« L’École fabrique des masses de jeunes violents et incultes » – Eve Vaguerlant
Eve Vaguerlant est agrégée et docteur en Lettres modernes, professeur de français depuis une dizaine d’années. Elle a enseigné dans plusieurs collèges et lycées de la région parisienne et vient de publier « Un prof ne devrait pas dire ça – Choses vues et choses tues dans l’Éducation nationale » (L’Artilleur).
Un essai qui décrit les différents problèmes qui minent le système scolaire français : effondrement du niveau, refus de la culture et de la transmission, banalisation de la violence, absence de discipline et de sanctions, ingérences idéologiques, atteintes à la laïcité, pression des parents d’élèves, déni des enseignants et des chefs d’établissement, etc.
« Les enfants ne sont pas à l'abri des dérives que je dénonce dans les établissements dits tranquilles. Les parents ont l'impression que s'ils réussissent à éviter le collège de ghetto, leur enfant recevra une instruction satisfaisante. Ce n'est pas vrai. »
Pour Eve Vaguerlant, l’École est le théâtre d’une banalisation de la violence et « beaucoup d’élèves n'interagissent désormais plus qu’à travers les coups et l’insulte » : « On leur apprend l'impunité, cette culture de la victimisation où rien n'est jamais de leur faute, ils ne savent pas s'excuser, il n'y a jamais de sanction pour leur faire comprendre qu’ils ont fauté. »
Une violence endémique qui est aussi le produit du manque d’instruction : « Les élèves fonctionnent avec très peu de mots de vocabulaire, ils utilisent des béquilles de langage comme “wallah”, “wesh”, etc. Cela crée un climat d'agressivité verbale permanent. [...] Nous produisons des masses de jeunes qui ne connaissent que la violence comme mode d'expression, c'est très inquiétant. »
Si Pap Ndiaye a fait de l’éducation à la sexualité l’une de ses priorités, Eve Vaguerlant estime que le ministre se trompe de combat : « Quand on voit la violence dans les établissements scolaires, la chute vertigineuse du niveau, ça me paraît en décalage total avec la réalité et les besoins du terrain. »
« Quand on parle d'éducation à la sexualité, il faut être très méfiant. Il s'agit de faire intervenir des militants d'extrême gauche qui vont répandre la théorie du genre, systématiquement », renchérit l’enseignante, qui cite l’intervention d’une association féministe venue expliquer à des collégiens « la façon dont les filles sont ostracisées pendant leurs règles en France ».
« L’intervenante a expliqué son problème en n'utilisant jamais le mot femme. Elle préférait dire “personne ayant un utérus”, car il y a aussi des hommes trans qui ont leurs règles. Elle a expliqué ça devant un parterre de gamins de 12 ans. »
Selon Eve Vaguerlant, l’absence de réponses aux problèmes du système scolaire français « vient d’un aveuglement volontaire des politiques, de l’institution scolaire », mais aussi des professeurs eux-mêmes : « Les manifestations de profs reviennent toujours à réclamer davantage de moyens [...]. Vous n'aurez jamais une manifestation pour réclamer des sanctions, de la discipline, ce sont des termes jugés fascistes par la majorité du corps enseignant. »
00:00 Intro
01:58 Pourquoi lever le voile sur le quotidien d’un prof de l’Éducation nationale ?
03:21 Les parents qui pensent que leurs enfants sont à l’abri sont-ils naïfs ?
07:19 Quel est le rôle du pédagogisme dans le délitement de l’École ?
18:22 En quoi l'École produit-elle des individus dociles et malléables ?
23:05 En quoi la politique d’inclusion favorise-t-elle la culture de l’excuse et la victimisation ?
29:04 Comment les ingérences idéologiques se manifestent-elles à l’École ?
34:50 La théorie du genre trouve-t-elle une traduction concrète dans les ressources pédagogiques et les enseignements ?
39:52 L'éducation à la sexualité est-elle une priorité ?
43:29 En quoi les formations à la laïcité sont-elles inadaptées ? Les enseignants sont-ils condamnés à s’auto-censurer pour éviter d’être menacés ?
48:11 La baisse du niveau scolaire favorise-t-elle l’expansion des comportements violents ?
57:04 La crise du système scolaire français est-elle le reflet d’une crise plus profonde ?
01:01:38 En quoi le corps enseignant est-il responsable de son propre discrédit ?
01:04:18 Que valent les diplômes comme le brevet ou le bac aujourd’hui ?
01:06:11 Les bons élèves font-ils eux aussi les frais de la chute du niveau scolaire ?
01:14:05 Comment garder la foi et continuer à y croire ?
01:16:55 L’apocalypse scolaire peut-elle être évitée ?
Tags : Education Enfance Enseignement Violence Ecole
40 réactions à cet article
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wendigo 26 juillet 13:47
Quand on voit ce qui sort de l’ena, il est clair que ces cons là ne vont pas laisser des gosses de l’école publique devenir moins crétin qu’eux. qui plus est des gamins de prolos.
C’est le principe de peter parfaitement appliqué du haut vers le bas (et réciproquement)-
paulau 26 juillet 15:09
Le festival d’ Avignon aussi peut rendre les gens racistes et violents. . .
