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Les commentaires de BA



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    BA 24 avril 2021 01:47

    Inde : 330 000 nouveaux cas et 2000 morts en 24 heures, 187 000 morts au total.


    L’Inde submergée par la pandémie, état d’urgence à Tokyo à trois mois des Jeux Olympiques.


    L’Inde s’enfonçait vendredi dans une crise sanitaire majeure, ses hôpitaux submergés appelant à l’aide face à une explosion de l’épidémie de Covid-19, tandis que le Japon décidait un nouvel état d’urgence notamment à Tokyo à trois mois des Jeux olympiques.


    A New Delhi, confinée jusqu’à lundi, des hôpitaux manquant d’oxygène lancent des appels quotidiens au gouvernement indien pour qu’il fournisse d’urgence des réserves afin d’alimenter des centaines de patients placés sous respirateur.


    "Vingt-cinq patients sont morts au cours des dernières 24 heures. Plus que deux heures d’oxygène. Une crise majeure est probable. La vie de 60 autres patients est en danger, une intervention urgente est nécessaire", a averti le directeur médical de l’hôpital Sir Gangaram de New Delhi.


    "SOS - Moins d’une heure d’approvisionnement en oxygène au Max Smart Hospital et au Max Hospital Saket", a tweeté Max Healthcare, l’une des plus grandes chaînes d’hôpitaux privés, tôt vendredi.


    Après la mort de 22 malades dans un hôpital, en raison d’une coupure d’alimentation en oxygène, treize autres sont décédés vendredi dans l’incendie d’un hôpital de la banlieue de Bombay, la capitale économique de l’Inde.


    Le pays de 1,3 milliard d’habitants, au système de santé vétuste, a enregistré en 24 heures un nouveau record de contaminations, avec 330.000 cas et 2.000 décès.


    Près de 3,5 millions de contaminations ont été recensées en Inde depuis début avril, notamment imputées à une "double mutation" du virus et à des événements de masse, comme la fête religieuse hindoue Khumb Mela qui a rassemblé des millions de pélerins.


    Si la flambée enregistrée cette semaine en Asie est liée principalement à la situation en Inde, le Népal a aussi connu une progression fulgurante de l’épidémie (+ 242 %), avec 1.400 nouveaux cas quotidiens.


    A trois mois des Jeux olympiques, le Japon inquiète aussi : l’état d’urgence va être appliqué à Tokyo et dans trois autres départements (Kyoto, Osaka et Hyogo), à partir de dimanche et au moins jusqu’au 11 mai, a annoncé vendredi le Premier ministre Yoshihide Suga.


    Les établissements servant de l’alcool devront cette fois fermer leurs portes, ainsi que les grands magasins.


    La lenteur de la vaccination alimente aussi les doutes sur la capacité du Japon à organiser les JO dans moins de cent jours, 1,5 million de personnes ayant reçu une première dose à la date de mercredi et seulement 827.000 étant totalement vaccinées, soit moins de 0,7 % de la population.


    La détection du variant "indien" en Belgique inquiète en Europe, désormais orientée vers l’allègement des restrictions. 21 étudiants indiens arrivés mi-avril en Belgique, via l’aéroport parisien de Roissy, ont été testés positifs à ce variant et placés en quarantaine.


    Les Etats-Unis déconseillent les voyages en Inde, même pour les personnes vaccinées, et le Canada a suspendu pendant 30 jours dès vendredi les vols en provenance d’Inde et du Pakistan.


    Et si le Royaume-Uni a interdit d’entrée les voyageurs arrivant d’Inde, la France leur impose un isolement obligatoire de dix jours.


    https://www.lepoint.fr/monde/virus-etat-d-urgence-a-tokyo-a-trois-mois-des-jo-l-inde-s-enfonce-dans-la-crise-sanitaire-23-04-2021-2423498_24.php




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    BA 23 avril 2021 20:40

    A propos du double mutant indien :


    Covid-19. La panique monte en Inde face à la nouvelle vague.


    La fulgurance de la deuxième vague de Covid-19 laisse désemparées de plus en plus de grandes villes d’Inde. Les hôpitaux sont saturés, l’oxygène manque, on meurt faute de soins… Reportage à Bangalore, la capitale du Sud du pays.


    Il y a encore un mois, les habitants de Bangalore savouraient un doux retour à l’insouciance, face à un virus en voie de disparition. Aujourd’hui, comme ailleurs en Inde, ils sont gagnés par la panique. « En une semaine, ma tante de 37 ans est morte, ma meilleure amie a attrapé le Covid, ainsi que ma boss ! » raconte Shweta, 29 ans. La designeuse dans une grande entreprise textile travaille chez elle, où elle vit seule. « Je n’ose plus sortir. Chaque jour, une connaissance tombe malade ! »


    La ville est comme foudroyée par une vague de Covid sans rapport avec celle du printemps 2020. « Le virus est hors de contrôle », a reconnu B.S. Yediyurappa, ministre en chef de l’État du Karnataka, qui vient d’être infecté pour la seconde fois, après avoir contracté le Covid l’été 2020, et malgré une première injection récente du vaccin…


    « On manque de tout : lits, soignants, oxygène, médicaments et même de places dans les crématoriums et les cimetières. Les hôpitaux sont débordés. On croule sous les patients et cela ne va faire qu’empirer car, contrairement à la vague de 2020, il n’y a plus de quarantaine, plus de traçage des contacts, plus de centre d’isolement », décrit le docteur Taha Mateen, directeur de l’hôpital privé HBS, où une centaine de malades sont hospitalisés. En mars, tous ses lits Covid étaient vides.


