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Les commentaires de herve_hum



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    herve_hum 7 novembre 2022 15:58

    @Gaspard Delanuit

    C’est peut-être la conscience humaine qui a construit la réalité d’une Terre tournant autour du Soleil indépendamment de la conscience humaine. "

    Cette hypothèse contredit ce que vous écrivez dessus comme "étant frappé au coin du bon sens"

    Vous devez donc vous mettre d’accord avec vous même !

    comprendre que peu importe comment vous voyez le monde extérieur à vous même, que vous soyez une fourmi ou un humain, peu importe la "peinture" que vous faites, la réalité physique est indépendante de votre perception, ce n’est que la réalité sociale qui dépend de votre perception, car celle-ci dépend d’abord de votre imaginaire, mais peut toujours être qualifié de réalité car cela fait appel à des lois et des moyens de communications avec autrui.

    Bref, de mon point de vue, la réalité et l’imaginaire sont intriquées l’une à l’autre, donc, sont polarisées par le sens de la causalité. Dans la réalité, la causalité est l’ordre premier, dans l’imaginaire c’est le sens inverse !



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    herve_hum 7 novembre 2022 15:47

    @yoananda2

    Pour faire court, de mon point de vue, chaque échelle disons matérielle ou spatio-temporelle obéit à un ordre directeur propre qui n’est pas le même que l’échelle suivante ou antérieure, mais où chaque échelle est intriquée aux autres dans la mesure où elle est soit le support, soit supporté par l’échelle antérieure ou suivante. Exactement comme une échelle pour grimper dans son principe fondamental. C’est le principe de fractalisation de l’espace-temps.

    Selon une loi de causalité, un principe est fondamentalement invariant quelle que soit l’échelle ou le domaine auquel on l’applique, seule la forme change et d’autant plus radicalement selon l’échelle ou le domaine considérée.

    Or, le principe de dualité veut que deux pôles sont indissociables l’un de l’autre, dans la mesure où l’un n’existe pas sans l’autre. De fait et selon le principe précédent, deux photons intriqués sont indissociables l’un de l’autre indépendamment de la vitesse, car s’ils étaient dépendant de la vitesse, alors, cela violerait le principe de causalité.

    Bon, ce n’est pas que cela soit difficile à comprendre car reposant sur des bases élémentaires simples, c’est seulement que ce n’est pas exactement le même mode de pensé, notamment avec le principe de fractalisation de l’espace-temps, qui veut qu’il y ait inversion de polarité à chaque changement d’échelle, entre autre.

    Ici, la causalité n’est pas une affaire de vitesse, rien de plus faux, la causalité est une affaire de logique pure qui n’implique pas une vitesse, mais un ordre de précession, soit, la cause précède l’effet.

    En logique pure, vous pouvez avoir une vitesse infinie, des milliards de fois plus rapide que la lumière, cette notion ne fait pas sens. Par contre, si vous voulez rendre compte et/ou avoir une évolution de votre relation causale, alors, vous devrez impérativement définir des limites d’espace-temps.

    J’insiste bien sur le fait qu’un ordre de précession ne définit en aucune manière une vitesse, ni une limite, ces dernières n’entreront en jeu que pour obtenir une relation causale observable dans l’espace-temps, mais ce n’est pas ce qui définit la causalité, c’est seulement ce qui en rend compte !

    C’est Einstein qui affirme que dépasser la vitesse de la lumière revient à remonter dans le temps, ceci, pour affirmer qu’il est impossible d’aller plus vite dans la réalité, mais c’est totalement faux dans l’imaginaire. Dans ce dernier, la notion de vitesse ou de flèche du temps est accessoire, sauf dans deux cas.

    Pour communiquer avec autrui et pour vivre avec autrui, dans ces cas là, votre imaginaire est totalement impuissant, vous devez en passer par la réalité ou causalité comme ordre premier.



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    herve_hum 5 novembre 2022 12:16

    @yoananda2

    en aucun cas la mécanique quantique viole la causalité, au contraire, elle confirme magistralement la causalité comme fondement de la réalité.

    l’absolu dont vous parlez est ce qui englobe la réalité ET l’imaginaire, qui en absolu existe et où ce qui est absolu, c’est le fait de l’existence de l’être. Le tout étant de savoir alors dans quelle mesure cette existence a ou non un sens.



