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Les commentaires de herve_hum



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    herve_hum 26 octobre 2022 09:29

    @yoananda2

    La liberté implique de vivre en guerrier. 

    Ben ouai ! Tu fais un petit diagramme en 2 colonnes :

    homme libre | homme désarmé

    esclave ____ | homme armé

    petit jeu : tu dois relier d’un trait les 2 éléments de gauche à ceux de droite.

    La liberté telle que tu l’écrit implique de vivre en dehors de la société, car tu ne peux pas vivre en guerrier en tant que flic ou militaire, vu que ce ne sont pas des guerrier mais des fonctionnaires. Dans une société qui impose le non port d’arme aux civils car reposant sur la détention de la force par des corps constitués, chargés d’assurer la liberté relative ou la liberté absolue est en principe interdite.

    Bref, soit pour vivre en accord avec ton idéal de liberté guerrière tu dois ériger ta maison en bunker et sortir armé, soit tout ce que tu écris c’est du vent et t’es guerrier dans ta tête mais pas dans la réalité.

    Je t’invite donc à aller vivre dans une grotte à l’écart de la société !



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    herve_hum 26 octobre 2022 09:10

    @yoananda2

    C’est cela, faute d’argument tu affirme que ce que tu pourrai dire n’aurait aucun sens pour moi. Avec ce genre de discours, inutile qu’il y ait un sens compréhensible par la logique, l’imaginaire n’y étant pas soumis. Mais sache quand même que c’est la ce que disent tous les crétins qui se croient intelligent. Dès qu’ils n’ont pas de réponse, hop, l’autre ne peut pas comprendre, hop, tour de magie intellectuel ou masturbation comme tu dis.

    Reste que tu devrai te poser la question de savoir si ce n’est pas toi qui ne vit pas das une prison mentale, car pour l’instant, c’est moi qui me base sur la réalité et toi sur ton imaginaire, or, une prison mentale est toujours celle de l’imaginaire.



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    herve_hum 25 octobre 2022 19:49

    @herve_hum

    précision utile, je ne vois rien qui justifie d’interdire de posséder une arme à feu chez soi, seulement de sortir de chez soi avec.

    Chez soi, une arme est par destination défensive, car c’est votre lieu de souveraineté (vis à vis de l’extérieur, pas de l’intérieur avec ceux qui vivent sous le même toit, car votre souveraineté ferait des autres vos sujets) hors de chez soi sa destination est offensive. Sauf si vous considérez que c’est le chaos qui règne, mais je ne suis pas sûr que la police sera d’accord, ni la majorité des citoyens !



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    herve_hum 25 octobre 2022 19:11

    @yoananda2

    la ligne de démarcation est simple et je vais te donner une réponse aussi simple que la tienne.

    Selon le principe de causalité que je m’efforce de suivre, la ligne de démarcation se situe entre vivre en société organisé selon le principe de la division du travail... Ou non.

    Ainsi, dans le premier cas la réponse est non, dans le second cas, la réponse est oui. Sauf que c’est le cas où il n’y a pas de société organisé juridiquement, mais sans organisation, c’est à dire, où c’est le chaos qui règne (ou anarchie au regard de l’étymologie du mot et non selon l’idéologie dite anarchiste, le mot panarchie eut été mieux choisi pour ma part, car cette dernière permet l’anarchie, mais cela ne fonctionne pas dans l’autre sens).

    Bref, si la France répond aux caractéristiques d’une société organisé, avec division du travail et où la force supérieure est détenu par le gouvernement via les différents corps armées que sont la police, la gendarmerie et l’armée (je ne parle pas des sociétés de sécurité privé), alors, la réponse est non. Si tu pense le contraire, tu peux alors considérer le second cas !

    Comprendre que le fait de détenir une arme et savoir s’en servir, même en expert, ne garantie pas de se faire blesser ou tuer, violer ou/et voler, etc. Et si on compare les statistiques entre les pays où les citoyens ont le droit d’être armé face à ceux où c’est interdit, il n’y a pas d’avantage à vivre dans un pays où on a le droit d’être armé, c’est souvent le contraire d’ailleurs. A l’intérieur d’une société organisé et qui se veut la plus juste possible, le taux de violence est un bon indicateur quant à savoir si ladite société est plus ou moins juste. La violence est donc le baromètre de l’équilibre et équité socio-économique d’un pays.