    « Il y a d’abord eu une pénurie de lits, puis de médicaments, et maintenant d’oxygène », témoigne un médecin d’un hôpital public qui veut rester anonyme sur ce sujet sensible. Sans les précieuses bouteilles, impossible de traiter les cas les plus critiques. On meurt faute d’oxygène. À court de ravitaillement, les hôpitaux tentent d’échanger des patients ou… le marché noir.


    En urgence, le Karnataka a demandé 1 500 tonnes d’oxygène au gouvernement central. En attendant, les proches de malades lancent des bouteilles à la mer, sur Internet. Des habitants leur répondent avec des listes de numéros à joindre pour récupérer, ici une bouteille, là des médicaments… Au total, Bangalore (12 millions d’habitants) comptait, jeudi 22 avril 2021, 87 000 malades du Covid.


    Ce chiffre est un minimum, car les tests manquent aussi. « Nous ne parvenons pas à faire face à l’énorme demande de tests, car nous sommes dépendants de matières premières du Japon », témoigne Charu Krishnamoorthy, qui travaille pour un producteur local de tests PCR.


    Bangalore est à l’image du reste de l’Inde. Mercredi 21 avril, 314 835 nouvelles contaminations ont été officiellement comptabilisées, record mondial. C’est six fois plus qu’il y a un mois, deux fois plus qu’il y a quinze jours, et sans doute en dessous de la réalité.


    Malgré cela, les autorités du Karnataka veulent éviter un nouveau reconfinement strict. Il y a un an, il avait provoqué un terrible exode des travailleurs migrants fuyant la ville faute de subsistance. Les restrictions décidées s’en rapprochent néanmoins de plus en plus. La ville est sous couvre-feu à partir de 20 h et sera confinée ce week-end.


    https://www.ouest-france.fr/monde/inde/covid-19-la-panique-monte-en-inde-face-a-la-nouvelle-vague-cfd1efc6-a376-11eb-b196-49a3371759cb




  • 1 vote
    BA 22 avril 2021 02:00

    Le « double mutant » indien est déjà arrivé au Royaume-Uni, en Irlande, Allemagne, Italie, Espagne, Belgique.


    Le variant indien, qui semble plus contagieux, comporte plusieurs mutations qui inquiètent les chercheurs

    Les médias indiens le surnomment le « double mutant ». Le variant indien est surveillé de très près par les autorités, alors que la situation sanitaire se dégrade rapidement en Inde avec près de 260 000 personnes contaminées en seulement 24 heures lundi et une moyenne de 233 000 nouveaux cas quotidiens depuis une semaine.

    Apparu en octobre 2020 près de Nagpur dans le centre du pays, ce variant appelé B.1.617 serait responsable d’environ 11 % des contaminations et d’une nouvelle vague en Inde. Il serait aussi très présent au Royaume-Uni et se diffuse en Allemagne, en Belgique ou en Irlande.


    Quelle dangerosité ?


    Ce variant est surnommé « double mutant » car il contient deux mutations : une mutation L452R, que l’on retrouve dans le variant californien et une autre E484Q, qui est proche de la mutation E484K présente dans les variants sud-africain et brésilien. Mais l’appellation de « double mutant » est controversée. La souche B.1.617 comporte aussi d’autres mutations qui préoccupent les chercheurs.

    Pour l’instant, ce virus reste majoritairement présent dans l’État du Maharashtra, où se situent les villes de Nagpur et de Bombay. La prévalence du variant serait de 55 % dans cet État, alors qu’elle oscille entre 2 et 10 % dans le reste du pays. « Il a l’air d’être particulièrement contagieux, mais les études ne disent pas si sa forme est plus grave que les autres », affirme l’épidémiologiste Catherine Hill à 20 minutes.

    « Certaines des mutations qu’il porte ont été décrites dans d’autres lignées de variants et pourraient être associées à une contagiosité plus élevée voire à un échappement immunitaire » précise au Huffington Post Samuel Alizon, directeur de recherche au laboratoire maladies infectieuses et vecteurs du CNRS.


    Quelle résistance aux vaccins ?


    Si la contagiosité du variant semble plus élevée, il faut encore rester prudent sur sa résistance aux vaccins. « Personne ne connaît à ce stade la dangerosité du B.1.617, ni sa résistance ou non aux vaccins », assure au Monde Rakesh Mishra, directeur du Centre de biologie moléculaire et cellulaire (CCMB). « A priori, l’immunité développée par une première contamination ou par le vaccin paraît à même de faire barrage à ce double mutant, mais cela demande confirmation « , ajoute-t-il.