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    herve_hum 5 novembre 2022 09:53

    @Gaspard Delanuit

    Vous ne vous trompez pas, la réalité obéissant à la causalité est une "chose objective indépendante de ma conscience" car si elle était dépendante de ma conscience, alors, la réalité serait, dépendrait de mon imaginaire. Conséquence logique, il me suffirait de ne plus vouloir quelque chose pour que cette chose disparaisse ou se transmute en tout ce que je veux, or, à l’exemple que vous donnez, l’anneau magique existerait réellement et ne serait donc pas confiné au seul imaginaire du fou. Ici, la définition de la réalité de K Dick est parfaite "la réalité est tout ce qui refuse de disparaitre lorsque JE cesse d’y croire". Le je est toujours personnel et non pas universel (en dehors de Dieu bien évidemment) !

    Sans vous en rendre compte, vous faites ce qu’on appelle l’inversion accusatoire, car c’est vous qui confondez l’imaginaire et la réalité, puisque vous limitez le champ de la réalité à votre conscience, tout en m’accusant de cette erreur.

    Question simple, l’héliocentrisme existe t’il depuis que l’humain en à pris connaissance par l’observation directe ou bien existe t’il depuis que certains humains ont su imposer son existence par conviction intellectuelle dans le sens où avant eux, l’Univers était géocentrique. Autrement dit, est ce la conscience humaine qui fait la réalité objective de l’héliocentrisme et avant lui, la sphéricité de la Terre, ou bien cette réalité existait indépendamment de notre conscience depuis quelques milliards d’années ?

    Ce que j’écris ne dit en aucune manière que l’imaginaire n’est pas dans une relation de causalité ou d’intrication avec la réalité, j’écris seulement que c’est la réalité via la causalité qui permet seul à des êtres dotés de leur propre imaginaire de communiquer et partager un espace temps commun, de concevoir des outils obéissant à la causalité de la réalité, sans cela, chacun est pris dans son propre imaginaire et ne peut plus rien partager avec autrui. Il n’y aurait alors pas besoin d’outils puisqu’il suffirait de vouloir pour pouvoir quoi que ce soit. Votre exemple et tous les exemples que vous pourrez prendre ne diront pas le contraire.

    Ici, on touche à un interdit du cogito, car cela ouvre la porte à ce qu’on appelle la boite de pandore et qui touche tout le champ de ce qu’on appelle le surnaturel.

    Mais je n’insisterai pas plus.... Je tenais juste à clore la discussion commencé dans l’autre article et où il manquait une réponse de ma part.



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    herve_hum 4 novembre 2022 16:59

    @Globulard

    déjà, le tube en question s’appelle un saxophone, un alto pour être précis.

    Ensuite, je veux bien que quelqu’un disent que je fais de la philosophie de bistrot et des tirades merdeuses, mais encore faut il en fournir la démonstration et là, je crains que le globulard n’en soit pas capable.

    Bref, c’est toujours rassurant de se faire traiter d’idiot par des crétins.



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    herve_hum 4 novembre 2022 15:38

    @Gaspard Delanuit

    Dites, cela ne vous rappelle pas notre conversation sous l’article de Robin "interview d’un créationniste" ?

    Le prêtre de la vidéo se base sur les trois mêmes arguments, sauf que son raisonnement est limité par sa propre croyance. Mais les arguments sont correct, bien qu’incomplet, car il ne peut pas aller au delà de sa propre croyance et donc, poser la question du créateur lui même, ce que je fais.

    tenez, je vous recopie ma dernière réponse à laquelle vous n’avez pas répondu

    Gaspard Delanuit

    Réponse à votre commentaire du 23 à 7H39

    La forme d’intelligence d’un atome correspond à son échelle et conformément à la définition de l’intelligence.