    Car vous oubliez le fait que mettre en ordre premier les citoyens et les corps de forces armés privés, implique qu’il n’y ait plus de corps armés supérieur que sont actuellement les forces de police, gendarmerie et armée.

    En réalité, toutes les études montrent que le meilleur moyen de réduire très significativement le taux de violence et le risque d’agression est le niveau de justice sociale et des moyens de satisfaire ses besoins matériels et de valorisation personnelle.
    Vous pouvez toujours vous dire que pour vous, le mieux est de se promener avec une arme et de guetter tout ce qui pourrait justifier de son usage. Mais perso, je préfère oeuvrer pour réduire le risque de telle sorte que j’aurai moins de risque sans arme que vous avec une arme.

    Comme vous dites, je ne spécule pas non plus sur la nature humaine et lorsque j’écris que la loi est toujours celle du plus fort, ce n’est certainement pas une position pacifiste. Ce qui est une position pacifique, c’est de militer pour une société qui favorise la réduction de la violence à son minimum incompressible. Autrement dit, d’agir sur les causes et non sur les conséquences en raison de sa vénération des causes.

    Bref, comme dit la très belle métaphore des deux loups, être armé ou non est toujours une conséquence d’une cause qui met soit le loup intérieur violent comme nourriture, soit le loup paisible. Pour ce dernier, dès que les conditions le permettent, parfois suite à sa propre action, il abandonne le port d’arme, celui qui nourrit la violence refusera toujours de l’abandonner et risquera même de jouer les pompier pyromane.



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    herve_hum 25 octobre 2022 14:43

    @yoananda2

    si vis pacem para bellum.

    Là encore, c’est factuellement faux, c’est ce qu’on appelle un oxymore du même style que dire si tu veux l’amour, prépare la haine, si tu veux le silence, prépare à faire du bruit, etc.

    Si tu veux la paix, prépare la confiance, par contre, si tu veux soumettre, prépare la guerre ou si celui qui prononce la sentence est le faible, alors il pourra dire, si tu ne veux pas te soumettre, prépare la guerre. Mais en aucune manière il s’agit de vouloir la paix, seulement soit vouloir asservir, soit vouloir se défendre contre une volonté d’asservissement. Pour rappel, la phrase vient d’un général chinois sur un traité dans l’art de soumettre sans combattre. Ici, la préparation de la guerre vise à faire peur pour obtenir une soumission sans combattre.

    Pour revenir au mot pacifique, tu donne un sens particulier au mot selon ton propre imaginaire et non selon l’imaginaire commun pour définir un sens commun au mot via son étymologie.

    Les deux mots, pacifique et paisible ont la même racine, soit, le mot paix. Le pacifisme étant une forme d’extrémisme pouvant aller jusqu’à accepter la soumission pour éviter la guerre. Mais le pacifique n’est pas un extrémiste et cela n’implique pas forcément l’acceptation de la soumission, mais la volonté de vivre paisiblement avec son entourage, c’est à dire, selon des règles communes rendant possible et favorisant la paix sociale et qui n’exclut pas d’être prêt à se battre pour permettre l’avènement d’une société paisible où c’est la coopération qui conditionne la compétition, alors que dans le système capitaliste, c’est la compétition qui conditionne la coopération.



  • 2 votes
    herve_hum 25 octobre 2022 10:01

    @yoananda2

    Il n’y a eu qu’un seul pacifisme qui existe tout au long de l’histoire : celui des gens "pacifiés", c’est-à-dire, les esclaves. Les pacifistes actuel sont carrément nés dans l’esclavage, ils ne connaissent pas la liberté et ce qu’elle implique.

