage au Maghreb. À quarante ans, sa réputation est suffisamment établie pour recevoir d'importantes commandes de l'État.

 

Dans la peinture française du XIXe siècle, Delacroix est considéré comme le principal représentant du romantisme, dont la vigueur correspond à l'étendue de sa carrière. Il a peint sur toile et décoré les murs et plafonds de monuments publics. Il laisse en outre des gravures et lithographies, plusieurs articles écrits pour des revues et un Journal publié peu après sa mort et plusieurs fois réédité.

 

 

Visites privées :

 

La liberté guidant le peuple - Reportage - Visites privées (16:35, ajoutée le 14 octobre 2016

 

 

La liberté guidant le peuple d'Eugène Delacroix, n'est pas un simple tableau. Cette huile sur toile est devenue une véritable icône qui représente la liberté.

 

 

3) Les grands maîtres de la peinture : Van Gogh (Toute L'Histoire, ajoutée le 25 juin 2017)

 

 

En dix ans, Vincent Van Gogh a créé une oeuvre considérable, chargée de naturalisme, inspirée par l'impressionnisme, qui annonce l'expressionnisme.

 

 

Wikipédia :

 

Vincent Willem van Gogh, né le  à Groot-Zundert (Pays-Bas) et mort le à Auvers-sur-Oise (France), est un peintre et dessinateur néerlandais. Son œuvre pleine de naturalisme, inspirée par l'impressionnisme et le pointillisme, annonce le fauvisme et l'expressionnisme.

 

 

Rien ne veut rien dire : 

 

Une Vie, une œuvre : Vincent Van Gogh (1853-1890) (1:27:19. Par Simone Douek et Nathalie Triandafyllidès. Émission diffusée pour la première fois sur France Culture le 06.02.2005. Ajoutée le 8 avril 2017)

 

 

 

4) Les grands maîtres de la peinture : Claude Monet (Toute L'Histoire, ajoutée le 9 juillet 2017)

 

 

Monet est reconnu comme étant l'un des créateurs de l'impressionnisme, le chef de file du mouvement, le plus convaincu et le plus constant de ses membres. Il excelle d'abord comme caricaturiste, puis à 18 ans, rencontre son mentor : le peintre Eugène Boudin, qui l'incite à peindre à l'extérieur. Les critiques saluent ses débuts au Salon de 1865 mais les expositions universelles et salons suivants refuseront systématiquement ses œuvres. En 1890, il achète sa maison de Giverny où il passera près de quarante-trois ans, réalisant certaines de ses œuvres les plus célèbres et la fameuse série des Nénuphars. Il perdra progressivement la vue, mais ne cessera jamais de peindre.

 

 

Wikipédia :

 

Claude Monet, né le  à Paris et mort le  (à 86 ans) à Giverny, est un peintre français et l’un des fondateurs de l'impressionnisme.

 

 

Secrets d'Histoire Officiel : 

 

Secrets d'histoire - Claude Monet : jardins secrets à Giverny (intégrale, 1:39:28, ajoutée le 17 janvier 2017)

 

 

Tags : Histoire Peinture Art Culture




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32 réactions à cet article    


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    mat-hac matthius 22 juillet 2017 18:50

    Van Gogh et Monet peuvent facilement être imités par des filtres de floutage de photos sur GIMP.


    • vote
      Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 22 juillet 2017 20:53

      @matthius
      "Van Gogh et Monet peuvent facilement être imités par des filtres de floutage de photos sur GIMP."