    En certaines circonstances, cette distinction ne s’applique pas. En poésie, par exemple, vous ne pouvez pas séparer le fond de la forme sans détruire l’un et l’autre. Or, il est possible que l’univers possède une dimension poétique... que seule une intelligence sensible pourrait appréhender dans sa plénitude sémantique, justement.

    C’est de la pure spéculation qui s’appuie sur une vision toute personnelle et qui n’invalide pas la distinction entre fond et forme. Encore une fois, le sensible ou subjectif relève de la conscience, la mécanique de l’intelligence qui est le moyen pour la conscience d’atteindre son objectif dan la réalité. La poésie consiste toujours à mettre en relation le subjectif du sens de l’être dans le monde, avec l’objectivité de la nature qui parle de ses contraintes. A l’origine, la poésie est la première forme de la philosophie. Autrement dit, la poésie traite toujours du contraste entre l’imaginaire et la réalité mais sous une forme imagé, allégorique. Autrement dit, place d’abord l’imaginaire devant la réalité, alors que la philosophie fera le rapport inverse.

    Vous m’écrivez que "la causalité ne s’exerce pas sur elle même", j’avoue ne pas bien comprendre ce que vous voulez dire !? La causalité est la condition de la réalité, sans elle, il n’y a pas de réalité possible, ici ou n’importe où dans l’Univers physique obéissant à des lois et aucune observation ne dit le contraire, ici ou ailleurs. Aussi, l’étonnant de votre commentaire c’est qu’il exige de moi de se fonder sur la réfutation, tandis que de votre coté vous vous autorisez à vous en passer. Sur quelle base en dehors de ce qu’on appelle l’argument d’autorité ?

    Ainsi vous m’écrivez

    Quelle méthode de connaissance utilisez-vous ? Le préciser rendrait l’échange plus efficace. Pourriez-vous l’indiquer à partir de cet article de synthèse qui liste de nombreuses théories de la connaissance ? 

    C’est écrit dans ma phrase et dans le lien, c’est à dire, l’observation de faits récurrents qui veut que la même cause dans les mêmes conditions, produise le même effet. S’il y a effet différent, il y a modification des conditions. Ensuite, le but est de formaliser cette récurrence par une théorie qui la formalise.

    Je vous ait écrit que vous pouvez faire une infinité d’expériences, elles vous donneront toujours le même résultat. Par exemple, une onde pour exister à besoin d’un milieu porteur, quelle que soit l’échelle et c’est vérifié par toutes les expériences réalisées. Le principe de réfutabilité consiste à prouver l’irréfutabilité par l’expérimentation, car si vous faites la réfutation, alors, votre théorie s’effondre. Popper signale juste que s’il n’existe aucun moyen de faire une expérience de réfutation, vous ne pouvez pas prouver l’irréfutabilité. C’est le cas de ce que vous écrivez sur la serrure et la clé, alors que je m’en tient strictement à ce que dit Popper.Ainsi, pour l’onde, contrairement à ce qu’affirme certains scientifiques, il existe nécessairement un milieu porteur pour les ondes électromagnétiques, même s’il n’est pas observable par des instruments. La réfutation est faites par toutes les formes d’ondes existantes qui nécessitent un milieu porteur et dont les effets sont identiques relativement à leur échelle propre.

     
    Pour ce que vous écrivez sur le pardon, là encore, il ne repose pas en priorité sur la réalité, mais l’imaginaire de chacun par rapport à la réalité des faits sur lesquels il se prononce. Ici, vous prouvez que vous n’arrivez pas à "entrer dans mon mode de raisonnement", mais au contraire refusez d’y entrer. Car le pardon repose sur l’arbitraire de chacun, donc, son imaginaire, selon la conscience ou le sens que chacun donne à son existence, son action en conséquence de sa connaissance.

    Tout un chacun peut affirmer tout ce qu’il veut dans son imaginaire, mais ce n’est que confronté à la réalité, qui obéit à la causalité, que la confirmation ou réfutation peut être faites. D’où le principe de réfutation de Popper !