Polémique au Festival d’Avignon : Une pièce où des bébés blancs sont embrochés par des acteurs noirs accusée d’incitation à la haine et les interprètes insultés voire frappés par le public - https://www.jeanmarcmorandini.com/article-542600-polemique-au-festival-d-avignon-une-piece-ou-des-bebes-blancs-sont-embroches-par-des-acteurs-noirs-accusee-d-incitation-a-la-haine-et-les-interpretes-insultes-voire-frappes-par-le-public-video.html
complément sur le spectacle d’ Avignon : https://scontent.xx.fbcdn.net/v/t39.30808-6/363347574_836382044715888_5324300842489847947_n.jpg?stp=dst-jpg_s350x350&_nc_cat=100&ccb=1-7&_nc_sid=110474&_nc_ohc=-kZBNswRRS4AX8xEWyf&_nc_ht=scontent.xx&edm=AIUBd8oEAAAA&oh=00_AfAhF2aIFIivh71e81MsqZXSxT6T_AG7do8NaRVMRBv-7w&oe=64C627C1
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Conférençovore 27 juillet 00:41
@fake new gauchiste C’est une riche idée ça... Pour ce qui est de l’Afrique, dans certaines zones, ces trois abrutis finiraient dans un pneu en flamme (ce qui ne serait pas une grosse perte soit dit en passant). En France et pas qu’à la Goutte d’Or, ils seraient jetés en taule par la magistrature rouge dans le meilleur des cas (ce qui leur donnerait l’occasion de rencontrer cette population qu’ils aiment tant) et dans le pire, ils se feraient massacrer à la fois par des divers énervés et des plus antifas et tarés encore qu’eux.
Mais ce serait une occasion très enrichissante de confronter idéologie stupide et principes de réalité.
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nono le simplet 27 juillet 06:52
@Conférençovore
quel beau tandem ... conf et cyrus dans le même bateau ... celui de la clairvoyance et de la bienveillance -
Boris 27 juillet 08:42
@fake new gauchiste
Déjà fait par les "inconnus" et il y a déjà plus de 30 ans !
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SERA 26 juillet 19:49
Pour les parents, (valable dans le primaire en moindre), pour les représentants de parents d’élèves aussi, un essentiel à bien assimiler : toute la vidéo bien sûr, mais surtout les 15 dernières minutes !!! Enfin parce que escamoté, sauf erreur ici, le lien /bordel en classe - immigration massive et mal gérée -/ est gros comme le nez au milieu de la figure.
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yoananda2 26 juillet 21:56
mouai ... ça m’a l’air d’être une critique à l’eau tiède.
On est en 2023, et si un prof n’est toujours pas capable de dire "immigration" "afrique" "islam" pour expliquer l’une des causes (certes pas unique mais majeure) des problèmes de l’école, pour moi c’est poubelle direct.
tant mieux pour elle si elle vends son livre, mais bon, elle a 20 ans de retard (sauf pour le wokisme qui est plus récent).
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yoananda2 26 juillet 21:58
@yoananda2
j’ajoute que ce n’est pas l’école qui fabrique des abrutis, c’est la culture et les origines ethniques ... l’école est simplement envahie et doit gérer le merdier.
bref, y a pas plus sourd que celui qui veut rien voir -
hase 27 juillet 13:47
@yoananda2
Quand on fait des annonces aussi décoiffantes, si on veut " qu’elles passent", au moins qu’elles soient comprises, mieux vaut ne pas charger la mule.
Moi je me bats contre depuis le début des années quatre vingt dix !! dans ma sphère pas par internet... eh ben, c’est pas gagné ; quand on est con on est con dit l’autre : il oublie de dire que un con ne supporte jamais d’avoir eu tort.
En attendant, il n’y a plus de profs... -
yoananda2 27 juillet 14:02
@hase
je ne suis pas d’accord. Je pourrais être d’accord, parce que, oui, je comprends bien qu’un prof qui va parler de différence de QI moyen entre races ... en France ... autant mettre un chrétien en pleine crise de glossolalie, le résultat sera à peu près le même : direction hôpital psy.Nonobstant ce constat, le fait est que ne pas prendre en compte ce facteur fait faire un contresens à la dame. Ce n’est pas l’école qui fabrique de la violence ou des crétins. C’est l’école qui doit gérer la surabondance de crétins/violence.
Les solutions ne sont pas les mêmes. Il n’y aura aucun moyen d’inverser la tendance avec plus de moyens ou je ne sais quoi ... Le QI est héritable à 50% pour l’enfant et 80% pour l’adulte. Pour la violence, je ne sais pas, mais rien ne permet de penser que c’est différent. Il y a une part qui vient de la culture et de l’éducation des parents, mais ça, ce n’est forcément plus facile à modifier que la génétique de toute manière. (je pense que c’est une illusion de croire qu’on peut modifier la culture en intervenant sur l’éducation, c’est plus complexe que ça)
Le logiciel républicain, basé sur la tabula rasa, est une croyance de luxe. Dès qu’on revient dans le monde réel, il n’est plus efficient. C’est un bel idéal (encore que ... ça se discute, moi j’ai d’autres idéaux mais admettons) mais l’école républicaine n’y résiste visiblement pas.
On n’a pas le choix. Si on ne met pas les choses sur la table, et bien le résultat, on l’a sous les yeux. Cette dame prétends dénoncer les vrais problèmes, mais en fait non, elle ne fait que rajouter une couche de confusion dessus.
Je vois beaucoup de monde louer son courage, mais au contraire, pour moi les profs sont les premiers coupables (elle y compris) parce qu’ils ont la question raciale depuis le tout début sous les yeux et qu’ils ont refusé par idéologie de dire ce qu’ils voyaient. Ils savent, mais refusent d’admettre. Cette dame fait exactement la même chose maintenant, avec 40 ans de retard.Voila ou en es !
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hase 27 juillet 16:51
@yoananda2
Je n’ai pas compris la même chose que vous ; en gros j’ai compris qu’elle disait que l’école devrait s’adresser à tous, mais selon ses capacités et ses besoins. Le fait de s’être fait croire à une " égalité", dont on sait qu’on n’en a rien à foutre vu que nous sommes tous différents, et que c’est une embrouille de plus ; je me souviens, et pourtant j’étais jeune, avoir vu tout de suite l’entourloupe dans le coup du collège unique !
Dieu sait que les gosses qui allaient en sixième dans les lycées étaient rarement des fils de mineurs, ils pouvaient l’être. J’en ai connu.
L’école ne peut pas rattraper les manques de l"éducation des mômes, mais elle peut être un sol solide sur lequel n’importe qui peut s"appuyer.