      Léonard de Vinci et Delacroix aussi peuvent être imités par de la photographie... et même sans filtre. Tous les peintres figuratifs de toutes les époques peuvent être imités par la photo (et les peintres abstraits par des logiciels appropriés). Voici par exemple de la photographie imitant la manière flamande :

      http://www.meltingmag.com/star-wars-et-les-super-heros-la-maniere-des-peintres-flamands/

      Il y a aussi des peintres qu’il est encore plus facile d’imiter avec des enfants : 

      http://www.atelier-enna.com/2014/09/a-la-maniere-de-gerhard-richter.html

      En fait, une fois qu’un chose existe, qu’elle est devenue très connue, il n’est pas trop difficile de l’imiter. Le mérite que l’on reconnaît à l’artiste vient précisément du fait que lui ne n’est pas limité à imiter. Et c’est justement pour sa créativité et son originalité qu’on cherche ensuite à l’imiter, lui (ce qui est toujours possible... dans une certaine mesure seulement... mais méfiez-vous des imitations).   smiley



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      Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 22 juillet 2017 21:11

      "Votre portrait - ou celui de votre hamster - comme s’il avait été peint par Van Gogh. Rien que ça. C’est ce que propose Prisma, une application lancée il y a tout juste un mois en Russie et qui se classe déjà parmi les plus téléchargées sur l’App Store du pays. Grâce à une vingtaine de filtres, n’importe quelle photo peut se transformer en peinture, façon Picasso, Lichtenstein ou Chagall."


    • vote
      Miona Miona 23 juillet 2017 21:54

      @matthius
       "L’imitation a ses limites" (citation de l’inimitable imitateur Lee Mythe)


    • vote
      Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 24 juillet 2017 00:40

      @pegase
      "Imitez voir Gustave Courbet, "l’origine du monde""

      Il y en a des dizaines de milliers d’imitations photographiques sur Internet, choisissez votre style, avec ou sans poils, couleur de peau au choix, formes des lèvres, etc. 


    • vote
      Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 24 juillet 2017 00:41

      Il y a du boulot pour restaurer Courbet, ses peintures noircissent terriblement. 


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      Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 25 juillet 2017 00:40

      @pegase
      "Comment vous savez ça ? c’était effectivement le cas, il était tout noirci, vous êtes un spécialiste ?" 

      Simple culture générale. C’est souvent à cause de l’emploi de pigments très problématiques à cette époque. Chez Courbet, le noircissement est très visible, c’est une catastrophe. Même chose chez Géricault, un génie fulgurant mort trop jeune et dont les oeuvres sont condamnées à s’assombrir et à se dégrader à cause de ces saletés de peintures du XIXe siècle à base de bitume. 

      "Dans la première moitié du xixe siècle les peintres français vont en faire un emploi très fréquent. La texture laquée et la tonalité d’un roux très sombre intéressent des peintres comme Prud’hon qui l’utilise dans son tableau La Justice et la Vengeance divine poursuivant le Crime, et il sert avec excès jusqu’à Gustave Courbet."


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      Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 25 juillet 2017 00:45

      Et pas seulement à cause du bitume, comme le précise l’article qui met aussi en cause d’autres ingrédients typiques de cette époque, d’après des travaux récents. 


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      Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 25 juillet 2017 00:49

      @pegase
      "Je voulais lui faire expertiser la fameuse peinture représentant Jeanne d’Arc, peinte de son vivant dans la chapelle ND de Bermont à Domrémy"

      Je vois. 

      http://www.stejeannedarc.net/dossiers/ND_Bermont.php


    • vote
      bob14 bob14 23 juillet 2017 13:25

      3 grands maîtres de la peinture : Léonard de Vinci, Delacroix, et Monet...


      • vote
        Miona Miona 23 juillet 2017 21:44

        @bob14

         (@_@)

        4

        Pas de marchandage...


      • vote
        bob14 bob14 24 juillet 2017 08:03

        @Miona....Pour vous, pas pour moi !


      • 1 vote
        wendigo wendigo 23 juillet 2017 21:59

         je vais encore faire mon pénible, mais on ne se refait pas, j’aurais personnellement rajouté Mérisi dit "le Caravage" !