    Là encore, c’est factuellement faux, car 80 % des citoyens de tout pays sont de nature pacifique dans la mesure où ils aspirent d’abord à vivre en paix relationnelle avec leur voisin, que ce soit leur voisin de palier ou de pays. Seulement par définition, le pacifique n’est pas vindicatif, violent et cupide au delà du principe du mérite personnel, car cela engendre l’injustice et donc la violence.

    De plus, l’esclave n’est pas "pacifié" il est soumis, contraint, souvent brisé dans sa volonté, mais certainement pas "pacifié".

    Pour finir, la liberté en société est relative, si tu veux que ta liberté soit absolue, il te faut devenir un despote et imposer ta propre liberté aux autres par la violence ou/et la manipulation.

    Une société qui veut garantir à chacun la liberté, doit garantir à chacun la souveraineté absolu de son propre corps et la propriété de son temps de vie ou choix de vie. Mais une fois ce choix fait, celui-ci est contraint par les choix de vie des autres et c’est le principe de responsabilité sociale qui est défini ici comme la capacité de répondre de ses droits et devoirs envers autrui.

    La liberté en société s’arrête là où se pose la question de celle d’autrui, tant que la question ne se pose pas, la liberté doit être totale.



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    herve_hum 25 octobre 2022 09:45

    @juanyves

    Le problème est que tu n’arrive pas à voir l’aporie de ton raisonnement.

    ainsi tu écris " néamoins l’application de la force n’a lieu que dans le cas du non respect de la loi internationale ou nationale.

    "

    Mais il en est ainsi à toute les échelles, c’est à dire que cela vaut tout autant à l’intérieur d’un pays ou d’une communauté vivant en autarcie ou dans une civilisation extra terrestre n’importe où dans l’Univers. Mais pour se faire, la condition est que la force soit détenu par ceux qui ont en charge de faire appliquer la loi et non par un ou groupe d’acteurs ou comme actuellement, que chaque acteur dispose de sa propre force pouvant être opposé aux autres, dans ce cas là, le droit est caduque de fait.

    Mais ce que tu t’obstine à nier car tu n’oppose aucun contre argument, c’est que la loi est toujours celle du plus fort dans tous les cas de figure. La différence étant de savoir si cette force est celle de la communauté où chaque acteur est contraint de s’y soumettre ou bien si la force est détenu par chaque acteur, auquel cas, le droit dit international est appliqué de manière arbitraire, en fonction de l’évolution des intérêts particuliers des acteurs et non selon l’intérêt général défini par le droit international.

    Mais cela dit clairement que la multipolarité soutenu par Poutine n’est rien d’autre que l’état du monde actuel où chaque acteur respecte ou non le droit selon l’évolution de ses propres intérêts et non en respect strict du droit international, qui nécessite de manière absolue la détention de la force d’application.

    Ainsi, parler de création de ce monde multipolaire est totalement absurde dans la mesure où c’est l’état du monde actuel et ce, depuis des millénaires. La création d’un monde différent est donc celui d’un monde unipolaire où tous les acteurs sans exception se soumettent à la loi, droit international et certainement pas où chaque acteur conserve la force, car ce sera toujours le même monde multipolaire où seul le rapport de force entre les acteurs prime sur le droit international qui est dans ce cas là une coquille vide.

    Bref, ce que tu écris et avec toi la très large majorité des opposants déclarés au dictat des dirigeants US, consiste juste à vouloir changer d’âne en croyant qu’il sera plus docile. Ce qui est absurde, car la Russie de Poutine repose sur les mêmes fondements politique et économique que les USA de Biden ou Trump ou Jimping, etc.

    Je le répète, seuls la volonté des citoyens de tous les pays peut changer l’état du monde actuel et contraindre leur propre dirigeants à devoir se plier au droit international, mais cela suppose que chaque citoyen renonce à soit conserver un avantage acquis, soit à vouloir l’obtenir pour permettre l’avènement d’une société fondé sur le principe du mérite personnel, qui interdit de facto l’exploitation du mérite d’autrui à son profit, fondement du système capitaliste et raison d’être de la propriété privé des moyens d’exploitations et de son financement.