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    herve_hum 30 octobre 2022 09:36

    @Gaspard Delanuit

    C’est pourtant factuellement faux, car il existe déjà une telle citoyenneté dans sa définition fondamentale, c’est celle décrite dans la charte des droits humains (à laquelle il manque le devoir d’application), mais où il y a ver dans le fruit, c’est le dogme de la propriété privé des moyens de productions, avec comme conséquence la lutte pour l’accaparation et la redistribution des richesses et qui est incompatible avec une citoyenneté universelle telle que décrite dans la charte et qui fait l’unanimité des citoyens de tout pays.

    Le principe fondamental étant celui de l’équité sociale et économique, fondé sur le mérite personnel qui interdit l’exploitation d’autrui à son profit. La manipulation étant d’avoir convaincu une grande partie des citoyens qu’ils étaient en compétition plutôt qu’en coopération. Que l’argent n’était pas fondamentalement le plus puissant moyen d’exploitation d’autrui dans le système actuel. Ici, la responsabilité se substitue à la propriété au delà de soi même, la propriété étant inviolable au niveau de chaque individu. La responsabilité étant défini comme la capacité de répondre de ses droits et devoirs envers autrui, jamais envers soi même car c’est là que réside la souveraineté qui est toujours irresponsable vis vis de soi.

    Reste que selon le principe de fractalisation, comme on peut le voir dans un Etat fédéral, chaque niveau conserve des particularités propres où la loi fédérale porte uniquement sur les valeurs fondamentales, comme le principe d’équité. Où la conservation d’une culture dépend entièrement de la volonté des citoyens à la faire vivre ou la laisser dépérir. Où selon le principe de stratification, une culture mondiale n’est pas en compétition avec les cultures locales telle qu’on peut l’observer partout dans le monde, sauf lorsque des dirigeants font tout pour la détruire.

    La mondialisation est un fait, pas une théorie et pour revenir en arrière, cela passe obligatoirement par le chaos et la guerre. Mais pour éviter que le même système perdure sous une forme plus perverse, la condition est l’interdiction formelle de la prise de pouvoir personnel comme actuellement. La souveraineté ne se délègue pas, car c’est toujours la mise sous tutelle, soit par immaturité soit par sénilité.

    Après, la mise en oeuvre d’une telle société a ses avantages et inconvénients, mais dans l’état actuel, les avantages sont supérieur aux inconvénients, car ce sont toujours les conditions environnementales qui décide.



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    herve_hum 28 octobre 2022 08:27

    @méditocrate

    De pensé creuse, tu en donne un bon exemple, c’est celle de celui qui affirme sans pouvoir démontrer quoi que ce soit.

    Mais il est vrai que chacun est son propre dieu dans son imaginaire, ce n’est que confronté à la réalité qu’il se révèle tel qu’il est.

    Tout ce que j’écris est prouvé empiriquement par la réalité.



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    herve_hum 27 octobre 2022 10:15

    @TchakTchak

    j’ai déjà amplement répondu au travers de mes commentaires précédents, notamment sur le mot unipolaire.

    tout comme pour le reste de votre commentaire pour lequel j’ai déjà montré que cela ne vaut pas et la preuve se trouve au travers de toute l’histoire de l’humanité.

    Autrement dit, je me base exclusivement sur la réalité, la preuve empirique, tandis que vous vous fondez sur une construction imaginaire invalidé par toute l’histoire humaine et particulièrement avec la situation actuelle.

    Mais comme dit le proverbe, il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.



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    herve_hum 27 octobre 2022 10:07

    @méditocrate

    la broderie suppose un canevas où tout dépend de savoir si vous êtes l’auteur du canevas où non. C’est la différence entre toi et moi. Toi, tu peux juste broder en suivant le patron, moi je fais le dessin et ensuite je le brode.

    Ainsi, je t’ai démontré sur la base de la définition du mot, que l’unipolarité ne veut pas dire que ce soit un pôle qui s’impose à d’ autres pôles se situant à la même échelle. L’unipolarité veut juste dire qu’il n’y a qu’un pôle, cela ne dit rien sur sa nature.