    Si le variant indien comporte plusieurs mutations de virus, il n’est pas pour autant un recombinant de deux autres types de virus. Le variant comporte « une mutation qui le rend plus contagieux et une mutation qui le rendrait moins accessible au système immunitaire. C’est-à-dire à la protection vaccinale » explique à RFI le microbiologiste Patrick Berche. Là encore, il faudra attendre avant d’en savoir plus.


    Quelles mesures internationales ?


    Face aux inquiétudes, le Royaume-Uni vient d’interdire les voyageurs en provenance d’Inde, à l’exception de ses résidents. Le gouvernement français réfléchit pour sa part à mettre en place des restrictions. « Si nous devons prendre une mesure sur l’Inde, nous la prendrons », a affirmé Clément Beaune, Secrétaire d’Etat chargé des affaires européennes sur Franceinfo.


    https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/monde/covid-19-que-sait-on-sur-le-variant-indien-qualifie-de-double-mutant-2209216.php



  • 1 vote
    BA 22 avril 2021 01:58

    Le « double mutant » indien est déjà arrivé au Royaume-Uni, en Irlande, Allemagne, Italie, Espagne, Belgique.


    Le variant indien, qui semble plus contagieux, comporte plusieurs mutations qui inquiètent les chercheurs

    Les médias indiens le surnomment le « double mutant ». Le variant indien est surveillé de très près par les autorités, alors que la situation sanitaire se dégrade rapidement en Inde avec près de 260 000 personnes contaminées en seulement 24 heures lundi et une moyenne de 233 000 nouveaux cas quotidiens depuis une semaine.

    Apparu en octobre 2020 près de Nagpur dans le centre du pays, ce variant appelé B.1.617 serait responsable d’environ 11 % des contaminations et d’une nouvelle vague en Inde. Il serait aussi très présent au Royaume-Uni et se diffuse en Allemagne, en Belgique ou en Irlande.


    Quelle dangerosité ?


    Ce variant est surnommé « double mutant » car il contient deux mutations : une mutation L452R, que l’on retrouve dans le variant californien et une autre E484Q, qui est proche de la mutation E484K présente dans les variants sud-africain et brésilien. Mais l’appellation de « double mutant » est controversée. La souche B.1.617 comporte aussi d’autres mutations qui préoccupent les chercheurs.

    Pour l’instant, ce virus reste majoritairement présent dans l’État du Maharashtra, où se situent les villes de Nagpur et de Bombay. La prévalence du variant serait de 55 % dans cet État, alors qu’elle oscille entre 2 et 10 % dans le reste du pays. « Il a l’air d’être particulièrement contagieux, mais les études ne disent pas si sa forme est plus grave que les autres », affirme l’épidémiologiste Catherine Hill à 20 minutes.

    « Certaines des mutations qu’il porte ont été décrites dans d’autres lignées de variants et pourraient être associées à une contagiosité plus élevée voire à un échappement immunitaire » précise au Huffington Post Samuel Alizon, directeur de recherche au laboratoire maladies infectieuses et vecteurs du CNRS.


    Quelle résistance aux vaccins ?


    Si la contagiosité du variant semble plus élevée, il faut encore rester prudent sur sa résistance aux vaccins. « Personne ne connaît à ce stade la dangerosité du B.1.617, ni sa résistance ou non aux vaccins », assure au Monde Rakesh Mishra, directeur du Centre de biologie moléculaire et cellulaire (CCMB). « A priori, l’immunité développée par une première contamination ou par le vaccin paraît à même de faire barrage à ce double mutant, mais cela demande confirmation « , ajoute-t-il.

    Si le variant indien comporte plusieurs mutations de virus, il n’est pas pour autant un recombinant de deux autres types de virus. Le variant comporte « une mutation qui le rend plus contagieux et une mutation qui le rendrait moins accessible au système immunitaire. C’est-à-dire à la protection vaccinale » explique à RFI le microbiologiste Patrick Berche. Là encore, il faudra attendre avant d’en savoir plus.


    Quelles mesures internationales ?


    Face aux inquiétudes, le Royaume-Uni vient d’interdire les voyageurs en provenance d’Inde, à l’exception de ses résidents. Le gouvernement français réfléchit pour sa part à mettre en place des restrictions. « Si nous devons prendre une mesure sur l’Inde, nous la prendrons », a affirmé Clément Beaune, Secrétaire d’Etat chargé des affaires européennes sur Franceinfo.


    https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/monde/covid-19-que-sait-on-sur-le-variant-indien-qualifie-de-double-mutant-2209216.php



  • 1 vote
    BA 22 avril 2021 01:57

    Le « double mutant » indien est déjà arrivé au Royaume-Uni, en Irlande, Allemagne, Italie, Espagne, Belgique.


    Le variant indien, qui semble plus contagieux, comporte plusieurs mutations qui inquiètent les chercheurs

    Les médias indiens le surnomment le « double mutant ». Le variant indien est surveillé de très près par les autorités, alors que la situation sanitaire se dégrade rapidement en Inde avec près de 260 000 personnes contaminées en seulement 24 heures lundi et une moyenne de 233 000 nouveaux cas quotidiens depuis une semaine.