    En conclusion, les opposants comme toi son du pain béni pour les dirigeants, car face à votre propre injonction contradictoire, vous interdisez toute prise de conscience des citoyens qui aspirent seulement à vivre en paix relationnelle avec leurs voisins.



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    herve_hum 24 octobre 2022 14:17

    @herve_hum

    La démocratie repose essentiellement sur le respect du droit


    Factuellement faux ! en tout pays, que ce soit une démocratie ou une dictature, le droit repose sur la détention de la force d’application, sans cela, c’est le chaos ou chacun peut définir donc être son propre pôle du droit. Car le respect tel que tu le vois ici étant une adhésion, il ne s’applique pas à ceux qui n’y adhèrent pas, or, c’est par la soumission qu’un gouvernement peut faire respecter le droit à tous.

    Ainsi, pour soumettre les dirigeants US ou autre au droit international, cela nécessiterait la mutualisation de la force, sauf qu’aucun dirigeant ayant l’intention de respecter ce même droit, il ne peut pas y avoir union de la force, mais seulement division avec des coalitions de pôles contre d’autres pôles.

     de fait, seuls les citoyens de chaque pays peuvent imposer réellement à leur propre dirigeant le devoir de soumission au droit international, qui impose le respect du citoyen, mais cela implique qu’ils l’appliquent à eux même. Or, ce n’est pas du tout le cas, les citoyens considérant d’abord leur propre soumission à leurs propres dirigeants avant le souci de justice et d’équité vis à vis des citoyens des autres pays, les uns voulant conserver leur avantages acquis, les autres voulant obtenir les mêmes avantages.



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    herve_hum 24 octobre 2022 14:03

    @juanyves

    Pour ma part, accuser l’autre de masturbation intellectuelle est une forme de sophisme et de faiblesse argumentaire. Mais il faut d’abord commencer par dire ce qu’est une masturbation intellectuelle, c’est à dire, où il s’agit de vouloir imposer son propre imaginaire à la réalité. Car la masturbation repose sur l’imaginaire. Or, contrairement à toi ou à meditocrate, tout ce que j’écris s ’appui strictement sur la réalité. Encore qu’il faille reconnaître que la réalité s’appuie exclusivement sur la logique causale sans laquelle il n’y a pas de réalité possible, mais seulement l’imaginaire.

    Pour le sujet qui nous intéresse ici, la logique causale dit que la loi est toujours celle du plus fort et c’est un fait vérifiable empiriquement partout, à toutes les échelles et dans tous les domaines de la réalité observable. Ainsi, quand tu écris " Nos démocraties sont toutes multipolaires (droite, centre, gauche) et elles ne supposent pas nécessairement la force pour appliquer le droit. La démocratie repose essentiellement sur le respect du droit

    " c’est factuellement faux et relève du seul imaginaire.

    En effet, c’est la détention du contrôle des forces de polices et de l’armée qui impose l’application du droit qui est UNIPOLAIRE dans tout pays, sous peine d’être un droit discriminatoire où cette "multipolarité du droit" crée alors une tension permanente. C’est ce qui est observé lorsque les disparités sociales sont trop grandes malgré le droit, ceci, parce que le droit est alors considéré comme discriminatoire avec un pôle pour l’élite et un autre pour les autres. Sans la détention de la force d’application c’est le chaos et c’est ce qui est observé partout où la force publique est absente ou trop faible. Car la loi est toujours celle du plus fort !

    Ici, il ne s’agit donc pas d’hypothèse, mais de logique causale.

    Un monde multipolaire ne peut pas être basé sur le respect mutuel, car il interdit d’avoir un cadre juridique commun qui implique un monde unipolaire vis à vis de ce cadre. C’est ce que je répète depuis le début et ni toi ni meditocrate avez été en mesure de contredire ce fait là, seulement de le nier. Prend le cadre juridique de l’ONU, il n’admet pas en son principe la domination d’un pôle sur un autre, mais la soumission de tous les pôles au droit international. Mais comme il n’y à pas détention de la force d’application, c’est la multipolarité avec le rapport de domination qui prévaut. Voilà pourquoi même les pires dictateurs n’ont pas craint de signer cette déclaration de pacotille car sans la force d’application. Tout comme un billet de banque est une monnaie réelle par la force d’imposition de celle-ci.