    Ce que la réalité démontre de manière empirique, donc, observable partout dès lors où on ne suit pas un patron imaginaire, c’est que la multipolarité ne permet pas d’avoir un droit international qui s’impose, pour cela, il faut nécessairement qu’il y ait détention de la force, donc, unipolarité (ou choisi un autre mot si tu veux, je suis d’accord que c’est secondaire) du droit international face à la multipolarité des droits nationaux dans les relations internationales.



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    herve_hum 27 octobre 2022 09:46

    @Gaspard Delanuit

    relisez moi, j’écris que je reconnais seulement la souveraineté qu’au niveau de l’individu, de chaque humain, au delà, la souveraineté est toujours une relation de domination. Car la souveraineté signifie le libre arbitre dans tout le champ où s’exerce sa souveraineté, comme établir la loi et qui implique la détention de la force. La souveraineté est donc une relation intérieure, mais au delà de soi même, on est toujours dans une relation extérieure, vis à vis d’autrui. Autrement dit, on est toujours à l’intérieur d’une collectivité où la notion de souveraineté s’applique vis à vis d’une collectivité extérieure et où si une collectivité prétend affirmer sa souveraineté sur une collectivité extérieure implique soit de soumettre cette dernière, soit de l’intégrer en son sein. C’est le processus qui a permis la constitution de la plupart des nations. Mais comme une collectivité est toujours la somme des individus qui la compose, soit un individu est reconnu en tant que tel et alors il n’y a pas de souverain, soit il y a un souverain et alors, tous les autres individus sont des sujets ou objets ou cellules de ce souverain.

    Autrement dit, si vous êtes tout seul, votre souveraineté est pleine, par contre, dès lors que vous vivez et partagez un lieu commun avec une autre personne, votre souveraineté ne peut être conservez que par la domination de l’autre, par l’usage de la force, car vous êtes dans une relation extérieure à vous même. Si vous ne voulez pas imposer votre propre souveraineté sur autrui, soit vous devrez vivre séparément, soit vous mettre d’accord sur des règles ou lois portant sur la vie commune. Cela garantie à chacun son espace intime tant qu’il n’empiète pas sur l’espace commun ou intime de l’autre. Mais il vous est interdit de définir seul la loi, sauf par la domination.

    Cela signifie que dans une communauté, la garantie de la souveraineté intérieure (pléonasme d’affirmation) se fait par la soumission à la loi commune et non à un souverain qui établie la loi de manière arbitraire. Tel Macron avec le covid par exemple !

    Dans l’histoire humaine, pour permettre d’ériger des lois communes discriminatoires, l’unique solution consiste à établir des classes sociales (peu importe la forme) de telle sorte qu’à l’intérieur d’une même classe sociale la loi est commune, mais pas vis à vis des autres classes sociales. Ici, on retrouve le théorème selon lequel le plus faible attend toujours de voir le rapport de force s’équilibrer ou s’inverser pour contester et dénoncer la loi qui le discrimine vis à vis de ou des classes supérieures.

    Maintenant, si on revient au sujet de départ, la mutualisation de la force est celle de tous les citoyens de cette planète pour imposer une loi commune la plus juste et équilibré, telle qu’elle existe dans la déclaration universelle des droits humains, excepté ce qui est le ver dans le fruit, c’est à dire, sur le dogme de la propriété qui s’effondre dès lors et est remplacé par la responsabilité individuelle et collective. Autrement dit, vous pouvez parler de souveraineté collective universelle car cela renvoi à la souveraineté individuelle, mais tant que vous conservez l’idée de souveraineté collective particulière, donc, vis à vis d’autres collectivités, alors, vous aurez toujours besoin de chefs de guerre (militaire et économique) détenant les attributs de la souveraineté pour mener le combat face aux autres et devrez toujours accepter d’être pour eux de simples sujets à moins de devenir vous même un chef.

    Aucun système est parfait et contient en lui même ses avantages et inconvénients, mais tout système est adapté à un environnement particulier en dehors duquel les inconvénients deviennent supérieur aux avantages.



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    herve_hum 26 octobre 2022 23:49

    @méditocrate

    Tu affirme sans rien démontrer, ce qui est pour ma part le propre des faibles d’esprits qui veulent se persuader d’en avoir.



