La lutte contre les groupes violents en France, à travers 5 exemples  :

Léninistes zadistes (= squatteurs) du groupuscule "Soulèvements de la terre" : actions ultra-violentes en bande organisée avec armes (couteaux, machettes, cocktails molotov, mortiers, battes de baseball, équipements pour émeutiers, pierres, etc) et pour résultat des véhicules de police brûlés, des jouranlistes attaqués, des dizaines de policiers bléssés, dont un en urgence absolue. 

—> Subventions, défense inconditionnelle par la NUPES qui justifie le fait de tuer des représentants des forces de l’ordre en toute décontraction, groupe qualifié sympathiquement "d’extrême-gauche" (Darmanin a tenté un petit "éco-terroriste" pour montrer qu’il existait), soutien direct de centaines de magistrats, etc.

Antifas et autres terroristes d’EG (qui ont récemment tenté de brûler l’hôtel de ville de Bordeaux, entre autres innombrables attaques, agressions, lynchages et cie)

—> Rien. C’est un coup de l’extrême-droite selon la presse. Ils ont le droit de revendiquer leurs actions sur les RS.

Bandes de racailles et autres nuisibles/criminels :

—> Rien. Le problème, c’est les Anglais dixit Darmanin et Hanouna.

Saloperies de traîtres et terroristes islamiques de Daesh :

—> Rapatriement au nom des droits de "l’homme".

 Vs.

Génération Identiraire : 3 banderoles et demi et quelques actions pacifiques salutaires et parfaitement légitimes compte-tenu de l’inaction volontaire des pouvoirs publics et de leur complicité. 

—> persécutions judiciaires pendant 8 ans, perte d’emploi de certains membres, dissolution du groupe considéré comme archi-prioritaire par plusieurs gouvernements, groupe considéré d’ultra-méga-droite dans 99,9% des MSM, amendes monstres, banissement définitif de tous les RS, etc.