    Apparu en octobre 2020 près de Nagpur dans le centre du pays, ce variant appelé B.1.617 serait responsable d’environ 11 % des contaminations et d’une nouvelle vague en Inde. Il serait aussi très présent au Royaume-Uni et se diffuse en Allemagne, en Belgique ou en Irlande.


    Quelle dangerosité ?


    Ce variant est surnommé « double mutant » car il contient deux mutations : une mutation L452R, que l’on retrouve dans le variant californien et une autre E484Q, qui est proche de la mutation E484K présente dans les variants sud-africain et brésilien. Mais l’appellation de « double mutant » est controversée. La souche B.1.617 comporte aussi d’autres mutations qui préoccupent les chercheurs.

    Pour l’instant, ce virus reste majoritairement présent dans l’État du Maharashtra, où se situent les villes de Nagpur et de Bombay. La prévalence du variant serait de 55 % dans cet État, alors qu’elle oscille entre 2 et 10 % dans le reste du pays. « Il a l’air d’être particulièrement contagieux, mais les études ne disent pas si sa forme est plus grave que les autres », affirme l’épidémiologiste Catherine Hill à 20 minutes.

    « Certaines des mutations qu’il porte ont été décrites dans d’autres lignées de variants et pourraient être associées à une contagiosité plus élevée voire à un échappement immunitaire » précise au Huffington Post Samuel Alizon, directeur de recherche au laboratoire maladies infectieuses et vecteurs du CNRS.


    Quelle résistance aux vaccins ?


    Si la contagiosité du variant semble plus élevée, il faut encore rester prudent sur sa résistance aux vaccins. « Personne ne connaît à ce stade la dangerosité du B.1.617, ni sa résistance ou non aux vaccins », assure au Monde Rakesh Mishra, directeur du Centre de biologie moléculaire et cellulaire (CCMB). « A priori, l’immunité développée par une première contamination ou par le vaccin paraît à même de faire barrage à ce double mutant, mais cela demande confirmation « , ajoute-t-il.

    Si le variant indien comporte plusieurs mutations de virus, il n’est pas pour autant un recombinant de deux autres types de virus. Le variant comporte « une mutation qui le rend plus contagieux et une mutation qui le rendrait moins accessible au système immunitaire. C’est-à-dire à la protection vaccinale » explique à RFI le microbiologiste Patrick Berche. Là encore, il faudra attendre avant d’en savoir plus.


    Quelles mesures internationales ?


    Face aux inquiétudes, le Royaume-Uni vient d’interdire les voyageurs en provenance d’Inde, à l’exception de ses résidents. Le gouvernement français réfléchit pour sa part à mettre en place des restrictions. « Si nous devons prendre une mesure sur l’Inde, nous la prendrons », a affirmé Clément Beaune, Secrétaire d’Etat chargé des affaires européennes sur Franceinfo.


    https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/monde/covid-19-que-sait-on-sur-le-variant-indien-qualifie-de-double-mutant-2209216.php



  • 1 vote
    BA 20 avril 2021 18:20

    Le « double mutant » indien est déjà arrivé au Royaume-Uni, en Irlande, Allemagne, Italie, Espagne, Belgique.


    Variants : le "double mutant" indien est-il déjà présent en Europe ?


    L’envolée actuelle de l’épidémie de Covid-19 observée en Inde pourrait être liée à l’apparition locale d’un variant : B.1.617 de son vrai nom. Qu’en est-il de la présence de cette souche sur le territoire européen ?


    Après celui apparu en Afrique du Sud et la souche qui a émergé en Afrique du Sud, c’est un "variant indien" qui suscite aujourd’hui l’inquiétude des scientifiques.


    Si les autorités locales démentent tout lien entre son apparition et la flambée de l’épidémie ayant notamment conduit à reconfiner les 20 millions d’habitants de New Delhi pour une semaine, certains pays ont d’ores et déjà interdit l’accès aux voyageurs en provenance d’Inde.


    C’est notamment le cas du Royaume-Uni, qui n’autorise l’accès à son territoire qu’aux résidents britanniques, à charge pour eux d’observer une quarantaine à l’hôtel à leurs frais. Alors, faut-il craindre que cette souche qualifiée de "double mutant" déferle sur l’Europe ? Y est-elle déjà présente ?


    Si aucun cas de ce "variant indien" n’a pour l’heure été détecté en France, ce n’est pas le cas à l’échelle du continent où des contaminations ont bien été rapportées, au Royaume-Uni justement, mais aussi en Irlande, en Allemagne, en Italie ou encore en Espagne et en Belgique.


    https://www.lci.fr/international/video-covid-19-coronavirus-pandemie-inde-le-variant-indien-ce-double-mutant-qui-inquiete-est-il-deja-present-en-europe-2183944.html



  • 2 votes
    BA 20 avril 2021 18:19

    Le « double mutant » indien est déjà arrivé au Royaume-Uni, en Irlande, Allemagne, Italie, Espagne, Belgique.