    Le hic pour l’élite actuelle, c’est que la mondialisation implique la fin du capitalisme et avec lui la chute de l’élite bourgeoise, aussi, le but est de créer un monde bipolaire tel que décrit par Orwell. Car la justification de la soumission à une élite exploiteuse est l’état d’urgence permanent, soit par le risque de guerre imminent, soit par l’état de guerre. En ceci, Macron à bien appris sa leçon !



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    herve_hum 24 octobre 2022 09:41

    @méditocrate

    unipolaire contient deux mots, uni pour un et polaire pour pole, or,selon wikipedia pole veut dire " Issu du grec πόλος via le latin polus, le mot pôle désigne à l’origine un axe, une extrémité ou un centre (de rotation, notamment). Il peut aujourd’hui désigner un point, un objet ou un concept considéré comme central, dans différents contextes.

    Ce qui invalide ce que vous me répondez et pour preuve, pour parler de deux pôles on parle de dipole ou bipolaire.

    Ceci étant dit, vous ne donnez aucun contre argument car vous n’en avez pas, seulement vous voulez imposer votre propre imaginaire sur la réalité, ce qui est strictement impossible, sauf vis à vis de l’imaginaire d’autres personnes, mais pas face à la réalité qui obéit à la causalité et elle seule. Il est donc très facile de manipuler les imaginaires et c’est un fait de l’humanité depuis quelques milliers voir centaines de milliers d’années, mais il est impossible de manipuler la réalité elle même, seulement d’apprendre à s’en servir comme outil.

    Le cadre est donc effectivement un outil, mais mon poste initial était de souligner que ce cadre doit être unique pour tous ceux qui l’utilisent car sans cela, il n’a aucune valeur et ne sert à rien. Et que pour s’imposer à ses membres, il doit disposer de la force supérieure, sans cela il est caduque avant même d’être établi.

    Bref, sauf à pouvoir me démontrer qu’UN cadre juridique peut avoir plusieurs pôles juridiques, peut fonctionner et avoir une quelconque utilité, c’est une aporie du raisonnement.

    Vous pouvez vérifier, toute coopération repose sur un accord écrit ou verbal où les protagonistes définissent UN cadre juridique où le cadre juridique de chaque pôle devra se plier, condition sine qua non pour qu’il y ait accord de coopération. C’est une forme de Lapalissade que vous contestez ici !



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    herve_hum 23 octobre 2022 09:13

    @méditocrate

    ici, vous confondez le cadre juridique avec les acteurs de ce cadre.

    Ce n’est pas les acteurs qui sont unipolaires, c’est le cadre qui doit l’être, sans cela, il est alors impossible pour tout acteur de connaître les règles communes définies par le cadre juridique et de fait, ce dernier n’a alors aucun sens.

    Bref, les acteurs peuvent être autant que vous voulez en nombre, cela peut être pour toute l’humanité, le cadre par contre se doit d’être unipolaire sans cela, il n’y a pas de cadre juridique si ce n’est celui que chacun définit pour lui même.

    Maintenant, le principe de la soumission volontaire est celui qui régit le cadre juridique actuel définie par l’ONU. Or, chacun peut voir que cela renvoi au cadre juridique de chacun et où le cadre commun est caduque, car sans disposer de la force d’application un cadre juridique quelconque n’a aucune valeur réelle. Les dirigeants US disposant de cette force supérieure ont appliqué leur propre cadre juridique et l’ont imposé aux autres, jusqu’à ce qu’un ou groupe de dirigeants d’autres pays deviennent suffisamment fort pour le contester. C’est la situation actuelle.

    La réalité est ainsi faites qu’elle n’obéit pas à l’imaginaire, mais à la causalité qui veut que la loi est toujours celle du plus fort ou plutôt, disposant de la plus grande force. Le plus faible ne pouvant que conditionner le cadre de sa soumission.