Je n’ai pas vu particulièrement le problème racial dans ce qu’elle disait ; peut-être qu’étant entourée d’instits, je sais , et depuis longtemps, que des parents viennent " tabasser" des instits qui n’ont pas mis vingt à leur mômes ; j’exagère vous le comprenez mais c’est dans cet ordre là. Les autres crient au racisme... bref, la carence est à la maison et l’école n’est pas là pour y remédier.
En tout cas je tire mon chapeau aux instits et profs qui peuvent perdurer dans cette embrouille insane ! -
Conférençovore 28 juillet 02:25
@hase "L’école ne peut pas rattraper les manques de l"éducation des mômes, mais elle peut être un sol solide sur lequel n’importe qui peut s"appuyer"
Non. Certaines personnes se moquent d’avoir une chape de béton sous leurs pieds. Le sable suffit quand votre toit se déplace sans cesse.
"Je n’ai pas vu particulièrement le problème racial dans ce qu’elle disait"
Effectivement, toi comme elle et comme nombre de profs sont incapables de remettre en cause leur système de pensée, celui qui est précisément à l’origine de ce problème insoluble en apparence. Les raisons à cela sont généralement doubles : soit il s’agit d’une incapacité structurelle, soit il s’agit d’une incapacité liée à un endoctrinement puissant. Dans ce second cas, la sortie de ce problème réside dans le coût mental à assumer trop élevé. A ce dernier, il faut ajouter évidemment le coût social qui est également énorme (là, c’est très simple : vous perdez absolument tout, travail, collègues de travail, amis et parfois même la famille). Pour avoir écouté attentivement cette dame, je suis absolument convaincu qu’elle sait ce que nous savons, qu’elle a déjà consulté la planisphère des QI (et quand bien même ce ne serait pas le cas, son expérience et la récurrence les profils font que ce n’est même pas nécessaire), mais qu’elle sait aussi qu’elle ne peut tenir le discours de vérité sans s’exposer à ses conséquences extrêmement pénibles (ce que l’on peut comprendre bien évidemment).
Mais dans des cas de personnes moins conscientes du caractère organique de tout cela (l’échec scolaire de certains élèves, le bordel permanent en classe, etc), la question est comment gérer au mieux la dissonance cognitive tout en se donnant bonne conscience ? C’est cela le dilemme auquel vous êtes confrontés.
Votre solution est de fustiger un système (tout en étant partie prenante de celui-ci), ce qui ne mange pas de pain et elle le mérite de ne fâcher personne : il suffirait donc de modifier ce système et Charles-Henri** et Anne-Sophie** se mettraient miraculeusement à réussir et s’épanouir dans une autre voie plus... "professionnelle". A tout le moins on ne les verrait plus foutre la merde dans les classes puisqu’ils n’y seraient plus ou bien alors seraient regroupés dans des classes de niveau dans lesquelles ils s’épanouiraient entre cancres comme par enchantement.
Sérieusement, combien de temps pensez-vous que vous allez pouvoir tenir avec ce type de raisonnement paralogique ? Vous avez déjà des professeurs qui se font menacer avec des flingues, d’autres qui se mangent des baffes, coups de poing et parfois de couteau, d’autres qui se font massacrer par des élèves possédés, d’autres encore simplement et froidement exécutés pour suspicion de blasphème. Jusqu’où va votre marge de tolérance au réel ?
Ma position consiste à dire que ce coût mental et social, certes extrêmement élevé dans cette France gangrenée par le communisme mental, sera toujours moins cher à payer que le coût physique. Tôt ou tard il faudra que parmi vous, les profs, certains sortent de ce conformisme, sortent de la tranchée, du bois, de ce que vous voulez à partir du moment où vous nommez les choses, et pose ses couilles ou ses ovaires sur la table.
Jusqu’à présent, on a eu le droit à de la démission massive, à un énorme silence, à une contestation sur les réseaux sociaux à base de hashtags (lol) et puis des explications disons intermédiaires qui se rapprochent plus ou moins de la vérité mais sans jamais vraiment l’énoncer clairement. Rien de tout cela ne peut tenir face à l’épreuve du réel.
* ça rappelle le bref parcours de prof en banlieue de Tatiana Ventose : elle voit que ça ne marche pas, que c’est insupportable, qu’une partie des élèves ne parle même pas français et n’ont strictement aucune discipline mais au lieu de dire pourquoi, elle explique que ce boulot n’est... "pas fait pour elle" en se gardant bien d’expliquer pour qui un tel taf serait-t-il fait et finalement terminer en queue de poisson.
** Les prénoms ont été modifiés
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hase 28 juillet 12:42
@Conférençovore
Mais vous n’avez rien compris, vous êtes aveuglés par votre racisme !!
Elle dit ce qui doit être dit : l’école doit s’organiser pour accueillir et instruire chacun des enfants français qui vivent en France.
Il y a plus de quarante ans, j’étais musicienne et nous faisions des tournées de concert et d’ateliers dans les écoles, dans les classes. L’instit avait coupé sa classe en deux : l’une dont s’occupait mon compagnon, et l’autre c’était moi ; égalité du nombre ; moi j’ai eu droit aux cancres, à grande majorité maghrébine ; c’était dans une ville de l’Ain, pas Marseille ni le 93. J’ai essayé de faire quelque chose, et dieu sait que nous avions des instruments exotiques, et au bout d’un bon quart d’heure, j’ai frappé à la porte de la salle où elle était avec mon compagnon, et j’ai dit " je me casse, je ne peux rien faire". Et je me suis cassée : ils ont récupéré l’ensemble de la classe, qu’elle avait soigneusement séparée !Alors ça ne date pas d’hier ; avant cela j’ai travaillé à l’île Seguin, pour scolariser les travailleurs algériens qui construisaient vos bagnoles pour trois francs six sous et vivaient comme des bêtes en 3 huit tournants dans des taudis...
alors votre petit couplet " moi je sais " vous vous êtes des traîtres de faux culs d’extrême-gauche, vous vous le mettez où je pense. -
yoananda2 28 juillet 12:57
@hase
égalité du nombre ; moi j’ai eu droit aux cancres, à grande majorité maghrébine ; " je me casse, je ne peux rien faire".
donc tu as été confronté à la composante raciale de la cancritude !
et vivaient comme des bêtes en 3 huit tournants dans des taudis...
parce que tu crois que l’industrialisation de la France s’est faite par un coup de baguette magique un beau matin après que le président l’ai décrété ?