    Variants : le "double mutant" indien est-il déjà présent en Europe ?


    L’envolée actuelle de l’épidémie de Covid-19 observée en Inde pourrait être liée à l’apparition locale d’un variant : B.1.617 de son vrai nom. Qu’en est-il de la présence de cette souche sur le territoire européen ?


    Après celui apparu en Afrique du Sud et la souche qui a émergé en Afrique du Sud, c’est un "variant indien" qui suscite aujourd’hui l’inquiétude des scientifiques.


    Si les autorités locales démentent tout lien entre son apparition et la flambée de l’épidémie ayant notamment conduit à reconfiner les 20 millions d’habitants de New Delhi pour une semaine, certains pays ont d’ores et déjà interdit l’accès aux voyageurs en provenance d’Inde.


    C’est notamment le cas du Royaume-Uni, qui n’autorise l’accès à son territoire qu’aux résidents britanniques, à charge pour eux d’observer une quarantaine à l’hôtel à leurs frais. Alors, faut-il craindre que cette souche qualifiée de "double mutant" déferle sur l’Europe ? Y est-elle déjà présente ?


    Si aucun cas de ce "variant indien" n’a pour l’heure été détecté en France, ce n’est pas le cas à l’échelle du continent où des contaminations ont bien été rapportées, au Royaume-Uni justement, mais aussi en Irlande, en Allemagne, en Italie ou encore en Espagne et en Belgique.


    https://www.lci.fr/international/video-covid-19-coronavirus-pandemie-inde-le-variant-indien-ce-double-mutant-qui-inquiete-est-il-deja-present-en-europe-2183944.html



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    BA 18 avril 2021 07:50

    Les variants sud-africain et brésilien représentent plus de 16% des tests covid effectués en Creuse.


    Même si le variant anglais est toujours majoritaire en Creuse à plus de 81%, il est progressivement supplanté par ses cousins sud-africain et brésilien à 16,3%.


    https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/creuse/covid-les-variants-sud-africain-et-bresilien-fortement-presents-en-creuse-2048944.html




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    BA 18 avril 2021 07:49

    Les variants sud-africain et brésilien représentent plus de 16% des tests covid effectués en Creuse.


    Même si le variant anglais est toujours majoritaire en Creuse à plus de 81%, il est progressivement supplanté par ses cousins sud-africain et brésilien à 16,3%.


    https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/creuse/covid-les-variants-sud-africain-et-bresilien-fortement-presents-en-creuse-2048944.html




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    BA 18 avril 2021 07:48

    Les variants sud-africain et brésilien représentent plus de 16% des tests covid effectués en Creuse.


    Même si le variant anglais est toujours majoritaire en Creuse à plus de 81%, il est progressivement supplanté par ses cousins sud-africain et brésilien à 16,3%.


    https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/creuse/covid-les-variants-sud-africain-et-bresilien-fortement-presents-en-creuse-2048944.html




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    BA 15 avril 2021 22:43

    Nombre de morts en France en 2020 :


    En 2020, il y a eu 55 467 morts de plus qu’en 2019.


    En 2020, il y a eu 59 275 morts de plus qu’en 2018.


    En 2020, il y a eu 65 538 morts de plus qu’en 2015-2019 en moyenne.


    Je recopie cette phrase sur le site de l’INSEE : « Entre le 1er janvier et le 31 décembre, 668 923 décès sont survenus en 2020, contre 613 456 en 2019, 609 648 en 2018, et 603 385 en moyenne en 2015-2019 au cours de la même période. »


    Source :


    https://www.insee.fr/fr/statistiques/4931039?sommaire=4487854



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    BA 15 avril 2021 18:44

    Covid-19 : au Brésil, l’absence de réponse adaptée des autorités a conduit le pays à une catastrophe humanitaire.


    Au Brésil, le Covid-19 a fait 361 884 morts. La semaine du 5 avril, 11% des nouvelles infections à la Covid-19 dans le monde étaient enregistrées au Brésil ainsi que plus d’un quart des décès. Le 8 avril, 4 249 décès ont été recensés, un record pour une seule journée ainsi que 86 652 nouvelles infections à la Covid-19 avec des services de soins intensifs saturés dans 21 des 27 unités territoriales du Brésil. Ces chiffres illustrent l’incapacité des autorités à gérer la crise sanitaire et humanitaire dans le pays et à protéger les Brésiliens, en particulier les plus vulnérables, contre le virus.


    « Au Brésil, les problématiques de santé publique sont instrumentalisées par le pouvoir politique  », déclare le Dr. Christos Christou, président international de MSF. « En conséquence, les mesures sanitaires à adopter qui devraient être basées sur des faits scientifiques sont davantage associées à des opinions politiques au lieu de servir de cadre pour protéger les individus et leurs communautés. »


    Par ailleurs, la grande quantité de rumeurs et d’informations erronées qui circulent dans les communautés a des conséquences dévastatrices. Les masques, la distanciation physique et la restriction des mouvements et des activités non essentiels sont contestés et remis en cause par certains politiciens. En outre, l’hydroxychloroquine (un médicament antipaludéen) et l’ivermectine (un médicament antiparasitaire) sont présentés comme la panacée et sont prescrits par les médecins, à la fois comme prophylaxie et comme traitement à la Covid-19.