        • vote
          Miona Miona 23 juillet 2017 22:28

          @wendigo
          Le choix des 4 grands maîtres présentés dans l’article vient de la chaîne Toute l’Histoire. Ils ont ajouté (le 5ème) Cézanne aujourd’hui ; peut-être Caravage bientôt... smiley


        • 1 vote
          Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 24 juillet 2017 00:43

          @Miona
          Comme le dit le proverbe : Le Titien aboie, le Caravage passe. 


        • vote
          wendigo wendigo 24 juillet 2017 08:02

          @Miona

           Le choix des 4 ne me dérange pas, ce ne sont pas les 4 fantasques, on est loin de 4 tagueurs, ou des misères picturales contemporaines (on a l’art que l’on mérite et comme l’écrivait V.Hugo ; "le monde a pour égouts des temps comme le notre", ce qui rend logique que notre art se un art de chiotes) Mais déjà je n’aurais pas mis de Vinci ! Ce type là était, serte un peintre mais surtout un alien, un Machin hors norme ; c’est limite de la fraude que de le mettre (systématiquement) en compétition avec les autres, c’est comme comparer DSK avec des dragueurs de rue, ils ont tous l’art ...mais l’un d’entre eux a un petit plus.
          Donc par honnêteté pour les autres, de Vinci, oust (et d’ailleurs lui même estimait que la barbouille ça l’amusait quand il était petit, et qu’il faut grandir un peu)
           Les autres bon c’est un choix très "franchouillard", le mieux aurait été de mettre en priorité des précurseurs, des innovateurs de ceux qui on fait avancer voir bousculé l’art pictural comme Vermeer, Greco ou ... Caravage ; et ainsi donner une "palette" plus internationale".
          Je dis cela alors que j’adore les 4 ici présentés ; je n’y connais rien en art, je ne suis que porté par mes goûts de l’esthétisme et de la beauté (qui n’engagent que moi) au point de préférer un Chancrin à un Van Gogh et à donner plus de valeur à un Dali, qu’un picasso, un pur béotien, mais j’estime qu’il faut un certain ordre, une certaine méthodologie si l’on veut aborder un sujet aussi vaste.


        • vote
          wendigo wendigo 24 juillet 2017 08:07

          @Qaspard Delanuit
          Comme le dit le proverbe : Le Titien aboie, le Caravage passe. 

          ***

           Enfin dans le cas présent le caravage trépasse !


        • vote
          wendigo wendigo 24 juillet 2017 08:13

          @Miona

           Et puis reconnaissez le, les 4 ci présentés sont ultra connus, parler d’un peintre de talent, pour ne pas dire de génie presque inconnu du grand publique c’est mieux, internet nous permet d’accéder à cela.
          Mais je ne critique pas votre sujet pour autant, je suis béotien, pas vandale !


        • 2 votes
          jack Mandon jack Mandon 24 juillet 2017 11:17

          @Miona

          Bien sur, "Toute l’’histoire"

          Attention au fourre tout culturel !

          Comme le souligne Wendigo, Léonard de Vinci, c’est une espèce d’extra terrestre. Voici par exemple ce qu’en pense un grand critique d’art que l’on connaît surtout par son génie de la poésie sulfureuse, Charles Baudelaire.

          Léonard de Vinci, miroir profond et sombre,
          Où des anges charmants, avec un doux souris
          Tout chargé de mystère, apparaissent à l’ombre
          Des glaciers et des pins qui ferment leur pays ;

          Léonard, un miroir spirituel, médite et flirte avec les anges. Entre humanité et divinité, c’est à dire entre la soumission et la révolte. Sa vie de génie, son originalité insolente confirment l’absolue révolte d’une créature exceptionnelle dans une Renaissance culturelle où l’antiquité greco-romaine et le christianisme se confondirent « lieu vague où l’on voit des Hercules se mêler à des Christs et se lever tout droit ».