La richesse ça se fabrique à la sueur des travailleurs (effort) et des investisseurs (risque). Certains pays, dont la France, on été pionniers. Ils se sont sortit de la misère avant les autres et le reste de la planète qui a sût se sortir les doigts en a profité (cf l’asie)
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Conférençovore 29 juillet 02:32
@hase "et j’ai dit " je me casse, je ne peux rien faire". Et je me suis cassée"
Peut-être que tu as échoué parce que tu es raciste, non ? Enfin moi, ça me paraît absolument évident. Tu as stigmatisé ces pauvres maghrébins. Tu les as infantilisé en bonne blanche colonisatrice maternaliste que tu étais. Tu me dégoûtes hase. Et puis accuser l’instit en plus, un hussard noir de la République, afin de tenter de de dédouaner de Ron incompétence, franchement, ça me débecte. Je suis à deux doigts de te signaler à SOS racimseuuu.
"pour scolariser les travailleurs algériens"
C’est bizarre, ils ont obtenu leur indépendance en 62, non ? Comme le problème en Algérie, c’était la France, une fois que le problème était réglé, l’Algérie a dû trouver toutes les solutions en un claquement de doigts. Mais alors, pourquoi diable des millions d’Algériens se sont précipités chez l’ancien colon dès l’indépendance obtenue ?
Et puis ton expression "scolariser les travailleurs", là encore , sonne très... Troisième République. Tu te rappelles ma chère hase ? "Le devoir (selon la gauche hein) d’éduquer les races inférieures"... tout ça ?
"qui construisaient vos bagnoles pour trois francs six sous et vivaient comme des bêtes en 3 huit tournants dans des taudis..."
Et bien entendu, ils étaient retenus de force en France... Un peu comme la famille Traoré quelque part, non ? C’est la France qui retient ces gens voire même leur mets un couteau sous la gorge pour qu’il monte dans des grands oiseaux de fer au départ de l’Afrique à destination Paris CDG ou Orly ? Ha ha ha
Qu’est-ce que tu as pu me faire rire avec ton dernier post la vieille gauchiste insupportable hystéro (et adepte de la censure en bonne stalinienne qui se respecte lol)
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Conférençovore 29 juillet 03:36
@hase Yo, Je t’ai fait une cassedédi ici soeurette :
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Conférençovore 29 juillet 06:31
Taguieff dans son ouvrage sur le philosophe Julien Freund a rapporté un dialogue entre Jean Hippolyte et Julien Freund lors de la soutenance de thèse en 1965 de ce dernier. Je passe les détails mais à un moment, Hippolyte dit :
"Sur la question de la catégorie de l’ami-ennemi, si vous avez vraiment raison, il ne me reste plus qu’à aller cultiver mon jardin."
Freund lui a alors répondu :
"(...)Vous pensez que c’est vous qui désignez l’ennemi, comme tous les pacifistes, or c’est l’ennemi qui vous désigne. (...)Et s’il veut que vous soyez son ennemi, vous pouvez lui faire les plus belles protestations d’amitié, du moment qu’il veut que vous soyez son ennemi, vous l’êtes. Et il vous empêchera même de cultiver votre jardin"
Ma pauvre hase, tu as cru que ces gens n’avaient pas d’amour propre ? Essayes de te transposer et tu vas peut-être arriver à les comprendre : tu es un garçon et tu te retrouves dans un pays qui, hier, occupait le tien qui n’est rien d’autre qu’une création pure et simple du pays dans lequel désormais tu vis. Et là, avec ce lourd passif, tu te retrouves à recevoir des leçons d’une greluche de ce pays colonisateur et, comble de l’humiliation, tu es sommé de rester stoïque, écouter sagement la maîtresse françaoui alors même que tu viens toi-même d’une civilisation extrêmement patriarcale dans laquelle la propriété d’une femme se chiffre en nombre de dromadaires ou de chèvres. Ça y est, ça se dessine dans ta tête ?
Alors évidemment je t’imagine sans peine avec tes idéaux de féministo-communiste, face à ce public turbulent. J’imagine sans peine ta colère parce que le stupide instit a voulu faire deux classes de niveau et que tu t’es ramassé la mauvaise composée principalement de « jeunes » comment on dit pudiquement aujourd’hui. Dis-toi simplement que tu ne pouvais rien faire et qu’il était parfaitement logique que tu claques la porte. Tu n’as tenu qu’un quart d’heure. Imagine le prof de banlieue de 2023 qui doit gérer tes classes avec des jeunes dans le QI moyen est à 85, avec des taux de testo qui n’ont pas grand chose à voir avec ceux de la population autochtone.
Vous êtes fascinants les gauchistes... Vous me faites rire à vouloir faire rentrer des carrés dans des ronds mais en même temps, comme c’est vous qui tenez le pouvoir, comme c’est vous qui êtes omniprésents à tout un tas de postes clés, notamment la magistrature ou l’éducation nationale, comme c’est votre mentalité dysfonctionnelle qui s’impose dans ce système, ça me fait beaucoup moins rire parce que cette mentalité est ce qui produit directement ce que j’appelle "la nakba française". Tu vois ma chère hase, de tes désespérées tentatives d’instruire des gens qui n’en avaient rien à foutre (on n’en avaient pas les capacités de toute façon) de t’écouter aux récentes émeutes ou plutôt razzias, il y a un continuum parfait de bêtise gauchiste. Stop ou encore ? C’est la seule question.
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mmbbb 29 juillet 13:47
@hase le problème n est pas tres nouveau sauf qu auparavant une certaine omerta régnait .