    « En agissant ainsi, le gouvernement fédéral a abandonné le personnel médical engagé à prendre seul en charge les personnes gravement malades dans les unités de soins intensifs et à improviser des solutions lorsque les lits ne sont pas disponibles », poursuit le Dr. Christou.


    Les hôpitaux font face à une pénurie constante d’oxygène et de sédatifs, nécessaires pour intuber certains patients. En conséquence, les équipes de MSF ont vu des patients, qui auraient pu survivre, être privés des soins médicaux appropriés.


    « Cette situation de chaos dont les équipes de MSF ont été les premiers témoins dans la région de l’Amazonas est devenue la réalité dans la majorité du pays », indique Pierre Van Heddegem, coordinateur d’urgence de la réponse Covid-19 de MSF au Brésil. « Le manque de planification et de coordination entre les autorités sanitaires fédérales et leurs homologues étatiques et municipaux ont des conséquences fatales. Non seulement les patients meurent sans pouvoir accéder aux soins, mais le personnel médical est épuisé et souffre de graves traumatismes psychologiques et émotionnels en raison des conditions de travail », rapporte Pierre Van Heddegem.


    « La réponse à cette épidémie doit commencer au niveau communautaire et non dans les unités de soins intensifs », déclare Meinie Nicolai, directrice générale de MSF. « Non seulement les fournitures médicales telles que l’oxygène, les sédatifs et les équipements personnels de protection doivent être disponibles là où elles sont nécessaires, mais le port du masque, la distanciation physique, les mesures d’hygiène et la restriction des mouvements et activités non essentiels doivent être encouragés et mis en œuvre dans la communauté, conformément à la situation épidémiologique locale. Les directives relatives au traitement de la Covid-19 doivent être régulièrement mises à jour pour refléter les dernières recherches médicales et les tests antigéniques rapides doivent être rendus plus largement disponibles afin de faciliter à la fois les soins aux patients et le contrôle de l’épidémie », explique M. Nicolai.


    Le retard dans la vaccination aggrave encore la situation. Alors que les autorités avaient réussi  à vacciner 92 millions de personnes contre le virus H1N1 (grippe porcine) en seulement trois mois en 2009, la campagne de vaccination Covid-19 fonctionne au ralenti. À ce jour, environ 11 % des personnes ont reçu au moins une dose de vaccin, ce qui signifie que des millions de vies, sont menacées par plus de 90 variants du virus qui circulent actuellement dans le pays.


    « Depuis un an, les autorités brésiliennes ont favorisé la propagation incontrôlée de la Covid-19 », conclut le Dr. Christou. « Leur refus de recourir à des mesures de santé publique fondées sur des données probantes a précipité un trop grand nombre de personnes dans la tombe. Il est urgent que le Brésil apporte à cette crise une réponse bien coordonnée et fondée sur des données scientifiques afin d’empêcher de nouveaux décès évitables et la destruction du système de santé brésilien, jusqu’ici performant. »


    https://www.msf.fr/communiques-presse/covid-19-au-bresil-l-absence-de-reponse-adaptee-des-autorites-a-conduit-le-pays-a-une-catastrophe-humanitaire




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    BA 15 avril 2021 18:43

    Covid-19 : au Brésil, l’absence de réponse adaptée des autorités a conduit le pays à une catastrophe humanitaire.


    Au Brésil, le Covid-19 a fait 361 884 morts. La semaine du 5 avril, 11% des nouvelles infections à la Covid-19 dans le monde étaient enregistrées au Brésil ainsi que plus d’un quart des décès. Le 8 avril, 4 249 décès ont été recensés, un record pour une seule journée ainsi que 86 652 nouvelles infections à la Covid-19 avec des services de soins intensifs saturés dans 21 des 27 unités territoriales du Brésil. Ces chiffres illustrent l’incapacité des autorités à gérer la crise sanitaire et humanitaire dans le pays et à protéger les Brésiliens, en particulier les plus vulnérables, contre le virus.


    « Au Brésil, les problématiques de santé publique sont instrumentalisées par le pouvoir politique  », déclare le Dr. Christos Christou, président international de MSF. « En conséquence, les mesures sanitaires à adopter qui devraient être basées sur des faits scientifiques sont davantage associées à des opinions politiques au lieu de servir de cadre pour protéger les individus et leurs communautés. »


    Par ailleurs, la grande quantité de rumeurs et d’informations erronées qui circulent dans les communautés a des conséquences dévastatrices. Les masques, la distanciation physique et la restriction des mouvements et des activités non essentiels sont contestés et remis en cause par certains politiciens. En outre, l’hydroxychloroquine (un médicament antipaludéen) et l’ivermectine (un médicament antiparasitaire) sont présentés comme la panacée et sont prescrits par les médecins, à la fois comme prophylaxie et comme traitement à la Covid-19.