          Les guerres de religions qui naîtront, témoignent de la grande peur des religieux sectaires qui réagirent. Cela s’authentifie culturellement. Léonardo est philosophiquement un anté-socratique, spirituellement, un sage atemporel d’avant Socrate. La particularité de cette période de la Grèce antique entre le VIIe et le VIe siècle, l’ère des « Présocratiques »comme les appellent ceux de la « société de l’avoir », les crétins de l’université marchande et les champions de la chosification humaine. D’ailleurs ce sont les mêmes histrions qui pondent les émissions de « toute l’histoire » et qui mélangent tout. Meilleurs manière de maintenir les hommes dans le chaos culturel, c’est à dire l’inculture. Les macroniens par exemple, sont les champions du creux, du faux et de l’apparence à deux balles. Ils sont tout à fait à la mode.

          En définitive, notre société dites moderne, tout bonnement marchande, qui produit entre autre des miasmes et de la violence, utilise le passé artistique quand ça l’arrange, mais elle le concocte irrespectueusement.


        • vote
          Miona Miona 24 juillet 2017 12:02

          @wendigo
          "Et puis reconnaissez le, les 4 ci présentés sont ultra connus"

          Oui, forcément, puisque c’est le principe de cette série documentaire (revenir sur le parcours de "grands maîtres" de la peinture, des "artistes d’exception"... "ayant traversé le temps grâce à leurs toiles"...) :

          "Artistes majeurs ayant traversé le temps grâce à leurs toiles, les grands peintres ont su témoigner de leur époque à travers les œuvres qui ont fait leur renommée. Souvent mal compris de leurs semblables, accablés par la critique et l’Académie, ils sont les créateurs de courants artistiques modernes qui ont révolutionné l’histoire de l’art et qui demeurent, aujourd’hui encore, des sujets d’études fascinants. Cette série documentaire revient sur le parcours de chacun de ces artistes d’exception."


        • vote
          Miona Miona 24 juillet 2017 12:08

          Et il y a 4 peintres présentés dans l’article, parce que ce sont les 4 premiers documentaires mis en ligne dans cette série, au moment où j’ai proposé l’article en modération. La série est en cours...


        • 2 votes
          jack Mandon jack Mandon 24 juillet 2017 12:16

          @jack Mandon

          "En définitive, notre société dites moderne, tout bonnement marchande, qui produit entre autre des miasmes et de la violence, utilise le passé artistique quand ça l’arrange, mais elle le concocte irrespectueusement."

          Comme je suis un solitaire, j’ai tendance à me répondre et à pratiquer l’autocritique.

          Les particularités des anté-socratiques. ils prônent une société sans argent, sans état, le tout de l’être, le jouir, (pas le porno) dans une certaine éthique. Vous comprenez que cela peut gêner le système politique et financier, surtout quand il est moribond. Voici donc une conception philosophique qui fait naître le chômage en un lieu très protégé.

          Mais ces penseurs issus du paléolithique, berceau de la communauté de l’être, vivent dans le sacral, pas le sacré qui entretient une dualité entre le sacré et le profane. Aimer est sacral, la faune, la flore sont sacrales. Les religieux monothéistes sont très loin du compte, ce qui explique la collusion absolue entre l’église et l’état et l’incompréhension spirituelle entre les deux mondes, avant et après Socrate. Une autre source de chômage pour les pasteurs, les curés, les rabbins et les imams.

          Autre contrée du monde influencée par le paléolithique. Quand un sioux ou cheyenne tuaient un bison, ils le remerciaient avec un respect qui échappe bien entendu aux crétins de la société de l’avoir dans laquelle nous nous vautrons plus ou moins comme des porcs, religieux et politiques confondus.

          Pour revenir au brave Léonardo, tout cela aide à comprendre sa versatilité, son inconstance et sa liberté d’esprit et de coeur qui le poussaient sur les routes de l’exil. La France et surtout François 1er su l’honorer, une France noble d’un autre temps.