    Je résume le principe ainsi

    Dans un rapport de domination, la loi (cadre juridique) est toujours les concessions faites par le plus fort au plus faible en échange de sa soumission où le plus fort se réserve le "droit" de déroger à la loi voir de l’abroger selon l’évolution de ses propres intérêts, tandis que le plus faible se doit de respecter strictement la loi sous peine de sanction plus ou moins sévère. Le plus faible attendant que le rapport de force s’équilibre ou s’inverse pour contester voir dénoncer l’accord.

    Or, la multipolarité consistant à conserver la souveraineté, donc, son propre cadre juridique au niveau international face aux autres dirigeants, repose sur le rapport de domination et où il n’y a pas de soumission volontaire qui tienne, mais toujours une soumission contrainte.



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    herve_hum 22 octobre 2022 18:48

    @méditocrate

    Il me semble que votre réponse oubli juste de répondre à l’argument présenté, c’est à dire, le fait qu’un cadrer juridique est en lui même une forme d’unipolarité, sans cela, il ne peut pas exister de "cadre juridique permettant à des nations de fonctionner en coopération".

    Chaque pays est un cadre juridique unipolaire et définir le cadre juridique pour des nations, au delà donc du cadre de chaque pays, ne peut pas porter sur un cadre juridique autre que dire les cas d’agression et non agression, au delà, il s’agit d’un cadre juridique unipolaire. L’aporie du raisonnement consiste à nier la causalité, là où elle est l’ordre premier, directeur de toute force d’action.

    Bref, prouvez moi que le principe exposé ici est différent fondamentalement plutôt que formellement et je reconnaîtrai que l’argument ne tient pas.

    Car en logique causale un principe établit reste invariant fondamentalement, seule la forme change continuellement. Mais selon l’échelle ou le domaine auquel il s’applique, la forme change totalement ! De fait, l’échelle mondiale n’est pas l’échelle nationale et la forme change radicalement, mais fondamentalement, définir un cadre juridique consiste à définir une unipolarité juridique, sauf le cas de l’exclusion juridique.



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    herve_hum 21 octobre 2022 09:42

    Anne Laure Bonnel illustre bien l’aporie du raisonnement consistant à soutenir la multipolarité du monde et de l’autre vouloir que cette multipolarité fasse émerger une forme d’unipolarité basé sur le dialogue et un droit international qui ne peut exister qu’à la seule et unique condition de détenir la force d’application qui implique donc l’unipolarité de la force, car la multipolarité l’interdit de facto.

    Bref, confondre la volonté de domination d’une élite face à d’autres élites et la volonté de justice de la très large majorité de la population mondiale, quel que soit le pays et dont le principe repose sur l’éthique de réciprocité et du mérite personnel, qui interdit de facto l’exploitation d’autrui à son profit.

    le problème insoluble est donc de vénérer les causes dont on déplore les conséquences.



  • 2 votes
    herve_hum 20 octobre 2022 12:22

    @Jean Keim

    il y a dans cette affaire plus de mensonges que de vérités, bien aveugle celui qui n’y voit que pouic !

    Et surtout de remarquer que c’est le gouvernement qui a donné le la du mensonge et du complot, car apposer le secret défense sur une question de santé publique ne peut trouver comme seule raison la volonté de mentir et manipuler la population où la question de santé publique sert des intérêts autres que la santé publique. Si c’est un point de vue "complotiste", alors, il faut pouvoir montrer la nécessité du secret défense, sans cela, le complot est avéré, peu importe son contenu.

    Par définition, la santé publique ne peut pas être une affaire privé comme l’est tout ce qui est affublé du fumeux "secret défense" (de regarder).

    Sauf bien entendu s’il est avéré qu’il fallait cacher la stratégie du chef de guerre gouvernemental au virus, par crainte qu’il adapte sa propre stratégie en conséquence.



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    herve_hum 20 octobre 2022 09:07

    @Jean Keim

    il y a bien eut une épidémie de covid, pour ma part, le nier consiste à se tirer une balle dans le pied. Par contre, elle a été bien moins virulente qu’annoncé. Cela ne dit rien sur l’origine du virus, mais il y a bien eut épidémie.