    « En agissant ainsi, le gouvernement fédéral a abandonné le personnel médical engagé à prendre seul en charge les personnes gravement malades dans les unités de soins intensifs et à improviser des solutions lorsque les lits ne sont pas disponibles », poursuit le Dr. Christou.


    Les hôpitaux font face à une pénurie constante d’oxygène et de sédatifs, nécessaires pour intuber certains patients. En conséquence, les équipes de MSF ont vu des patients, qui auraient pu survivre, être privés des soins médicaux appropriés.


    « Cette situation de chaos dont les équipes de MSF ont été les premiers témoins dans la région de l’Amazonas est devenue la réalité dans la majorité du pays », indique Pierre Van Heddegem, coordinateur d’urgence de la réponse Covid-19 de MSF au Brésil. « Le manque de planification et de coordination entre les autorités sanitaires fédérales et leurs homologues étatiques et municipaux ont des conséquences fatales. Non seulement les patients meurent sans pouvoir accéder aux soins, mais le personnel médical est épuisé et souffre de graves traumatismes psychologiques et émotionnels en raison des conditions de travail », rapporte Pierre Van Heddegem.


    « La réponse à cette épidémie doit commencer au niveau communautaire et non dans les unités de soins intensifs », déclare Meinie Nicolai, directrice générale de MSF. « Non seulement les fournitures médicales telles que l’oxygène, les sédatifs et les équipements personnels de protection doivent être disponibles là où elles sont nécessaires, mais le port du masque, la distanciation physique, les mesures d’hygiène et la restriction des mouvements et activités non essentiels doivent être encouragés et mis en œuvre dans la communauté, conformément à la situation épidémiologique locale. Les directives relatives au traitement de la Covid-19 doivent être régulièrement mises à jour pour refléter les dernières recherches médicales et les tests antigéniques rapides doivent être rendus plus largement disponibles afin de faciliter à la fois les soins aux patients et le contrôle de l’épidémie », explique M. Nicolai.


    Le retard dans la vaccination aggrave encore la situation. Alors que les autorités avaient réussi  à vacciner 92 millions de personnes contre le virus H1N1 (grippe porcine) en seulement trois mois en 2009, la campagne de vaccination Covid-19 fonctionne au ralenti. À ce jour, environ 11 % des personnes ont reçu au moins une dose de vaccin, ce qui signifie que des millions de vies, sont menacées par plus de 90 variants du virus qui circulent actuellement dans le pays.


    « Depuis un an, les autorités brésiliennes ont favorisé la propagation incontrôlée de la Covid-19 », conclut le Dr. Christou. « Leur refus de recourir à des mesures de santé publique fondées sur des données probantes a précipité un trop grand nombre de personnes dans la tombe. Il est urgent que le Brésil apporte à cette crise une réponse bien coordonnée et fondée sur des données scientifiques afin d’empêcher de nouveaux décès évitables et la destruction du système de santé brésilien, jusqu’ici performant. »


    https://www.msf.fr/communiques-presse/covid-19-au-bresil-l-absence-de-reponse-adaptee-des-autorites-a-conduit-le-pays-a-une-catastrophe-humanitaire




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    BA 14 avril 2021 09:27

    Covid-19 : le Brésil est devenu une usine à variants.


    A Rio de Janeiro, 60 % des patients en réanimation ont moins de 40 ans.


    Covid : au Brésil, les moins de 40 ans saturent les réa.


    La situation est hors de contrôle dans le pays, qualifié d’« usine à variants ». Et la moyenne d’âge des patients en soins intensifs ne cesse de baisser …


    Ils ont 33, 39 et 20 ans, et sont sous assistance respiratoire. Les derniers patients hospitalisés à São Sebastião, hôpital public de référence pour la lutte contre le Covid-19 à Rio de Janeiro, n’ont plus le même profil que ceux du début de l’épidémie. « 60 % ont moins de 40 ans », précise Clarisse Pimentel, médecin épidémiologiste et directrice de cet hôpital où plus aucun lit n’est disponible. Parmi les plus jeunes, certains souffrent d’obésité, mais d’autres n’ont aucune comorbidité.

    https://www.lepoint.fr/monde/covid-au-bresil-les-moins-de-40-ans-saturent-les-rea-14-04-2021-2422129_24.php



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    BA 14 avril 2021 09:26

    Covid-19 : le Brésil est devenu une usine à variants.


    A Rio de Janeiro, 60 % des patients en réanimation ont moins de 40 ans.


    Covid : au Brésil, les moins de 40 ans saturent les réa.