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    herve_hum 26 octobre 2022 23:46

    @Gaspard Delanuit

    En effet, même à l’intérieur de son domicile s’il y a d’autres personnes qui y vivent, il y aura des formes de frontières (je l’ai déjà souligné en parlant que défendre sa souveraineté dans son domicile consiste à traiter les autres le partageant comme ses sujets), mais si le principe dans le fond reste invariant, la forme n’a plus rien à voir.

    Cela dit, imaginez que dans votre domicile un des membres laisse la crasse et les mauvaises odeurs envahir les autres pièces ou pire encore, considèrerez vous que vous ne pouvez toujours pas empiéter, pénétrer dans l’intimité de l’autre, alors qu’il empiète sur la votre via les lieux communs ?

    Il en est ainsi à chaque niveau ou échelle relativement aux autres. Ainsi, si un pays envoi ses déchets et sa pollution dans un lieu commun comme un fleuve ou la mer, où est alors le respect de la frontière pour un lieu commun irréductible. La pollution humaine (on oubliera le réchauffement climatique) ne peut être circonscrite à des frontières, même si comme pour le nuage de Tchernobyl le gouvernement français avait affirmé que la douane l’avait arrêté.

    Je l’ai déjà dit, je ne reconnais qu’une seule souveraineté et propriété, celle de chaque individu sur lui même, au delà, la souveraineté est toujours la domination de l’un sur l’autre et l’histoire ne dit pas autre chose et croire le contraire relève de l’imaginaire.

    L’édification des frontières et donc des territoires n’ont rien de naturel, sont une construction intellectuelle humaine et rien d’autre, faite pour permettre à un petite minorité d’exploiter tous les autres. 

    Bref, la frontière d’un pays est celle d’une collectivité et non pas d’un individu et si vous réduisez une collectivité à un individu c’est que vous rétrogradez l’individu au niveau de sujet de celui ou ceux qui auront le contrôle de la collectivité, que ce soit une nation ou une maison qui est déjà un lieu collectif dès lors où vous êtes deux à y vivre. Par contre, vous pouvez toujours défendre le particularisme d’une collectivité, mais on revient au point de départ, c’est à dire où seule la mutualisation de la force permet à chaque collectivité de garantir son particularisme, sans cela, c’est le rapport de force direct entre individus. Qui se résume à la fameuse maxime dont tout l’art diplomatique peut se réduire, soit, diviser (ses ennemis) pour mieux régner et l’union (de ses vassaux ou alliés) fait la force.



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    herve_hum 26 octobre 2022 11:59

    @Gaspard Delanuit

    question absurde dans la mesure où c’est la société dans laquelle nous vivons depuis quelques temps déjà et suffisamment longtemps pour avoir les réponses. Quant à ta "nuance" faut il te faire remarquer que c’était le principe de la conscription ?

    Les réponses sont déjà contenu dans mes précédents commentaires, aussi, inutile de les répéter, comme dit le proverbe, il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir comme Yoananda2.

    De plus, pour celui qui est épris de liberté, toute frontière est une forme de prison et de fait, les frontières entre les humains sont faites pour permettre à une élite de soumettre le reste de la population et s’en servir soit comme chair à travailler soit comme chair à canon contre d’autres "guerriers" au bonheur des maîtres. Mon "esprit guerrier" s’éveille contre toute hiérarchie reposant sur un statut ou classe sociale humaine voulant m’imposer l’obéissance aveugle et s’éteint ou se met en sourdine lorsque la hiérarchie repose sur la compétence et le mérite personnel, qui interdit l’exploitation d’autrui à son profit.

    Pour ma part, l’ennemi n’est pas extérieur ; mais intérieur, c’est celui qui impose la dictature d’une élite et se sert de l’étranger comme justification à sa propre domination et soumission du reste de la population. Sachant que dans tous les autres pays c’est la même chose, m’est avis que l’esprit guerrier du citoyen consiste donc à se débarrasser de cette élite exploiteuse et d’inviter les citoyens des autres pays à faire de même. Alors oui, insuffler cet "esprit guerrier" permettra de se libérer de ces maîtres. Et le conserver en état de veille afin d’éviter de se laisser manipuler via des stratégie de pompier pyromane.