J appartiens déjà à une génération ou tous ces problèmes percaient . Ils étaient en germe .Et déjà les travailleurs manuels etaient qualifiés dans la rubrique "débilos ".
Il est aussi vrai ce qu omet d affirmer ce prof , l intellectuel était mis sur un piédestal dont l aura devait respecté avec déférence . Sauf qu il est évident que les intellos n ont pas toutes les vertus .
In fine les enfants du baby boum , nombreux trop nombreux ne pouvaient pas avoir toutes les structures éducatives idoines .
Il est vrai que le milieu social est déterminant , je l ai vécu à mes dépens .
Si il etait de bon aloi de la part des responsables politiques de donner une chance supplémentaire de réussite aux enfants du peuple, encore eut il fallu " mettre le paquet " c est à dire avoir des profs excellents dont l emulation tirent vers le haut .
C est en cela que je rejoins le professeur Laurent Alexandre . Il le dit sans ambages .
J ai changé de lycée, un grand classique de l EN , prof de math et de francais absents des la rentrée . Classe de quatrième ,
Comme je ne fus pas fils de député d avocat ou de médecin, je n ai pas pu avoir de cours de soutien et in fine année scolaire bousillée .
lorsque je fus interne , on nous demandait de la fermer , et je passais les dimanches apres midi a m abrutir devant la TV . Et des gros bourrins j en ai connus ,
J ai connu une petite fille de notaire à Lyon, ayant fait sa scolarite dans un etablissement privé à Lyon , la Trinité, deux enseignements fort différents , dans le privé le soutien et le suivi scolaire largement supérieure .
Ce pays ne donnait pas des gages de garanti déjà aux enfants du peuple ( de souche , mot honni désormais ) , les français ont choisi aussi cette immigration . Les problèmes de l ecole se sont amplifiés .
Une problématique assez simple à comprendre ,
Quant à cette femme prof, elle va avoir à la rentrée un nouveau ministre . Ce dernier a etudie dans le privé comme tant de politiques : Hollande Mitterrand Fabuis Macron et tant d autres et surtout les mioches de l ex ministre de l educ issu de la diversité , Pap N DIAYE qui sont dans une ecole confessionnelle en Alsace . Il fut un chantre comme il se doit de la mixité sociale ,
Là est le paradoxe sinon l hypocrisie la plus totale de notre élite .
Ce pays dépense une fortune dans certains quartiers, ecoles bibliothèques médiathèque brûlées , Voilà aussi cette réalité crue ,Maintenant c est un foutoir sans pareil, honnêtement j en tire presque une jouissance .
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Conférençovore 27 juillet 02:02
" Les élèves fonctionnent avec très peu de mots de vocabulaire, ils utilisent des béquilles de langage comme “wallah”, “wesh”, etc. Cela crée un climat d’agressivité verbale permanent. [...] Nous produisons des masses de jeunes qui ne connaissent que la violence comme mode d’expression, c’est très inquiétant."
Inquiétant mais parfaitement prévisible. Dans l’ordre inverse de la chaîne causale on a : Échec scolaire, violence, déviances, etc <--- incapacité à verbaliser les affects <--- incapacité à acquérir les bases nécessaires et indispensables à l’acquisition de tous les autres savoir dont le savoir-être <--- QI trop bas.
On pourrait me rétorquer que savoir-être relève de l’éducation, donc du rôle des parents, ce qui est vrai, sauf que même avec des parents extrêmement attentifs (ce qui est de moins en moins le cas, puisque les parents eux-mêmes sont déjà largués, quand ils sont là bien entendu...), si vous n’avez pas les capacités à acquérir des bases solides de maîtrise de la langue, vous avez aussi généralement extrêmement de mal à structurer vos pensées et à gérer vos affects.
La cause des causes de l’échec de l’instruction publique est celle-ci : des établissement scolaire de plus en plus nombreux dans lesquels le QI moyen se situe probablement aux alentours de 80-85* et un système qui se refuse d’admettre qu’il est impossible de faire suivre un enseignement général de qualité. D’autres causes s’ajoutent, comme par exemple les méthodes pédagogistes, mais la principale est bien celle-là , cet énorme tabou de la société française (sauf chez nous autres les méchants droitards). Les conséquences vont encore plus loin puisque ces classes dans lesquelles une grande partie des élèves ne peuvent structurellement pas suivre plombent "en même temps" les quelques élèves qui le pourraient. C’est donc catastrophique sur toute la ligne.
Il faut bien prendre toute la mesure des conséquences de tout cela : c’est déjà le cas aujourd’hui mais la France de demain sera en grande partie ensauvagée et donc dysfonctionnelle. Nous régressons et allons continuer de régresser sur le plan civilisationnel, sur le plan technique, scientifique et donc économique, sur absolument tous les plans. Il restera des domaines d’excellence mais, la tendance d’expatriation des talents se renforcera de plus en plus, car à cette dystopie vivre-ensembliste s’ajoute un Etat obèse et parasitaire qui exigera toujours plus de prélèvements des forces productives et créatrices afin d’essayer à peu près de faire tenir le tout. La situation se dégradera jusqu’au moment où ça craquera définitivement.
* On est sur des moyennes : ceci signifie que vous avez une partie des individus qui sont en dessous, en corrélation avec les pays d’origine et leur QI moyen. L’effet flynn ne fonctionne probablement même pas dans les quartiers remplacés, précisément parce qu’il y a pas grand chose de mieux que dans les pays d’origine (voire parfois même une situation moins bonne en termes d’organisation sociale). Les projets d’alphabétisation précosse pourraient faire gagner jusqu’à 5 points selon certains chercheurs mais l’expérience scientifique montre que ces effets positifs disparaissent passés les 18 ans. Bref, on doit avoir une partie importante de ces établissements dans lesquels vous avez peut-être 15 ou 20 % d’individus qui sont ce que nous, en Occident, considérons comme des débiles légers. On a quelques débouchés pour eux mais même pour jouer les cagoles dans les Ch’tis à Miami où taper dans une baballe, il faut un niveau intellectuel minimal qui permet de comprendre les règles. Restent le charbonnage, peut-être le rap et le revenu universel de Bilal Hamon, maisrien de tout cela est une situation d’avenir...