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          wendigo wendigo 24 juillet 2017 12:53

          @Miona

           Oui en bref l’objectif n’est pas de cultiver en faisant découvrir, que d’encourager à ne pas chercher plus loin que "l’ultra connu", et ainsi apporter juste une culture restrictive afin de ne pas réveiller la bête immonde qu’est l’esprit critique.
          Le politiquement correct artistique, porteur plus d’une impression culturelle que d’une connaissance esthétique.
           Désolé mais de toujours entendre parler des même, cela démontre un maque de culture ou une paraisse intellectuelle, pour ne pas entrer dans une explication plus "complotiste" pour ce minimalisme intellectuel.

           J’attends sans impatience la vidéo sur picasso le magnifique et jackson pollock ce génie des temps modernes, grands bailleurs de fond de la spéculation pour la fierté des neuneus.
           L’art c’est avant tout de la culture, mais toujours parler des même c’est de l’anti-culture aux frontière de la carence cérébrale.

          PS : et merde moi qui avais fait voeux de bienséance aujourd’hui, c’est encore raté. promis demain je suis charlie !


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          wendigo wendigo 24 juillet 2017 13:05

          @jack Mandon
          Attention au fourre tout culturel !

          ***

           Je serais moins magnanime que vous en affirmant fermement que de nos jours, les navets sont mieux cultivés que les personnes et cela est bien comme vous le soulignez, une question commerciale, pour être le rentable le navet a besoin d’une bonne culture riche, alors que l’homme n’est rentable que qu’en il est en friche et fané.
           Cette société ce vente d’une chose qu’elle a cessée d’être et célèbre des génies qu’elle ne créait plus, la fortune de l’actionnaire fait la misère du génie humain.


        • vote
          jack Mandon jack Mandon 24 juillet 2017 14:17

          @wendigo

          Il faut être soi-même, au plus près de la sincérité, au risque de la solitude. Les solitaires oscillent entre l’originalité et l’échec, c’est assez inconfortable. A un certain âge, deviennent blindés ou liquides. Satisfait de tenir encore dans la position verticale.

          Ce n’est pas de Thalès, Parménide, Anaximandre ou Héraclite...de moi tout simplement, un guerrier anté-socratique inconnu.


        • 1 vote
          jack Mandon jack Mandon 24 juillet 2017 12:35

          "Pour revenir au brave Léonardo, tout cela aide à comprendre sa versatilité, son inconstance et sa liberté d’esprit et de coeur qui le poussaient sur les routes de l’exil. La France et surtout François 1er su l’honorer, une France noble d’un autre temps."

          Attention Miona, cette rage ne vous est pas destinée, je conteste ce que l’on fait de la culture dans ce monde de la finance qui n’entend rien à l’art...sinon qu’il est capable, ce monde, de fausser le beau, le vrai et le bien en donnant à des croûtes une importance qu’elles n’ont pas, cela depuis le début du XXe siècle. La vie et l’observation m’apprennent l’insurrection et la critique. Les bobos de gauche et de droite qui se ressemblent temps me fatiguent.


          • vote
            jack Mandon jack Mandon 24 juillet 2017 12:49

            qui se ressemblent "temps" me fatiguent.

            On peut aussi faire des fautes d’orthographe hors du temps
            Tant de fautes intemporellement avec Léonardo qui se jouait de tout et du temps.


            • vote
              jack Mandon jack Mandon 24 juillet 2017 13:07

              Pour Delacroix, le romantique absolu, voici ce que nous dit Baudelaire :

              Delacroix, lac de sang hanté des mauvais anges,
              Ombragé par un bois de sapins toujours vert,
              Où, sous un ciel chagrin, des fanfares étranges
              Passent, comme un soupir étouffé de Weber ;

              (extrait des phares)

              Époque projective, chaotique, meurtrière et rutilante, que celle projective du romantisme, et de Delacroix en particulier. Le retour du lyrisme après une révolution bourgeoise et capitaliste lamentable et les décompensations napoléoniennes heureuses mais aussi désastreuses. Les artistes sont des filtres, des capteurs et les meilleurs romanciers, journalistes et historiens de leur temps.