    Bref, je suis d’accord sur le principe de garder l’esprit guerrier en veille comme tu l’écris, mais faut pas se tromper de cible ou de guerre, car ici, le sujet est l’esprit guerrier du citoyen, donc, en société..



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    herve_hum 26 octobre 2022 09:31

    @yoananda2

    ce qui m’est rageant, c’est d’avoir perdu mon temps avec un crétin.

    Mais tu as raison, je t’oublierai vite et t’éviterai à l’avenir.



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    herve_hum 26 octobre 2022 09:29

    @yoananda2

    La liberté implique de vivre en guerrier. 

    Ben ouai ! Tu fais un petit diagramme en 2 colonnes :

    homme libre | homme désarmé

    esclave ____ | homme armé

    petit jeu : tu dois relier d’un trait les 2 éléments de gauche à ceux de droite.

    La liberté telle que tu l’écrit implique de vivre en dehors de la société, car tu ne peux pas vivre en guerrier en tant que flic ou militaire, vu que ce ne sont pas des guerrier mais des fonctionnaires. Dans une société qui impose le non port d’arme aux civils car reposant sur la détention de la force par des corps constitués, chargés d’assurer la liberté relative ou la liberté absolue est en principe interdite.

    Bref, soit pour vivre en accord avec ton idéal de liberté guerrière tu dois ériger ta maison en bunker et sortir armé, soit tout ce que tu écris c’est du vent et t’es guerrier dans ta tête mais pas dans la réalité.

    Je t’invite donc à aller vivre dans une grotte à l’écart de la société !



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    herve_hum 26 octobre 2022 09:10

    @yoananda2

    C’est cela, faute d’argument tu affirme que ce que tu pourrai dire n’aurait aucun sens pour moi. Avec ce genre de discours, inutile qu’il y ait un sens compréhensible par la logique, l’imaginaire n’y étant pas soumis. Mais sache quand même que c’est la ce que disent tous les crétins qui se croient intelligent. Dès qu’ils n’ont pas de réponse, hop, l’autre ne peut pas comprendre, hop, tour de magie intellectuel ou masturbation comme tu dis.

    Reste que tu devrai te poser la question de savoir si ce n’est pas toi qui ne vit pas das une prison mentale, car pour l’instant, c’est moi qui me base sur la réalité et toi sur ton imaginaire, or, une prison mentale est toujours celle de l’imaginaire.



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    herve_hum 25 octobre 2022 19:49

    @herve_hum

    précision utile, je ne vois rien qui justifie d’interdire de posséder une arme à feu chez soi, seulement de sortir de chez soi avec.

    Chez soi, une arme est par destination défensive, car c’est votre lieu de souveraineté (vis à vis de l’extérieur, pas de l’intérieur avec ceux qui vivent sous le même toit, car votre souveraineté ferait des autres vos sujets) hors de chez soi sa destination est offensive. Sauf si vous considérez que c’est le chaos qui règne, mais je ne suis pas sûr que la police sera d’accord, ni la majorité des citoyens !



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    herve_hum 25 octobre 2022 19:11

    @yoananda2

    la ligne de démarcation est simple et je vais te donner une réponse aussi simple que la tienne.

    Selon le principe de causalité que je m’efforce de suivre, la ligne de démarcation se situe entre vivre en société organisé selon le principe de la division du travail... Ou non.

    Ainsi, dans le premier cas la réponse est non, dans le second cas, la réponse est oui. Sauf que c’est le cas où il n’y a pas de société organisé juridiquement, mais sans organisation, c’est à dire, où c’est le chaos qui règne (ou anarchie au regard de l’étymologie du mot et non selon l’idéologie dite anarchiste, le mot panarchie eut été mieux choisi pour ma part, car cette dernière permet l’anarchie, mais cela ne fonctionne pas dans l’autre sens).