    La situation est hors de contrôle dans le pays, qualifié d’« usine à variants ». Et la moyenne d’âge des patients en soins intensifs ne cesse de baisser …


    Ils ont 33, 39 et 20 ans, et sont sous assistance respiratoire. Les derniers patients hospitalisés à São Sebastião, hôpital public de référence pour la lutte contre le Covid-19 à Rio de Janeiro, n’ont plus le même profil que ceux du début de l’épidémie. « 60 % ont moins de 40 ans », précise Clarisse Pimentel, médecin épidémiologiste et directrice de cet hôpital où plus aucun lit n’est disponible. Parmi les plus jeunes, certains souffrent d’obésité, mais d’autres n’ont aucune comorbidité.

    https://www.lepoint.fr/monde/covid-au-bresil-les-moins-de-40-ans-saturent-les-rea-14-04-2021-2422129_24.php



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    BA 13 avril 2021 00:55

    La pandémie a atteint un « point critique » avec des infections qui croissent de manière exponentielle, a averti ce lundi 12 avril l’OMS, selon qui le Covid-19 pourrait être maîtrisé en « quelques mois » si les bonnes mesures sont prises.


    « Nous sommes actuellement à un point critique de la pandémie. La trajectoire de cette pandémie est en pleine expansion. Elle croît de manière exponentielle. Ce n’est pas la situation dans laquelle nous voulons nous trouver 16 mois après le début de la pandémie, alors que nous disposons de mesures de contrôle efficaces », a déclaré Maria Van Kerkhove, la responsable technique à l’OMS de la lutte contre le Covid-19, en conférence de presse.


    La pandémie du nouveau coronavirus a fait au moins 2 937 355 morts dans le monde depuis que le bureau de l’OMS en Chine a fait état de l’apparition de la maladie fin décembre 2019, selon un bilan établi par l’AFP à partir de sources officielles lundi à 10 h GMT.


    https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-la-pandemie-est-a-un-point-critique-et-en-pleine-expansion-alerte-l-oms-97ee7394-9b9d-11eb-ad81-37cde232b8a1



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    BA 10 avril 2021 19:29

    Brice Hortefeux, Alain Duhamel, Franck Louvrier.


    Brice Hortefeux et Alain Duhamel épinglés par Mediapart pour avoir déjeuné à la table du chef Christophe Leroy.

    D’après une enquête publiée le 10 avril par Mediapart, l’ancien ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux et l’éditorialiste de BFM TV Alain Duhamel auraient déjeuné ensemble le 30 mars dans un appartement situé dans le VIIIe arrondissement de Paris. Cet appartement aurait été reconverti en salle de restauration par le chef Christophe Leroy qui aurait proposé des menus entre 110 et 580 euros en violation des restrictions sanitaires en vigueur.


    Selon « des sources concordantes », citées toujours par Mediapart, l’ancien conseiller en communication de Nicolas Sarkozy, Franck Louvrier, actuellement maire de La Baule, aurait également déjeuné dans ce lieu privé de restauration. Le journal précise enfin que tous leurs interlocuteurs semblent unanimes pour dire que des déjeuners ont bel et bien été organisés dans des restaurants parisiens en présence d’élus, mais aucun nom de ministre actuel n’a été cité.

    https://francais.rt.com/france/85528-brice-hortefeux-alain-duhamel-epingles-mediapart-dejeune-table-chef-leroy




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    BA 29 mars 2021 19:21

    Audrey Pulvar : « Je suis une femme de race Noire »


    Hervé Mbouguen : Compte tenu des polémiques nées sur certains sites, dont le notre, concernant votre « négritude », comment vous définissez-vous ?

    Audrey Pulvar : Comme je l’ai répondu à tous les journalistes qui me demandent s’il est important pour moi d’être la première femme Noire à présenter un grand journal, je sais qui je suis, je sais d’où je viens. Je suis une femme Noire, Créole Caribéenne, Martiniquaise.
    Je tombe des nues quand je découvre qu’on conteste le fait que je sois Noire : c’est pour moi une évidence, je suis une femme Noire, une femme de race Noire, même si je ne suis pas très foncée de peau. Mon père, qui est un chaben, donc clair de peau, est un homme Noir, et je mets au défi quiconque de lui démontrer le contraire…Allez donc dire à Marc Pulvar qu’il n’est pas un homme Noir et vous entendrez parler du pays ! Oui, je suis une femme Noire et n’en déplaise à ceux qui ne me trouvent pas assez noire, on peut être Noire sans être Africaine. Du sang africain coule dans mes veines, je ne l’oublie jamais. Je suis une créole caribéenne Noire.


    https://pourelle.grioo.com/print37.html




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    BA 28 mars 2021 19:07

    L’INSEE donne le nombre de morts en France, quelle que soit la cause de la mort.


    En 2020, il y a eu 55 427 morts de plus qu’en 2019.


    En 2020, il y a eu 59 235 morts de plus qu’en 2018.


    En 2020, il y a eu 65 498 morts de plus que sur la période 2015-2019.


    L’INSEE écrit cette phrase très importante : « Entre le 1er janvier et le 31 décembre, 668 883 décès sont survenus en 2020, contre 613 456 en 2019, 609 648 en 2018, et 603 385 en moyenne en 2015-2019 au cours de la même période. »


    https://www.insee.fr/fr/statistiques/4931039?sommaire=4487854



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    BA 28 mars 2021 11:39

    @Vulpes vulpes
    Ci-dessus, je vous donne les dernières données de l’INSEE : 668 883 morts en 2020, quelle que soit la cause de la mort. Je dis bien : 668 883 morts.