    Pour ma part, une épidémie qui tue essentiellement des vieux est une "bonne" épidémie, une mauvaise, la pire de toute est celle qui s’en prend aux jeunes. J’écris cela alors que je suis plus vieux que jeune.

    Le mieux étant qu’il n’y ait pas eut d’épidémie bien évidemment.



  • 2 votes
    herve_hum 20 octobre 2022 08:53

    @Jean Keim

    nono donne la réponse. J’écris vaxxin pour un produit qui n’a pas fait la preuve de son efficacité concernant toute la population pour laquelle il est administré. Dont les données statistiques montre que pour les populations en dessous de 50 ans le bénéfice laisse la place au risque et en dessous de 30 ans, le risque est multiplié et le bénéfice totalement inexistant, sauf bien entendu pour les actionnaires des labos et ceux et celles qui se laissent ou ne demandent qu’à se laisser corrompre.



  • 3 votes
    herve_hum 19 octobre 2022 18:09

    @Jean Keim

    j’ai bien aimé aussi le fait qu’il n’existe pas à ce jour de vaccin par injection contre un virus respiratoire pouvant empêcher sa transmission par les voies respiratoires.

    Bref, il était inutile de faire des tests là dessus,c’était de l’argent perdu, où un spécialiste disant que le vaxxin anti covid pouvait stopper la transmission savait très bien qu’il disait un gros mensonge. Tel le fameux pdg de Pfizer



  • 2 votes
    herve_hum 19 octobre 2022 18:03

    @Jean Keim

    le sujet est complexe et les spécialistes reconnaissent que la connaissance actuelle reste encore très partielle.

    Reste que le docteur André Gernez, co découvreur du fonctionnement des cellules souches dit ou plutôt disait, que le système de défense immunitaire est définit durant les 2 premières semaines de vie d’un bébé quant à sa capacité à combattre les allergènes, après, il est figé pour la vie.

    Le problème de la vaccination des bébés et des enfants, c’est les effets secondaires à long termes.

    Dans le documentaire, un intervenant souligne la corrélation entre la baisse des maladies infectieuses dû en partie à la vaccination (l’hygiène ayant sa part) et l’explosion des maladies auto immune.

    Il n’y a pas de preuve de causalité, car d’autres raisons sont possibles, voir la combinaison de causes.

    Quoiqu’il en soit, les intervenants en appellent à la raison, c’est à dire à la science et le souci de la santé publique qui veut que la politique vaccinale actuelle est à revoir, notamment sur la quasi absence d’études de bénéfice/risques ou de la vaccination de masse sans discernement lié à la dangerosité du virus selon les cas (sauf pour les actionnaires des labos qui vendent leur vaccin comme on vend de la lessive, non par souci de santé publique, mais de profit privés.)



  • 3 votes
    herve_hum 19 octobre 2022 16:12

    Bon documentaire, qui montre que la vaccination de masse répond surtout à des intérêts de profits et non de santé publique.

    Les intervenants sont tous pro vaccination, mais pas de manière aveugle. Pas sans évaluation réelle du rapport bénéfice/risque. Pas sans la transparence. Pas pour des infections bénines. Pas pour manipuler les citoyens...



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    herve_hum 19 octobre 2022 10:02

    Quelle est la loi de l’Univers ?

    la réponse est élémentaire, c’est le principe de causalité !

    Ce principe énonce quelques lois fondamentales vérifiable à toutes les échelles et dans tous les domaines, sans exception, même au niveau de ce que l’on nomme le surnaturel, c’est à dire, l’imaginaire.

    L’imaginaire est la dimension où la causalité est inversée, c’est à dire, est un ordre secondaire obéissant à l’imaginaire de l’être.

    Pour saisir, on peut faire appel à Philip K Dick écrivant "la réalité c’est tout ce qui continue d’exister lorsqu’on cesse d’y croire"..

    Paraphrasez cette phrase par "la réalité c’est tout ce qui continue d’obéir à la causalité lorsqu’on cesse d’y croire" et vous constaterez qu’elles sont la définition d’un même phénomène.