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mmbbb 29 juillet 15:54
@Conférençovore " sauf chez nous autres les méchants droitards" c est cette droite qui a aussi instaure des réformes .
En primaire , notre maitresse devait nous enseigner l algèbre de Boole ( école " Bourbaki " ) puisque ce fut obligatoire et qu au gré des évolutions , certains imposent leur vision comme l enseignement de la programmation et du code tres tot .
Sauf que sa structure mentale, ne permettait pas de nous transmettre correctement cet enseignement. Elle " n y panait rien"
Lorsque je fus lyceen et interne , ce fut la droite qui était au pouvoir et il y avait déjà le collège unique . Une imbécilité puisque ces classes différentes de par leur option n avaient guère de lien entre eux .
Et des bourrins " blancs " j en ai connus . Ce genre de type qui vous font douter de la nature humaine et qui vous interrogent tres tôt sur l existence " pourquoi certains naissent tres cons ) .
La seule obligation que l on nous demandait etait de la fermer et nous etions plutôt proche de la mentalite de la caserne . Le surveillant général etait aussi con qu un capo .
Je me suis toujours demandé ou était l intelligence de cet enseignement cours et encadrement , J etais loin du " gai savoir "
Quant à la campagne , les hobereaux cathos etaient plus enclins a nous enseignement un formalisme religieux que de nous donner des basses complémentaires .
Non pas que l histoire religieuse ou un certain enseignement religieux soient à proscrire, mais lorsqu il est doctrinaire il sclérose l esprit .
Cette même élite intellectuelle bourgeoise qui asseyait son magistère moral par sa " grande culture classique " en méprisant quelque peu le peuple .
Nous nous mélangions pas entre les classes sociales et il est vrai que cette classe dominante ne le voulait pas .
Je réfute l idée selon laquelle la droite est ou a été plus vertueuse , Je suis issu d un classe sociale de basse extraction , j ai compris tres tôt .
Ce qui advient aujourd hui, je m en " tape un peu " Je ne fus pas une chance inouie pour ce pour ce pays et je suis avantageusement remplacé .
Quant à la France demain , ce sera comme celle d hier, ceux qui auront du fric s en sortiront à l évidence mieux .
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Conférençovore 30 juillet 09:39
@mmbbb Je comprends ce que tu dis mais on doit juger un arbre à ses fruits. Dans les années 50-60, la proportion de jeunes issus du milieu ouvrier ou de milieux modestes en général qui parvenait à faire de hautes études et donc se hisser dans la société (quelle que soit la société, il y a toujours des hiérarchies, c’est peut-être ça qui te dérange le plus mais c’est une constante humaine qui se retrouve partout sur la planète dès que l’on dépasse le stade de la tribu, et même dans la tribu il y a déjà un leader...) était bien plus élevé que celle d’aujourd’hui. Aujourd’hui, ce qui se passe, c’est que nous faisons artificiellement monter des individus issus de la diversité pour laisser à accroire que tout le monde pourrait réussir. C’est tout le délire de parcoursup.
Quant as ce que tu appelles la droite, en réalité, ce dont tu parles (ce n’est pas un reproche mais c’est juste pour resituer) c’est cette ancienne droite à la papa, un peu bête , extrêmement hiérarchisée, bêtement conservatrice au point d’être castratrice et, effectivement, dans laquelle l’intelligence était reléguée derrière l’accumulation de connaissance : c’est la tête bien pleine versus la tête bien faite.
Mais le souci, avec la politique actuelle, c’est que non seulement on a des têtes vides en termes de connaissance (on leur fait faire des QCM, donc on introduit le facteur chance ce qui est totalement délirant...) mais en plus on fabrique des cons. Mais on s’éloigne de ce que j’essayais d’expliquer à cette brave hase...
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nono le simplet 30 juillet 10:12
@Conférençovore
Dans les années 50-60, la proportion de jeunes issus du milieu ouvrier ou de milieux modestes en général qui parvenait à faire de hautes études [ ... blabla ... ] était bien plus élevé que celle d’aujourd’hui.
ce qui est évidemment complètement faux ... blaireau -
mmbbb 30 juillet 11:14
@Conférençovore je suis confus si tu ne comprends pas mais pour faire simple la droite a aussi une certaine responsabité .
celle ci a une facheuse tendance a éluder cette problématique .
En d autres termes , la bourgeoisie de droite ne se préoccupait peu des réelles conditions de vie du peuple en se ne se privant pas de critiquer la faiblesse de l instruction des enfants d ouvriers ou autres alors que cette même bourgeoisie optait pour la voie royale pour leurs enfants en les mettant dans le privé .
Elle avait une certaine condescendance .
Je précise de nouveau , ce que je blâme n est pas l exigence l effort mais déjà l incohérence des programmes avec des reformes successives — je l ai note l obligation d enseigner l algebre de Boole tres tot par exemple , un enseignement déjà lacunaire notamment avec l absentéisme des profs et aussi la médiocrité de certains ;
l ensemble de ces problèmes obérait la réussite scolaire . Je l ai perçu et il y avait une absence d encadrement . trivialement on se demmerdait .
Et contrairement à aujourd hui , il n y avait pas d association pour faire remonter les problèmes .
Je rajoute aussi que la campagne hormis l environnement bucolique n offrait pas des lors une ouverture d esprit puisqu il etait assez difficile de soulever une difficulté de compréhension dans un probleme de resolution d une equation .Un exemple typique lors de la scolarité Ces gens là etaient avant tout attachés à leur vie quotidienne . Une vie cloisonnée entre les cours l internat et la vie familiale .
Je noterais que je n ai jamais eu de cours de soutien pour pallier cet enseignement insuffisant . .