              • 1 vote
                jack Mandon jack Mandon 24 juillet 2017 13:56

                Van gogh, sauf respect que je lui doit, est un ami de longue date.
                Pas un ami paisible, certes.

                Bipolaire, comme Baudelaire, c’est un monde clos infiniment riche, cela fait plus de 50 ans que je m’intéresse à lui, artistiquement, humainement et aussi pour la complexité de sa problématique psychique.
                Van Gogh est quelque part un anté-socratique, plus spécialisé que Léonard et sans doute plus tourmenté.
                Il se voulait tendre, il était si maladroit dans sa naïveté d’enfant qu’il effraya tout le monde, même Paul Gauguin qui n’était pas un tendre. On ne lui connaît la vente d’un seul tableau, les vignes rouges...pour rien. Son frère Théo le porta à bout de bras, tendrement et financièrement, et mourut un an après lui. Ils sont enterrés dans le petit cimetière d’Auvers sous un tapis de lierre. Nous sommes dans l’époque des balbutiements de la psychanalyse et de la psychiatrie, ceux qui analysent au lieu d’aimer.
                Comme on a tout dit sur Vincent, j’ajouterais qu’il avait un talent pour l’art caricatural. Attention, rien de limitant et de trivial. Son raffinement et sa grande sensibilité lui avaient sans doute offert en héritage esthétique, l’humanisme, la culture orale, les rituels carnavalesques du théâtre populaire. Van Gogh aimait les gens mais peut être était-il très critique dans le sens noble du vocable. De plus, sa grande sincérité l’exposait au rejet, au mépris. Par son immense culpabilité maladive il s’autodétruisait. Son art est assez compensatoire. Il règle ses comptes...peut être sans le savoir. Aujourd’hui il souffrirait au centuple dans l’ambiance creuse et fausse macronique.

                Vincent Van Gogh 1853-1890, un homme de phosphore et de sang... - Agoravox

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                  jack Mandon jack Mandon 25 juillet 2017 13:28

                  @Miona

                  Claude Monet, l’un des maîtres les plus constants de l’impressionnisme, né dans la seconde moitié du XIXe siècle ne fut pas épargné. Dans ce cas précis, entre les règles académiques, le jury, les valeurs formelles connues et l’innovation, l’avant-gardisme, la recherche, le balancier de l’horloge de chronos oscille en permanence scandant le mode d’être de l’humain en marche. Charles Baudelaire, en qualité de critique d’art, s’arrête à Delacroix, 1ère partie du XIXe siècle, dans son évocation poétique des Phares. C’est sans doute longtemps, longtemps après que les poètes sont disparus que l’on a suffisamment de hauteur de vue pour capter le message suggéré. Dans le feu de l’action et de l’émotion, le cherchant dénonce la tyrannie alors qu’il se sent incompris. Paradoxalement il est taxé de révolutionnaire. L’univers impressionniste est féminin, maternel, apaisant, comme issu du ventre bucolique de Gaïa. Flottant dans l’imprécision des formes, au chromatisme lumineux, riche et dilué dans une gestation paisible et matriarcale. En opposition radicales aux effroyables mutations patriarcales, sociales, industrielles et guerrières de ce temps.

                  De plus, cela pourrait surprendre, le jury était pratiquement élu par tirage au sort, c’est à dire plus juste qu’aujourd’hui. Seulement voilà, aujourd’hui comme hier, le conditionnement du peuple n’est pas en reste. Les apparences faussaires ont simplement évolué. Dans la même ligne, le mouvement impressionniste représente plus une évolution artistique qu’une révolution. La libre culture ferait la différence.

                  Le mouvement du balancier évoqué plus haut nous parle d’un retour naturel et culturel de toute chose. À travers la PNL, on pourrait mettre en avant le bien fondé pédagogique de la flexibilité.





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