    Bref, si la France répond aux caractéristiques d’une société organisé, avec division du travail et où la force supérieure est détenu par le gouvernement via les différents corps armées que sont la police, la gendarmerie et l’armée (je ne parle pas des sociétés de sécurité privé), alors, la réponse est non. Si tu pense le contraire, tu peux alors considérer le second cas !

    Comprendre que le fait de détenir une arme et savoir s’en servir, même en expert, ne garantie pas de se faire blesser ou tuer, violer ou/et voler, etc. Et si on compare les statistiques entre les pays où les citoyens ont le droit d’être armé face à ceux où c’est interdit, il n’y a pas d’avantage à vivre dans un pays où on a le droit d’être armé, c’est souvent le contraire d’ailleurs. A l’intérieur d’une société organisé et qui se veut la plus juste possible, le taux de violence est un bon indicateur quant à savoir si ladite société est plus ou moins juste. La violence est donc le baromètre de l’équilibre et équité socio-économique d’un pays.

    Car vous oubliez le fait que mettre en ordre premier les citoyens et les corps de forces armés privés, implique qu’il n’y ait plus de corps armés supérieur que sont actuellement les forces de police, gendarmerie et armée.

    En réalité, toutes les études montrent que le meilleur moyen de réduire très significativement le taux de violence et le risque d’agression est le niveau de justice sociale et des moyens de satisfaire ses besoins matériels et de valorisation personnelle.
    Vous pouvez toujours vous dire que pour vous, le mieux est de se promener avec une arme et de guetter tout ce qui pourrait justifier de son usage. Mais perso, je préfère oeuvrer pour réduire le risque de telle sorte que j’aurai moins de risque sans arme que vous avec une arme.

    Comme vous dites, je ne spécule pas non plus sur la nature humaine et lorsque j’écris que la loi est toujours celle du plus fort, ce n’est certainement pas une position pacifiste. Ce qui est une position pacifique, c’est de militer pour une société qui favorise la réduction de la violence à son minimum incompressible. Autrement dit, d’agir sur les causes et non sur les conséquences en raison de sa vénération des causes.

    Bref, comme dit la très belle métaphore des deux loups, être armé ou non est toujours une conséquence d’une cause qui met soit le loup intérieur violent comme nourriture, soit le loup paisible. Pour ce dernier, dès que les conditions le permettent, parfois suite à sa propre action, il abandonne le port d’arme, celui qui nourrit la violence refusera toujours de l’abandonner et risquera même de jouer les pompier pyromane.



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    herve_hum 25 octobre 2022 14:43

    @yoananda2

    si vis pacem para bellum.

    Là encore, c’est factuellement faux, c’est ce qu’on appelle un oxymore du même style que dire si tu veux l’amour, prépare la haine, si tu veux le silence, prépare à faire du bruit, etc.

    Si tu veux la paix, prépare la confiance, par contre, si tu veux soumettre, prépare la guerre ou si celui qui prononce la sentence est le faible, alors il pourra dire, si tu ne veux pas te soumettre, prépare la guerre. Mais en aucune manière il s’agit de vouloir la paix, seulement soit vouloir asservir, soit vouloir se défendre contre une volonté d’asservissement. Pour rappel, la phrase vient d’un général chinois sur un traité dans l’art de soumettre sans combattre. Ici, la préparation de la guerre vise à faire peur pour obtenir une soumission sans combattre.

    Pour revenir au mot pacifique, tu donne un sens particulier au mot selon ton propre imaginaire et non selon l’imaginaire commun pour définir un sens commun au mot via son étymologie.

    Les deux mots, pacifique et paisible ont la même racine, soit, le mot paix. Le pacifisme étant une forme d’extrémisme pouvant aller jusqu’à accepter la soumission pour éviter la guerre. Mais le pacifique n’est pas un extrémiste et cela n’implique pas forcément l’acceptation de la soumission, mais la volonté de vivre paisiblement avec son entourage, c’est à dire, selon des règles communes rendant possible et favorisant la paix sociale et qui n’exclut pas d’être prêt à se battre pour permettre l’avènement d’une société paisible où c’est la coopération qui conditionne la compétition, alors que dans le système capitaliste, c’est la compétition qui conditionne la coopération.