Que cette même droite s offusque désormais des problèmes aigues actuels liés notamment à l immigration, me laisse indifférent , elle aurait du prendre un peu plus soin des natifs ou des " souchiens " .
Et je retiens qu il est déplorable pour ce faire entendre dans ce pays qu il faille brûler casser saccager , ce que je n ai jamais fait , j ai peut etre eu tort .
maintenant c est un bordel indicible , et honnêtement je m en tape royalement .
J ai une relation ambigue avec ce pays qui oscille entre un certain attachement à un rejet profond .
Je pense avoir ete assez clair . A contrario je n y peux rien .
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Conférençovore 30 juillet 14:48
@mmbbb
"Que cette même droite s offusque désormais des problèmes aigues actuels liés notamment à l immigration, me laisse indifférent , elle aurait du prendre un peu plus soin des natifs ou des " souchiens " ."
J’ai très bien compris ce que tu as écrit sauf que je te réponds que précisément, ce n’est pas la même droite. La droite molle qui s’offusque actuellement des problèmes liés à l’immigration est co-responsable (avec la gauche bien entendu) de cette même immigration. Elle l’est même davantage : c’est elle qui, pour faire plaisir à Monsieur Bouygues et compagnie, a permis le regroupement familial afin que les étrangers ne rentrent pas au bled au bout de 2-3 ans faisant perdre le coût de la formation qui rendait donc l’ouvrier étranger pas assez rentable. C’est encore sous cette droite molle que, certaines années, nous avons vu le plus d’entrées sur notre territoire. C’est cette même droite qui nous a imposé la départementalisation de l’île musulmane comorienne de Mayotte, véritable bombe démographique africaine. Je pourrais continuer la liste indéfiniment... Autant dire que cette droite, je ne la porte pas franchement dans mon cœur. Mais pour le sujet qui nous concerne, c’est bien cette mentalité gauchiste qui a cours depuis des décennies qui est la première responsable de l’écroulement de l’école : cette gauche égalitariste, qui estime que mettre des mauvaises notes c’est stigmatisant, que tout le monde doit avoir le bac, que la priorité c’est d’apprendre aux enfants à se masturber, etc.
La droite molle de merde a passé son existence à fustiger les gens comme nous qui annonçions que tout ce que nous vivons actuellement allait irrémédiablement arriver. La véritable droite, celle dont je parle, est évidemment une droite de la souveraineté/nationaliste. Elle n’a jamais eu le pouvoir en France.
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mmbbb 30 juillet 16:35
@Conférençovore Je vais être tres concis , l enseignement que j ai reçu etait déjà lacunaire et je n avais pas toutes les chances de réussite par rapport à un mioche de bourge suivant ses études dans un établissement privé .
Le privé et les lycées publics de réputation dispensaient un enseignement de haute qualité .
Tous les presidents de gauche sortent du privé .
Ce que je reproche à cette droite de naguere et de ne pas avoir eu plus de sollicitude et s etre détachée de notre avenir .
Ce que je reproche à l educ nat est son inertie et le manque d encadrement .
Moi la violence je l ai intériorisée , les jeunes d aujourd hui s emmerde moins .
Je vais faire un plaidoyer pro domo, , pendant les week end ou je devais rester en internat , il n y a pas de bibliotheque , dans les banlieues elles sont brûlées .
La region de mon enfance a eté desertee et les turcs sont venus s installer Nantua , il y eut un reglement de compte en pleine rue en mars de cette année .
Ce que je veux mettre en exergue, est l incohérence non seulement des politiques educatives mais aussi des politiques migratoires au détriment des francais de " souche " que je suis .
La gauche se vautre dans la démagogie , je ne vais pas le nier . La droite a fait du " courtermisme "
In fine, les francais vont le payer tres cher de ne pas avoir " investi " un peu plus dans les petits blancs *becs " .
C est un constat et ce professeur ne m apprend rien , je le percevais bien que le problème s est amplifié .
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911 Pentagate !!! 27 juillet 11:08
Ceux qui fabriquent.. sont les géniteurs !
Ce sont des gens handicapés par leur culture ou leur religion qui ne voient pas leur environnement social ( excepté le confort de la société moderne dont ils exècrent les autres valeurs ).
Tu prends ce cheptel primaire et tu juxtaposes des rêveurs à base d’essence socio-chrétienne ( ils peuvent être devenus, bouffeurs de soutane )
et tu as les problèmes des banlieues !
Je n’oublie pas les besoins du MEDEF en travailleurs dociles..
dociles le temps d’avoir des "papiers" ce qui ne fait que repousser le problème...
Peu à peu, la loi du nombre fait force de loi quand " Les Loups ont envahi Paris" comme dit la chanson.
Et, Voilà pourquoi votre.. République est... impuissante !
Pour paraphraser un auteur...
Ps Ah, qu’ l est loin le temps où SOS-Racisme, MRAP, LICRA défilaient main dans la main au cri de "Touche pas à mon pote" ( Bastille-Nation, février 1985 )
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zzz999 28 juillet 08:55
Des crétins obéissent plus facilement à une future dictature que des gens intelligents et bien formés, c’est aussi simple que ça.
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nono le simplet 28 juillet 10:48
@zzz999
Des crétins obéissent plus facilement à une future dictature que des gens intelligents et bien formés
c’est un aveu ? -
Boris 28 juillet 17:50
@fake new gauchiste
Ah ben merde alors, voila t’il pas que le nono soulot s’éponge au Sidi Brahim maintenant.
Il est vraiment intenable ce poivrot et son absolutisme idéologique islamo-gauchiste fait qu’après la" villageoise" il se maquille l’intérieur avec du pinard algérien.
Un cas ! -
nono le simplet 28 juillet 17:56
@Boris
quitte à choisir je préfère de loin le Boulaouane ... tu peux comprendre, tu dois tourner à la Kronenbourg comme cyrus -
nono le simplet 28 juillet 17:58
@Boris
ah non, je suis bête ... tu sniffes de lignes de mire -
nono le simplet 28 juillet 17:59
@Boris
bon allez, j’ai assez vu vos têtes de poivrots ... je vais préparer mon repas du soir -
Boris 28 juillet 18:18
@nono le gaucho soulot,
A défaut de préparer ton frichtis, tu n’oublieras pas le kubi de 5 litres de mauvaise vinasse qui te fera garder une haleine de fauve, pas de mouches, ni moustiques dans ton taudis, tu penses bien.
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nono le simplet 28 juillet 18:38
@Boris
le kubi de 5 litres de mauvaise vinasse
c’est un pléonasme
tu as l’air de t’y connaître en piquette ...Sidi Brahim ... cubi de 5 l ... tu te sers chez Aldi ? -
mmbbb 29 juillet 14:40
@zzz999 je ne suis pas convaincu par cette démonstration .
Notre démocratie est devenue faible, l Etat de droit ne s applique plus ou plus précisément selon que vous appartenez à telle ou telle catégorie sociale , vous bénéficierez ou pas de la clémence des juges , Il est évident que ceux ci sont orientés et ne font pas preuve le plus souvent de la plus grande impartialité .
Ce que dénonce cette éminente prof n est que le reflet de notre société projeté au sein de l Educ Nat , perte de civilité , société égalitaire mais dont le carnet d adresse et le les connivences servent à ouvrir les portes . manque de cohérence manque de perspective , le courtémsime est privilégié et l idéologie l emporte
ce qui donne une dévalorisation de l enseignement scientifique, une intrusion des théories à la Kon telle la théorie du genre , une perte de l exigence de la transmission des savoirs une perte de la neutralité de l enseignement avec le recul de la laicité .In fine le chaos s installe , il s amplifie et lorsque que la situation deviendra incontrôlable , un régime autoritaire s installera d autant plus que les partis républicains traditionnels se sont effondrés .
Et les francais dans leurs votent reconduisent cette élite " mondialiste " détourné de l intérêt de notre pays .
Dans quelques mois , les élections europénnes , un test et le vote confirmera ou infirmera cette politique mais je n ai guère de doute
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yoananda2 29 juillet 13:54
Les boomers ont voté l’immigration pour sauver leurs retraites sans penser qu’ils saccagèrent les écoles de leurs enfants.
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microf 30 juillet 23:15
@yoananda2
Pauve France.
La France élira un Président jeune anti-chrétien C´est alors que
la Cathedrale brûlera, ainsi commencera la chute de la France qui deviendra l´un des pays les plus pauvre d´Europe. -
yoananda2 31 juillet 00:56
@microf
comme si le sort de la France te préoccupait ! -
chantecler 31 juillet 09:16
Cette vidéo est passionnante , fondamentale .
Tout y est dit . A quelques approximations mineurs près !
On voit pourquoi les profs qui font l’objet de haine , de rejet , de railleries , ont tendance à jeter l’éponge , et perdent au fur et à mesure leur vocation ..
On les a plongés dans des missions impossibles , coincés par des circulaires ministérielles et avec leur relais dans des absurdités , des contradictions absolues entre les réalités de terrains , élèves, parents collègues et petit chefs fanatisés , arrivistes, opportunistes qui se soumettent à ces directives et les imposent , avec les "nouvelles pédagogies , qui se révèlent désastreuses mais toujours encouragées , renforcées , leurs missions de transmettre le savoir , tout en les dépossédant de toute possibilité de manifester une autorité réelle de fait , en multipliant les contraintes schizophréniques , en les empêchant d’imposer cadres et limites ,alors qu’au minimum ils sont responsables aussi de la sécurité physique de leurs élèves , en leur interdisant toutes sanctions , en les désavouant hypocritement ,publiquement et en permanence , le tout poussé , accentué, par les idéologues patentés ou non , qui s’étalent aussi partout dans les médias affirmant qu’ils sont responsables de tout ,du niveau scolaires des élèves , alors que dans les faits on les empêche de fonctionner , on les a dépossédés ..
Ce n’est même pas une laisse qu’on leur a imposé , mais une immobilisation , une neutralisation , une castration qui leur a été faite .
Alors que par ailleurs , malgré l’immense pression de leurs hiérarchies , à la fois responsable et irresponsable (parapluie) , on leur affirme : "vous avez la liberté pédagogique ,pour faire pour le mieux " !
Quel foutage de gueule , quelle illusion , l’illustration même du "en même temps" appliqué à l’enseignement :
"Vous êtes libres de faire pour le mieux dans votre classe mais , en même temps on vous oblige à ça , ça et ça et on vous en interdit autant !"
Les ministères doivent être remplis de (hauts) fonctionnaires "spécialistes de l’éducation" mais complètement à la masse qui fantasment et pondent des circulaires et inventent des martingales irréalisables absconses ou crétines .
Conflit fondamental entre les théories , l’idéologie , leurs applicabilité et la réalité de terrain .
Pour le reste il y a l’inertie , la lâcheté ,le découragement devant de telles contradictions et impossibilités ,et certainement un profond dégout , rejet , une des appétence , un vide profond , un désinvestissement progressif qui s’installent , quand ce n’est la maladie qui surgit ....
Les profs vont bosser la boule au ventre .
Autrefois on appelait ça "la névrose institutionnelle", il semblerait qu’elle a complètement submergé l’école et l’enseignement .
....
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yoananda2 31 juillet 12:08
@chantecler
tout est dit sauf le plus important : ce sont les profs eux même qui ont voté et revoté et inculqué aux gens générations après génération que l’autorité c’est mal, qu’il faut fermer les yeux sur les différences raciales des éléments "turbulents".
ce sont eux qui ont été les artisans de la mise au pouvoir de la pensée qui a détruit l’école.Les profs vont bosser la boule au ventre .
ce n’est que justice karmique ou sociale.
donc bon ... tout est dit, sauf l’essentiel et avec 70 ans de retard. On a déjà vu pire, certes.
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